À l'arrivée, transfert privé pour le centre historique et installation pour deux nuits dans une maison coloniale datant de 1925. Complètement restaurée par des artistes de la renommée Escuela Quiteña, elle est baignée de lumière. Ses propriétaires y ont installé trois chambres autour d'une jolie cour intérieure où il fait bon prendre un verre ou bouquiner après avoir exploré la ville. Les intérieures se veulent sobres et élégants, dans des tons clairs contrastés par un beau parquet et des meubles en bois. Sur le toit, un petit coin détente a été aménagé, permettant de profiter d'une vue imprenable sur la ville.
Au programme - La capitale coloniale en privé. Le vieux Quito classé à l’Unesco a été très peu remanié et donne l’impression de remonter dans le temps, jusqu’à l’époque de l’Audience royale. Le plan en damier est respecté, des couleurs vives animent les alignements de maisons à un étage ornées de balcons espagnols et, de place en place, surgissent d’imposants édifices civils et religieux. Comme la cathédrale, le palais Carondelet ou l’église Saint François, qui abrite la Virgen de Quito, vénérée dans tout le nord des Andes. Quant à la Iglesia de la Compania de Jesus, elle indique quels étaient alors les gens d’influence (lesquels pouvaient faire travailler les meilleurs artistes de l’école de Quito). Chemin faisant, on ne manque pas de goûter au breuvage local, le canelazo : mélange d’aguardiente, de sucre de canne, d’eau et de cannelle.
Transfert privé à l’aéroport et vol pour l’île de San Cristóbal, porte d’entrée de l’archipel des Galápagos. Nouveau transfert privé et installation pour deux nuits dans une villa blanche posée face au port et à la baie. Une adresse simple et sans prétention, mais de bon confort, avec partout de grandes baies vitrées pour laisser entrer la lumière. On apprécie particulièrement l’accueil chaleureux de la propriétaire francophone et la terrasse qui invite à la contemplation.
L’île-capitale des Galápagos, la plus orientale de l’archipel, sert de refuge à une grande colonie de lions de mer. Près de la Playa Mann, le centre d’interprétation retrace l’histoire géologique et naturelle des Galápagos. Plages, criques secrètes, sentiers de randonnées : San Cristóbal se prête admirablement aux balades à pied. On se chausse donc confortablement et on part explorer au gré de ses envies.
En option - Snorkeling sur le site du Rocher de Leon Dormido ; une journée avec un guide privé pour une exploration en profondeur de l’île.
Transfert privé à l’aéroport et vol pour Isabela. On grave dans notre mémoire chaque image de ce saut de puce mémorable au-dessus de terres épargnées à la beauté irréelle. Une fois sur l’île, transfert privé et installation pour trois nuits dans un hôtel conjuguant simplicité, confort et belle atmosphère. Posé au bord d'une jolie plage de sable, il se prolonge par un vaste jardin planté de palmiers, fleurs et plantes endémiques. À l’heure du déjeuner, on monte au dernier étage du bâtiment où le restaurant régale, entre autres, d’une belle vue sur l’océan puis l’on se laisse allerà une petite sieste dans les hamacs.
Déjà prévu - Isabela dans les pas d’un local. On emboîte le pas d’un habitant de l’île (francophone qui plus est) pour une découverte intime d’Isabela au fil de l’eau. Rien n’est vraiment prévu à l’avance, on improvise en fonction des envies, des centres d’intérêt ou de l’agenda du moment. Chemin faisant, notre ami du jour distille de précieuses informations sur l’archipel et partage quelques secrets bien gardés d’Isabela.
Au programme - Une journée de navigation autour des tunnels de lave de Cabo Rosa. Ici nichent de nombreuses colonies d’oiseaux comme les fous masqués, les fous à pattes bleues, les pélicans et les lions de mer. Les paysages, issus du refroidissement brutal des coulées de lave lorsqu’elles entrent en contact avec la mer, sont stupéfiants. Après avoir caboté au milieu de ce véritable tableau vivant, on enfile masque et tuba pour passer de l’autre côté de la surface et aller à la rencontre de la faune subaquatique.
À votre disposition - Des vélos le temps d'une journée. Le vélo se prête admirablement à la découverte en liberté d’Isabela. Plusieurs sentiers balaient l’île, alternant entre pistes goudronnées et chemins de terre ou de sable. Bien balisés, ils mènent à des villages ou des plages, croisant en chemin une multitude d’animaux et de décors spectaculaires. L’occasion aussi de faire une halte au centre de reproduction et de préservation des tortues géantes endémiques de l'île.
En option - Une randonnée privée autour des volcans Sierra Negra et Chico.
Transfert privé pour le port et traversée pour l'île de Santa Cruz. Nouveau transfert privé jusqu'à votre dernière adresse, où vous vous installez pour trois nuits. Celle-ci présente de beaux atouts. À commencer par les chambres, spacieuses et lumineuses, dont certaines se prolongent d’un balcon avec vue sur la baie. De la façade aux espaces en commun, l'ensemble est sobre et élégant, misant sur la fraîcheur du blanc et le charme du bois. On apprécie particulièrement la piscine, échappatoire aux heures les plus chaudes, et le jacuzzi pour se détendre en fin de journée.
Au programme - L’île de Seymour. Située au nord de l’île de Baltra, l'île tient son nom du noble anglais Lord Hugh Seymour. Cette petite île volcanique inhabitée se couvre d’une végétation sèche – le cactus Opuntia et le cactus à raquette vivent ici à leur aise. Iguanes terrestres, fous à pattes bleues et frégates nichent par centaines sur cette île. Le site de Bachas s’impose comme l'un des plus exceptionnels de l'archipel du fait de sa riche faune terrestre et aquatique. On en prend toute la mesure au fil de cette journée en compagnie d’un guide passionné – à pied mais aussi à palmes, une session snorkeling étant également prévue.
Depuis l’embarcadère de Puerto Ayora, quelques minutes de bateau suffisent pour rejoindre Las Grietas, un canal d’eau salée propice à la baignade et à la pratique du snorkeling en toute quiétude. Afin d’éviter une trop grande affluence, il est préférable de s’y rendre tôt le matin. Le sentier qui longe le canal, bordé de cactus, mène à la plage de los Alemanes puis à une saline tout en présentant une jolie vue sur l'ensemble du site. L’après-midi, on peut visiter la station scientifique Charles Darwin sur l’étude et la conservation du milieu naturel puis faire une halte à Tortuga Bay, qui invite au farniente mais aussi à l’observation sous-marine. Ou encore se balader sur les hauteurs de Santa Cruz, entre tunnels de lave, forêts et réserve naturelle d’El Chato.
Transfert à l’aéroport et vol pour Guayaquil, puis vol international retour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
