Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Vol international via Pékin. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Accueil personnalisé à l’aéroport, transfert et installation pour la nuit dans un petit hôtel de charme, établi au calme dans un quartier animé de nombreuses petites boutiques d'artisanat. Une trentaine de chambres seulement, un ravissant jardin intérieur, une architecture authentique et une décoration travaillée dans le style zen chinois. Le service est souriant, la table et le salon de thé agréables, le confort omniprésent.
Remise de votre permis de voyager au Tibet par Catherine, notre concierge française.
A votre agenda - La visite des quartiers anciens de Chengdu. Fondée au IIIe siècle av. J.-C., la capitale de l'ancien royaume de Shu est aujourd'hui une vaste cité aux allures occidentales. Quelques jardins, temples et monastères du Chengdu d'hier ont survécu, comme la chaumière de Du Fu, célèbre poète de la dynastie Tang, ou encore le parc de Wangjiang, en plein cœur de la ville, qui abrite plus de cent-cinquante variétés de bambous. Au parc du Peuple, les habitants de la ville se retrouvent pour pratiquer le tai chi ou pour danser. Egalement prévue : la visite d’un centre de protection des pandas géants. La région de Chengdu est connue pour abriter la plus grande concentration de pandas sauvages de la planète. C'est dans les montagnes environnantes que se trouvent la plupart de ces 1600 pandas. Le centre s'étend sur cinquante-cinq hectares et œuvre à soigner les pandas sauvages blessés ou malades. Il est doté d'une zone de quarantaine, de recherche, de contrôle de maladie, de soin, d’élevage et d’accueil.
A faire, à vivre - Boire un thé dans la maison de thé du temple Daci - s'initier au jeu de go (weiqi), un simple divertissement autant qu’une philosophie de vie - assister à un spectacle de Chuanju, opéra local.
Transfert privé et vol pour Lhassa (3650 m). Accueil personnalisé et francophone à l’aéroport, installation pour trois nuits au sud-ouest du Potala. L’hôtel, qui combine structure contemporaine et motifs traditionnels tibétains marque beaucoup d’élégance. Dans les chambres, de belles étoffes et une literie confortable. A la fenêtre, la montagne. Restaurants et bars reflètent l’esprit maison, à a fois sophistiqué et détendu. Les fondues healthy de la table sichuanaise et les tapas himalayens du Shambala se signalent à l’attention des gourmets. Lorsque le temps le permet, on prend un repas sur la terrasse (ou même un bain, dans le bassin extérieur). L’espace bien-être s’adresse au corps et à l’esprit. Partout, le personnel est avenant et attentif. Un très bel hôtel, idéal pour s’acclimater quand on arrive – à 3600 mètres tout de même !
Au programme - Visite du Jokhang. Premier temple bouddhiste fondé au Tibet, le Jokhang est un pèlerinage majeur. Il abrite le Jowo Sakyamuni, statue en bronze doré du Bouddha adolescent, apportée de Chine par la princesse Wencheng. On rencontre ensuite des nonnes bouddhistes à la main verte, si l’on en juge par le ravissant fleurissement de leur couvent. Elles tiennent aussi un petit restaurant, où il fait bon boire le thé en dégustant des momo, les ravioles tibétaines. Ensuite, on va au monastère de Séra (XVIe siècle), université monastique de renom - danse et musique, astrologie, médecine, métaphysique, philosophie, logique et dialectique. Les moines y pratiquent encore une disputatio - débat public et joutes oratoires - qui ne peut manquer de faire penser à celle qui avait cours dans les universités médiévales en Europe.
Déjà prévu au programme - Le Potala. Les deux éléments principaux de la célébrissime forteresse qui domine Lhassa sont le palais blanc et le palais rouge. Les dalaï-lamas habitaient le premier, lequel abritait aussi les organes civils du gouvernement. Le second, dédale de chapelles et de bibliothèques, était dévolu aux activités religieuses. En dépit des avanies, le Potala conserve encore des merveilles artistiques. Des tankas admirables notamment. La visite de ce chef d’œuvre d’architecture himalayenne est particulièrement émouvante et invite, autant que le palais de Versailles, à une méditation sur la politique, les arts et le sacré. Dans les pas des pèlerins, on se rend sur le mont Chakpori (où fut établie une importante école monastique de médecine traditionnelle) pour admirer des sculptures polychromes anciennes. Quant au Norbulingka, c’est un complexe de jardins, de palais et de temples, dont la construction a commencé en 1751. Le domaine a servi de résidence d’été aux dalaï-lamas jusqu’au départ de Tenzin Gyatso en 1959. Bassins, bosquets, vergers : l’endroit le plus agréable de Lhassa.
Route pour Tsétang (3500 m). A 160 km au sud-est de Lhassa, dans la haute vallée du Yarlung Tsangpo / Brahmapoutre, cette ville est l’ancienne capitale de la dynastie Yarlung (VIIe-IXe siècles), berceau de la civilisation tibétaine. Au cours de ce voyage aux origines de l’Etat, on visite en particulier l’impressionnant palais de Yumbulagang, résidence royale puis monastère gelugpa ; mis à mal par la Révolution culturelle, il a été relevé dans les années 1980. Et le vénérable monastère Tradruk, qui possède, entre autres trésors, un tanka que la princesse Wencheng, épouse chinoise de Songtsen Gampo, premier empereur du Tibet et fondateur de Lhassa (VIIe siècle), aurait brodé de perles.
Installation pour deux nuits dans un grand hôtel du centre moderne. Pas d’excès de charme, mais un certain décorum, de l’application et un confort appréciable. Les chambres sont simples et propres. Le restaurant propose une série classique de plats tibétains et chinois.
Au programme - Une balade dans les grottes de Chinpuk, ancienne retraite de méditation du maître Guru Rinpoché, toujours fréquentées par des moines en recueillement. Ensuite, visite du monastère de Samyé (3400 m), sans doute le premier monastère bouddhiste fondé au Tibet, en 779. Il est bâti en forme de mandala, représentation du cosmos tantrique. Le temple principal figurant le mont Meru, axe de l’univers. Dans ce remarquable édifice, les styles tibétain, chinois et indien se superposent. A l’entrée, la stèle de l’empereur Yarlung Trisong Detsen proclamant, l’année d’achèvement du temple, le bouddhisme religion d’Etat. C’est ici qu’il aurait été décidé que le Tibet suivrait la voie gradualiste indienne, plutôt que celle de l’illuminisme chan. Pour compléter la visite, on grimpe sur la colline Hepori, d’où la vue est très belle sur le Samyé et la vallée. Ou l’on accomplit la circumambulation du temple avec les pèlerins.
Route pour Gyantsé (3977 m). Deux cols, Gampa-La (4794 m), au-dessus des eaux bleues du lac Yamdrok-Tso, et Karo-La (5020 m), d’où la vue est époustouflante sur le massif du Noijin Kangsang. Au passage, visite du monastère drukpa Ralung (fondé au XIIe siècle). Bonnets rouges. C’est le dix-huitième abbé de Ralung, Ngawang Namgyal, qui, au XVIIe siècle, a jeté les bases de l’Etat du Bhoutan. Arrivée à Gyantsé en fin d’après-midi. Nuit dans un hôtel kitsch tibétain tout à fait réjouissant. Rien à voir avec l’esprit qui préside aux destinées contemporaines de l’hôtellerie mais, une fois de temps en temps, ça ne gêne pas. D’autant que les chambres sont bien tenues et les services assurés de façon satisfaisante.
A voir, à faire - Promenade dans les rues de la vieille ville, au pied du dzong, la citadelle. Dans le monastère de Palcho, se trouve le plus grand chörten / stûpa du pays. Ce monument du XVe siècle, de style népalais, renferme soixante-dix-sept chapelles décorées d’un splendide ensemble de peintures murales. C’est, comme Samyé, un mandala en 3D.
Transfert à Shigatsé (3836 M). Nuit dans un hôtel récent. La décoration a su raison garder, même si elle ne recule pas devant le bois sculpté néo-traditionnel. Les chambres sont confortables et adornées chacune de peintures illustrant l’épopée tibéto-mongole de Gesar. On trouve une agréable maison de thé sur le toit de l’établissement.
Au programme - Visite du monastère de Tashilhunpo. C’est le premier dalaï-lama qui a fondé le Tashilhunpo en 1447. Les abbés en furent nommés panchen (grand érudit). La lignée de réincarnation des panchen-lamas commence avec le quinzième d’entre eux, au XVIIe siècle. Depuis, ils ont le deuxième rang dans la hiérarchie politico-religieuse tibétaine. Les œuvres d’art sacré conservées ici rivalisent bien souvent avec celles que l’on peut voir au Potala. On emprunte le lingkhor, le chemin dévotionnel, pour réaliser la circumambulation du monastère ; on se prend à rêver à l’exposition des peintures monumentales sur le mur des tankas. On s’arrête aussi sur un marché, où l’on trouve des merveilles d’artisanat tibétain, des pots à bière ou des théières en cuivre.
Transfert à Shelkar (4330 m). En chemin, visite du monastère de Skya, fondé en 1073, siège de l’école Skayapa, l’un des quatre courants du bouddhisme tibétain, et ancien siège du gouvernement au XIIIe siècle. Installation pour deux nuits dans un hôtel au standard tibétain. La décoration reste dans le ton de ce qui a précédé, le service également. Il n’est pas, de toute façon, question d’évaluer ces établissements à l’aune des critères européens. On est là pour dormir. Ce qui permet de fermer les yeux sur les menus défauts…
Au programme - Vous quittez votre hôtel à l’aube pour avoir une belle vue de la chaîne himalayenne au soleil levant. Vous suivez pendant trois heures la route qui grimpe au monastère de Rongpuk. A 4980 mètres d’altitude, c’est le plus haut monastère de Tibet, et probablement du monde. Ambiance haute montagne impressionnante, vue magnifique sur le sommet de l’Everest - ici appelé de son nom tibétain, Jomolangma - qui culmine à 8848 mètres d’altitude. Vous poursuivez votre route jusqu’au camp de base d’où débutent les expéditions des alpinistes sur la face nord de l’Everest, à 5100 mètres d’altitude (sous réserve de conditions climatiques favorables). Retour à l’hôtel en début de soirée.
Retour à Shigatsé. Sur le chemin, visite du petit monastère de Nartang, dont le nom signifie « monastère dans la trompe de l’éléphant », en référence aux courbes de la montagne qui ceint le monastère. Fondé en 1153, il est réputé pour abriter une des principales imprimeries traditionnelles de livres sacrés (sutras). Nuit dans le même hôtel qu’à l’étape précédente.
Route de retour pour Lhassa (270 km, environ 5 heures) et installation pour deux nuits dans votre hôtel, le même qu’à l’arrivée : structure contemporaine et motifs traditionnels tibétains, décoration sobre et harmonieuse. Et à la fenêtre, toujours la montagne. L’occasion de profiter, entre deux visites de monastères, du spa voluptueux.
A votre agenda - La visite du monastère de Ganden (4300 mètres). Vous rejoignez le monastère en empruntant une route sinueuse le long de la rivière Kyichu, dans la vallée de Taktsé. Il est l’un des trois centres Gélupa d’enseignement du bouddhisme tibétain. Au retour, halte dans le village de Lamo, pour déjeuner à la table d’une famille de villageois - saveur des baignés fourrés à la viande de yak, du potage parfumé aux herbes.
En alternative pour cette dernière journée - La visite du monastère de Drépung suivie d’une initiative à la calligraphie - les retraites troglodytiques de Drak Yerpa.
Dans l’après-midi, transfert privé à l’aéroport. Vol pour Pékin, puis vol international retour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
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