Idée voyage 100% personnalisable
Bulgarie - Sofia - Plovdiv - mer Noire - Veliko Tarnovo
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert. Installation pour deux nuits en plein centre. Du bar rooftop, vue sur la cathédrale Saint Alexandre Nevski. La façade de verre de l’immeuble en marque le parti pris contemporain. Confirmé à l’intérieur : blanc, gris, anthracite, bois, des rappels pop par-ci par-là. Les chambres ont un design clair et net, sans fioriture, mais confortable. Les baies sol-plafond laissent entrer la lumière et le paysage urbain. Piscine, service de spa, salle de gym sont pour le tonus. La cuisine aussi, agréablement.
En option - Le mont Vitocha en privé.
Déjà prévu au programme - L’église de Boyana. Avec un guide francophone privé, visite de l’un des plus authentiques monuments médiévaux européens. L’église en croix grecque a été bâtie au Xe siècle, agrandie au XIIIe. Dedans, un éblouissant programme de fresques anciennes, dont les meilleures - peintres anonymes de l’école de Tarnovo - sont de la période d’agrandissement. Par leur qualité artistique et leur intégrité, ces peintures ne peuvent laisser insensible. Toujours avec un guide francophone privé, balade à la découverte d’autres incontournables. La cathédrale orthodoxe Saint Alexandre Nevski a été construite entre 1882 et 1912, dans un style néo-byzantin bodybuildé ; il s’agissait de célébrer le reflux de l’empire ottoman et la part que les Russes y avaient prise. L’assemblée nationale est de même époque, le théâtre Ivan Vazov et l’université des années 1920 : l’architecture témoigne des aspirations européennes d’alors.
Prise en main de la voiture de location. Route pour Plovdiv. A deux heures de route au sud de Sofia se trouve un site vraiment non dispensable : le monastère de Rila, établi dans un beau cadre montagneux. Fondé au Xe siècle autour de la dépouille de saint Jean de Rila, il n’a cessé depuis d’exercer une influence sur l’orthodoxie balkanique. Pendant les périodes fastes comme pendant les temps d’épreuve. Endommagé par des incendies, il a été en partie reconstruit entre 1834 et 1862. Ce qui en fait un monument d’architecture Renaissance nationale. Vous touchez ici au plus sensible de l’identité nationale bulgare. L’Unesco n’a pas manqué de classer. Et les fresques vous enchantent à nouveau !
Installation pour deux nuits dans le centre historique, au nord du théâtre romain. La façade framboise de la maison est d’un joli XIXe. A l’intérieur, tout en épargnant la structure, on a opté pour une simplicité contemporaine. Les chambres sont tirées à quatre épingles. Elles partagent des tons blanc, gris et jaune, du bois et des briques. Le petit-déjeuner est servi à la salle à manger.
Plovdiv aurait connu une occupation permanente depuis le 2e millénaire avant JC. Championne d’Europe. Ville thrace, elle devient à l’époque romaine la capitale de la Thracia, province prétorienne, échangeur régional traversé par une route militaire importante. Les vestiges de cette période, comme le théâtre et l’odéon, font partie des sites incontournables. Puis Plovdiv devient bulgare, au IXe siècle. Byzance s’en empare. Et l’empire ottoman. Les minarets et les bains turcs s’ajoutent aux églises orthodoxes - la mosquée Djumaya date du XIVe siècle. Aux XIXe, le mouvement de Renaissance nationale bâtit de belles maisons bulgares. La synagogue sépharade renvoie elle aussi au passé de la communauté, avec son style mauresque. Tout cela constitue un ensemble diversifié et cohérent, témoin d’une histoire longue, mouvementée et, finalement, partagée.
Déjà prévu au programme - Kapana, quartier coloré de Plovdiv. Ancien quartier des corporations et du commerce, Kapana a accompagné les hauts et les bas de Plovdiv depuis la fin du Moyen Age. Les habitants y sont attachés. Après un période de relative décadence, il ressuscite et devient trendy et artistique. Les autorités y ont mis du leur ; les créatifs et les entrepreneurs aussi. Et ce qu’on pouvait redouter n’a pas eu lieu. Kapana a non seulement gardé son âme, mais sa mise au goût du jour et des réseaux sociaux lui a rendu le sourire. C’est clairement le coin le plus agréable en ville, avec ses cafés, ses restaurants, ses boutiques, ses galeries d’art et ses artisans. Jour et nuit. Visite avec un guide francophone privé.
En option - Balade équestre dans les environs de Plovdiv.
Route pour Sozopol. Dans le Balkan oriental, on ne manque pas Jéravna : architecture vernaculaire de bois magnifiquement préservée. Un village-musée, mais réellement habité. Ni le tumulus thrace de Karanovo. La tombe et son mobilier, notamment un char avec ses chevaux attelés, un chien, ont été conservés dans l’état d’ouverture. Ce qui leur confère une particulière puissance d’évocation.
Installation pour trois nuits dans un complexe moderne au bord de l’eau : plage privée, piscine et grand jardin. Dans celui-ci (et installées de façon réfléchie et dynamique) des sculptures contemporaines. Ce qui donne de la teneur au farniente. On peut aussi jouer au tennis, sensibilité artistique et sport ne sont pas incompatibles. A l’intérieur, un certain décorum. Un chic qui tend déjà un peu à l’Orient. Au demeurant, les installations sont de bon niveau, confortables. Au restaurant, la cuisine internationale a un petit accent bulgare qui lui va bien. Le spa, la salle de gym, le sauna et le hammam constituent un pôle bien-être qui relève d’une tradition bien établie sur la mer Noire.
On profite bien sûr du sable et de l’eau, et des agréments de l’hôtel, mais on peut distraire quelques moments pour visiter la vieille-ville. Il s’y trouve encore de nombreuses maisons traditionnelles. Elles ont beaucoup d’allure avec leur base de pierre et leurs encorbellements en bois patiné. Un modèle adaptable, dont la fortune a gagné tous les Balkans. L’ensemble de Sozopol est plein d’authenticité. Au bord de l’eau, ces maisons ont un charme supplémentaire. Ceux que la crème solaire n’empêche pas de penser, remarqueront que le philosophe présocratique Diogène est originaire de Sozopol, alors Apollonie du Pont. Ce qui ne change sans doute pas grand-chose au séjour, mais peut servir d’introduction aux collections archéologiques du musée. Elles mettent en évidence l’importance qu’avait la ville pendant l’Antiquité. Le nom de Sozopolis - ville du salut - apparaît au 1er siècle de notre ère, il indique une christianisation précoce. Bref, vous ne vous baignez pas n’importe où.
Direction nord (au passage, on peut librement prendre un bain de boue noire thérapeutique à la lagune de Pomorié). Installation pour deux nuits un peu au nord-est de Varna, sur la plage Saints Constantin et Hélène. L’établissement est un bel exemple d’architecture balnéaire en grand. On se plait aux étagements de piscines, à la plage au bout du domaine, aux jardins, aux amples volumes. L’aménagement et la décoration sont d’un strict et confortable classicisme hôtelier. Le spa et les installation afférentes, jusqu’au bain japonais, envisagent un bien-être XXL. La piscine intérieure, avec ses immenses baies est une réussite. Restaurant et bars sont au diapason : le professionnalisme comme l’un des beaux-arts. Il n’y a qu’à se laisser porter d’une heure à l’autre, d’une installation à l’autre.
Une idée : la résidence de la reine Marie de Roumanie à Baltchik - construite de 1926 à 1937 dans un style éclectique orientalisant. Le parc a été aménagé en jardin botanique ; il possède notamment une spectaculaire collection de cactées.
Déjà prévu au programme - Les côtes de la mer Noire en yacht privé. On embarque au coucher du soleil, avec un skipper agréé et son assistant anglophone. Pendant deux heures, on se laisse ensorceler par cette mer dite Noire et, peut-être pour cela, mal située sur la carte aux trésors. Le littoral bulgare est très beau. Vous le constatez en prenant un peu le large. Et Varna justifie le frisson qu’elle produit sur les sensibilités voyageuses. C’est la prendre dans le bon sens que de l’aborder par la mer. D’autant que le soleil se couchant à l’ouest, il l’éclabousse de sa polychromie. Et puis, un yacht ! Pas un rafiot.
En option - En kayak sur la mer Noire.
Route pour Osmar. En quittant Varna, le voyageur tombe sur un phénomène naturel spectaculaire, les Pobiti kamani. Des colonnes calcaires naturelles s’élèvent sur un sol sableux, comme un jeu de quilles géant attendant que passe la boule du temps. A Choumen, se trouve l’un des plus importants édifices ottomans de Bulgarie, la mosquée Cherif Halil Pacha (XVIIIe siècle). Non loin, au village de Madara, le Cavalier est sculpté sur une falaise à une vingtaine de mètres de hauteur. Ce relief monumental du VIIIe siècle, sans équivalent en Europe, est un témoignage éloquent des premiers temps de l’Etat bulgare. La région d’Osmar est justement réputée pour ses vins blancs.
Nuit dans une jolie ferme datant de 1881. Le confort s’est bien amélioré depuis et la maison dispose même d’un spa, non sans qu’une chaleureuse rusticité soit encore répandue partout. On se sent là comme chez des cousins à la campagne : un peu citadin, mais pas mal chez soi quand même. Dans la chambre, la grande armoire et les draps amidonnés ; lorsque le soleil filtre à travers les voilages, il dore tout. La taverne est au diapason, qui sert de généreuses assiettes et des vins capiteux. L’été, on dîne dans le jardin fleuri.
Route pour Veliko Tarnovo. Installation pour deux nuits dans le centre. L’hôtel a adopté une ligne design contemporaine et ne s’en dédit nulle part. Ni dans les parties communes, ni dans les chambres. Tableaux abstraits aux murs, auxquels répondent les couvre-lits. La forme du mobilier est modulée d’une pièce à l’autre. Les tons sont gris, bleu, vert, bronze. Des pans de briques apparaissent ici et là. L’engagement arty détermine vite la sympathie. D’autant que le confort du particulier est sans reproche.
Déjà prévu au programme - Dîner au restaurant Arbanashki Han. Jolie salle, avec des décorations de mosaïque et de vitrail. Tables dressées avec netteté. Et un beau programme de grillades et de plats bulgares traditionnels : haricots à l’étouffée, pommes de terre dans le style d’Arbanassi, carré de cochon au four, etc.
Arbanassi n’est qu’à quatre kilomètres de Veliko Tarnovo. Alors, commençons par là. Car le village possède quelques merveilles, comme l’église de la Nativité du Christ et ses fresques (XVe-XVIIe siècles), l’église des Saints Archanges Michel et Gabriel (XVIe-XVIIIe siècles), la maison Konstantsaliev (XVIIe siècle). Bojentsi est l’un des plus beaux villages de Bulgarie et un conservatoire d’architecture Renaissance nationale. On connait Tryavna pour son artisanat du bois, son musées des icônes et sa vieille place. Trois bonnes raisons d’aller jusque-là.
Déjà prévu au programme - La vallée de Dryanovo en privé. De nombreux itinéraires pédestres dans le paysage sauvage de cette jolie vallée du parc naturel Bulgarka lui attachent les randonneurs. Des sentiers écologiques débouchent sur de ravissantes clairières, traversent des bois ou d’anciens sites romains. A six kilomètres de Dryanovo City, dans la forêt, se trouve un monastère fameux pour l’appui que les moines ont apporté au mouvement national bulgare (il faut dire que la fondation au XIIe siècle célébrait une victoire bulgare sur les Byzantins). Randonnée avec un guide francophone privé.
Route pour Oreshak. Nuit au pied du Grand Balkan. Votre hôtel est composé de deux maisons datant de la fin du XIXe siècle. L’accès est un peu acrobatique : on tient ferme son volant, mais le gymkhana en vaut la chandelle. Le site forestier est splendide. Pleine nature. Les bâtiments ont été restaurés avec soin et ont un charme fou. L’ameublement et la décoration renvoient à la Bulgarie d’antan. C’est agréablement dépaysant et parfaitement en phase avec les entours de campagne. Une simplicité bien pensée. Le jardin fait le lien avec la forêt. On y passe une délicieuse soirée. D’autant que, l’été, le barbecue fonctionne. La table maison utilise des ingrédients de saison et de proximité ; le propos étant de réactiver le cookbook traditionnel. Et c’est très réussi.
Au sud d’Oreshak s’étend le parc national du Balkan central, qui protège le toit du Grand Balkan et un milieu naturel exceptionnel pour son intégrité. L’Europe a là un témoignage émouvant de ce qu’elle fut, mutatis mutandis, longtemps. Profitez-en ! Comme du monastère de la Très Sainte Mère de Dieu, à Troyan, une dizaine de kilomètres à l’ouest d’Oreshak. Fondé au XVIe siècle, il possède un splendide programme de fresques XIXe et une icône miraculeuse, la Vierge aux trois mains - la 3e étant celle (coupée) de Jean Damascène, fervent défenseur des images religieuses au VIIIe siècle.
Rendu de la voiture à l’aéroport de Sofia et vol retour.
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