Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Transfert. Vos chambres sont immédiatement disponibles. Le charme colonial de l’hôtel ne déroge pas aux exigences de la vie moderne. On a le teck, les terrasses, un bel artisanat d’art, les voilages, mais aussi une vraie piscine (extérieure) et un spa. Votre particulier, confortable, élégant, spacieux, augure bien du voyage. Le soir, à la fenêtre du restaurant - qui porte le nom de l’inventeur de Kaa, le python birman - le stûpa de la pagode Shwedagon brille dans le ciel bleu roi ; sous ce signe, on se régale d’une cuisine nationale / internationale pro.
Déjà prévu au programme - Rangoon like a friend. L’idée, c’est de vous remettre quelques heures à un expatrié français devenu, par la vertu d’une longue implication, un Birman parmi les Birmans. Vous - grands et petits - lui confiez vos passions, vos envies, vos curiosités et il ajuste tout cela au terrain. Vos souhaits y trouvent un rythme et des couleurs locales, ceux de Rangoon et de ses habitants. Vous plongez d’emblée dans la réalité birmane. Un vrai accélérateur de familiarité que cette rencontre, qui permet en outre de glaner des informations utiles pour la suite.
Transfert à l’aéroport et vol pour Pagan. Nouveau transfert et installation pour trois nuits dans le quartier de Nyaung U. Atmosphère golf. Et motifs traditionnels, des têtes de lit aux toits de la maison. Dans le jardin, une piscine : plouf 365 jours par an. Les chambres ont l’aspect soigné qui sied et un niveau d’équipement des plus convenables. Les chefs de cuisine connaissent leur répertoire birman, mais ils savent aussi accommoder les ingrédients du jour à la mode européenne. Le spa et les massages invitent à constater que le pays a hérité d’une tradition bien-être revigorante.
Déjà prévu au programme - Coucher de soleil sur l’Irrawaddy. Dans un petit bateau de bois et en compagnie d’une guide anglophone privé, vous naviguez sur le fleuve alors que le soleil déclinant passe le paysage au Mercurochrome et au cuivre. Vous donnant ainsi de Pagan une vision bien différente de celles des itinéraires terrestres. Le cours de l’Irrawaddy, voie de communication et logistique essentielle, a permis le développement du premier empire birman. On vous explique tout cela.
Déjà prévu au programme - Incontournables de Pagan. Les temples (où l’on pénètre) et les stûpas (autour desquels on circule) qui parsèment ce site majeur ont été construits entre le IXe et le XIIIe siècle. La journée, avec un guide anglophone privé, commence au marché de Nyaung U, puis on va à la pagode Shwezigon, XIe siècle, n° 1 sur l’inventaire des monuments de Pagan et mètre étalon du style birman. Le temple de l’Ananda, de même époque, est une autre célébrité ; bien que son architecture d’ensemble suggère un modèle indien, son stûpa est surmonté d’une ombrelle, caractéristique du pays. Mais la pérégrination entraîne aussi à la découverte d’édifices moins courus. On ajoute à sa collection les temples Thatbyinnyu, Dhammayangyi et Sulamani, XIIe siècle. En fin d’après-midi, les couleurs dorées du couchant font de la nappe des arbres où s’élèvent partout les pinacles des temples une sorte de rêve tropical et romantique.
En option - Initiation au Chin Lone.
Déjà prévu au programme - Pagan, art et tradition, à vélo. On serre la jugulaire de son casque et on enfourche sa bicyclette. Tout le monde pédale à la queue-leu-leu derrière un guide anglophone privé. En faisant bien attention, même si la circulation à Pagan est raisonnable. Bien des choses à voir chemin faisant, comme le village de Minnanthu, temple rustique et maisonnettes au toit de palmes délavées. La palanche y sert à transporter tant le maïs que les enfants. Les moines bouddhistes du monastère Kyat Kan, XIIe siècle, s’adonnent à la méditation de façon privilégiée ; sans doute leur habitat troglodytique favorise-t-il la concentration. Le temple hindouiste de Nanpaya date du XIe siècle. Il possède des sculptures de Brahmâ, dieu créateur peu impliqué dans le suivi de sa création, ce pourquoi les sanctuaires qui lui sont dédiés sont rares. Si les enfants ignorent ce que signifie épigraphie, ils chercheront des éclaircissements auprès de leurs parents. Car, à proximité de la pagode Myazedi, se trouve une stèle ayant à cet égard une valeur certaine. Après, on sera sans doute content de se trouver mis en possession pour quelques heures d’un scooter électrique : la liberté sans coups de pédale ni pétarades.
Transfert à l’aéroport et vol pour Heho. Nouveau transfert et installation pour deux nuits sur la rive nord-est du lac. Par quelques partis pris, l’architecture de l’hôtel renvoie sans austérité aux abbayes européennes. A l’intérieur, des aménagements contemporains et confortables, à la jonction du design international et d’une certaine nostalgie coloniale. Vos chambres ne manquent ni d’espace ni d’agrément. Elles donnent sur le jardin, dans lequel trône une belle piscine à débordement. Le restaurant se distingue par la qualité de sa table : métier, d’ici et d’ailleurs, des équipes en cuisine ; ingrédients frais provenant, pour les herbes aromatiques et les légumes, d’un potager bio ; sophistication sans abus (on consent à préparer des burgers). Spa et massages ne pouvaient, bien entendu, manquer à un tel dispositif.
En option - Randonnée au bord du lac Inle.
Déjà prévu au programme - Dans la peau d’un Intha. Les Intha sont la population des abords du lac. Ils en vivent en pêchant la carpe et en cultivant rizières, champs, potagers et jardins flottants. Ces derniers tirent profit des jacinthes d’eau, dont l’accumulation naturelle en nappes épaisses, puis le découpage et la fixation, constituent une base qui, enrichie de limon, permet la culture des pieds de tomate, par exemple. En compagnie d’un guide anglophone, privé, on visite en barque cet étonnant paysage. Puis on se rend dans un village afin de continuer son exploration de l’agronomie lacustre. Les trésors du lac Inle. Ils sont issus de ce qui précède : villages sur pilotis, pêcheurs à la nasse godillant avec une jambe, sanctuaires. Au monastère Nga Hpe Kyaung, construit sur pilotis et en bois au XIXe siècle, les moines, un peu franciscains bouddhistes, entretiennent des chats, et une intéressante collection de bouddhas anciens. Pour finir, arrêt dans un atelier de cheerots. Le tabac n’a pas bonne presse de nos jours, mais ces cigares ont pu passer pour garantir de la malaria.
Transfert à l’aéroport et vol pour Mandalay. Nouveau transfert et installation pour deux nuits dans le centre. L’hôtel propose un programme néo-birman plutôt spectaculaire, la décoration accumulant les références aux arts traditionnels. Il en résulte un glamour assez étourdissant. On remarque notamment de beaux plafonds peints. Vos chambres ne vous laissent manquer de rien, ni d’un point de vue pratique, ni en termes de décorum. Tout est en place. Le restaurant - qui procure un point de vue élevé sur la ville - prolonge les sensations avec un savoir-faire étendu.
Déjà prévu au programme - Mandalay en privé. Un tour en ville avec un guide anglophone permet de découvrir le temple du Bouddha Mahamuni (considérable statue de bronze doré, saisie en Arakan par les armées du roi Bodawpaya à la fin du XVIIIe siècle) et le merveilleux monastère Shwenandaw, dernier vestige du palais royal en bois du XIXe siècle. Ou les champs de stûpas blancs de la pagode Kuthodaw, 1857, qui abrite le plus grand livre du monde, un Tipitaka - canon bouddhique - gravé sur 729 stèles de marbre. Au passage, arrêt kyae oh peut-être : nouilles de riz, bouillon et abats de porc.
Déjà prévu au programme - Visite privée avec un guide anglophone de deux cités historiques, à une vingtaine de kilomètres de Mandalay. Sur la rive occidentale de l’Irrawaddy, Sagaing est le centre spirituel du pays : près de six cents pagodes et monastères bouddhistes, où vivent trois mille moines ; les toits dorés pointent un peu partout au-dessus des arbres. A Amarapura, deux monuments connus de tous les Birmans : le grand monastère Mahagandayon, qui assure la formation de centaines de novices ; le pont U Bein, XIXe siècle, le plus long pont de teck du monde : 1200 mètres. Une magnifique promenade rectiligne sur le lac Taungthaman. A la brune, nouvelle croisière sur l’Irrawaddy.
En option - Mingun, fondation royale.
Transfert à l’aéroport et vol pour Chiang Mai. Nouveau transfert et installation pour trois nuits dans un hôtel dont les corps ont été bâtis dans le style du Lanna colonial : rez-de-chaussée en pierre et étage bois. Décoration thaïe contemporaine : bois sculpté et touches design occidental. Les chambres, très confortables et parfaitement équipées, ont un aspect graphique et harmonieux qui les rend particulièrement agréables à vivre. Le restaurant se trouve au bord de la rivière Ping, sur laquelle il ouvre largement. On y sert une savoureuse cuisine thaïe fusion et internationale. Sur le toit, un bar à vin. Dans le jardin, une belle piscine, d'où semblent émerger des palmiers. Et puis deux bâtiments de bois anciens servent de bibliothèque et de pool bar. Au spa, on retrouve tout le soin que le pays a depuis longtemps mis à procurer le bien-être du corps et de l'esprit. Et s'il fallait transpirer un peu pour que tout soit d’équerre, direction la salle de gym.
Déjà prévu au programme - Le cours de cuisine d’un chef. Vous rejoignez dans la campagne un restaurant renommé, installé dans une ravissante maison. La chef a préparé tout ce qu’il faut. Avant de mettre à l’ouvrage ses marmitons d’un jour, elle leur expose en français les principes de la cuisine nationale : ingrédients, saveurs, composition, cuisson, dressage. Ensuite, aux herbes aromatiques et aux fourneaux ! On s’amuse, sans perdre de vue que le déjeuner dépend du résultat de ces travaux pratiques. Trois plats sont au programme parmi les classiques de la gastronomie thaïe. Pad thaï, par exemple, les incontournables nouilles sautées ; ou la soupe aigre tom yam ; un curry rouge, jaune, vert ou phanang. Le marché décide.
La ville affiche encore sa noblesse d’ancienne capitale, mais elle exhale aussi une particulière douceur de vivre. On y compte près de trois cents temples ; le Wat Chiang Man est le plus vieux, XIIIe siècle, et le Wat Phrathat Doi Suthep, à une quinzaine de kilomètres dans la campagne, le plus fameux, XIVe siècle. On a, du second, un très joli panorama de la ville.
Déjà prévu au programme - Une chasse au trésor en famille. Après la visite de trois monuments emblématiques, on se lance tous ensemble à la recherche d’un trésor, à travers les maisons du vieux Chiang Mai. Un guide privé francophone facilite tout cela, qui est une façon amusante et dynamique de s’initier à la culture thaïlandaise.
Transfert à l’aéroport et vol pour Koh Samui. Nouveau transfert et installation pour quatre nuits au nord de l’île, juste en face de Koh Pha Ngan. Deux pôles : la piscine de l’hôtel et, à quelques dizaines de mètres, la plage de sable doré. Voilà de quoi balancer. Si elles sont en toile beige, vos tentes n’ont plus rien à voir avec celles de vos camps scouts. Montées sur des plateformes qui font terrasse, très confortablement équipées (chambre, coin living, salle de bain dedans / dehors, literie supérieure), décorées avec goût, protégées des indiscrétions par un écran de bambou, on y a non seulement ses aises, mais ses agréments. Au restaurant, cuisine thaïe fusion faite avec soin et des ingrédients sélectionnés. Et le dernier spa du voyage met un point d’orgue à la série. Dans la perspective de promenade à long rayon, la maison loue des vélos.
Déjà prévu au programme - Koh Samui like a friend. Cette journée en compagnie d’un Français installé en Thaïlande permet, comme à Rangoon, deux choses importantes : de se mettre au diapason de l’île et de ses habitants ; de collecter des informations de première main pour la suite. Rien de préconçu cette fois non plus : vous discutez goûts et couleurs sur place avec votre guide puis, sur le résultat de cet échange, vous mettez sur pied un plan de campagne. Un seul impératif, faire les choses à la thaïlandaise.
Il faut se laisser porter par le désir de l’heure. Piscine, plage de Mae Nam, de Chaweng ou de Lamai. Les sorties en bateau, le snorkeling (sur les récifs, fusiliers, poissons-anges, poissons-écureuils, perroquets, platax, mérous, etc., sont au bout du tuba), le kayak, la pêche répondent à l’appel de la mer ; mais on peut également se balader à motocyclette, faire les marchés et vivre au rythme du sud. Parmi les curiosités de l’île, le moine momifié du temple Khun Aram semble un peu le zombie de l’Eveil ; les cascades de Na Muang et Hin Lad rafraîchissent ; le Jardin aux papillons frissonne de ravissantes créatures insaisissables et colorées ; les fêtes de nuit secouent. Koh Samui n’est certes plus une île sauvage, mais elle a gardé une forte identité ; d’ailleurs, son centre montagneux reste pour le moment impénétrable à l’économie du loisir.
Transfert à l’aéroport et vol retour, via Bangkok. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
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