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Transfert et installation pour trois nuits à Gold Coast. L’hôtel date des années folles et reflète bien l’esprit de ce quartier chic, à un quart d’heure à pied de Lincoln Park. Le marbre est de sortie et un certain décorum règne dans les parties communes. Cependant, une gamme de tons plutôt neutre relaxe : blanc beige brun. Les chambres sont minimalistes confortables et lumineuses ; literie naturelle ; une décoration économe donne partout une impression d’espace ; impeccables salles de bain. Fitness centre. Un bar, bien sûr : cocktails, velours, bois sombre. Et un restaurant qui fait de la cuisine du jour quelque chose de bel et bon. Ce qui signale un savoir-faire précis. Au total, élégance contemporaine.
Déjà prévu - Go Chicago Card. Ce pass vous permet de circuler, d’entrer gratuitement sur certains sites fameux et d’obtenir des réductions ailleurs. Il n’est donc pas superflu et vous fait gagner un temps toujours précieux en voyage.
Second City n’a rien à envier à Big Apple : Chicago n’a pas à jalouser New York. L’une et l’autre ville s’équivalent en termes de densité architecturale, de légende urbaine, de sound. Les premiers architectes de leur temps ont construit ici, comme Frank Lloyd Wright - Robie House, 1909, par exemple, patrimoine mondial. La pègre de Chicago appartient à l’imaginaire noir de tous les honnêtes gens. Muddy Waters, Sonny Boy Williamson ou Albert King, Otis Rush ont donné ses titres de gloire au Chicago blues. Et la ville ne s’en tient pas là. Conservatrice juste ce qu’il faut, elle continue de brasser des affaires, aller au restaurant, danser, essayer de nouveaux cocktails, soutenir les Chicago Bulls. On se promène dans le Millenium Park, on navigue sur le lac Michigan. Et on réalise que la relation entretenue par la mégapole avec la nature n’est pas si univoque que ça. Les collections de l’Art Institute sont à étourdir l’esthète le plus chevronné. Lequel se remettra avec un hot dog dans le style local : no ketchup. Les boutiques déploient toutes les séductions pour tenter le chaland. On roule à vélo pour détendre l’atmosphère. Explorez !
En option - Une soirée au Andy’s Jazz Club (dîner et spectacle).
Déjà prévu au programme - Like a friend archi. Après de nombreux allers et retours transatlantiques, votre guide a fini par s’installer à Chicago. Plus simple ainsi d’assouvir sa passion pour la cité des Vents. Et d’en explorer coins et recoins. L’architecture de la ville n’a désormais plus de secret pour elle. Grands noms, comme entrepreneurs oubliés, c’est munie d’une érudition aimable qu’elle vous entraine vers le Loop, le quartier d’affaires, dont la qualité de construction étonne. Willis Tower, Bruce Graham, 1973, ex plus haut building du monde ; Studebaker Building, Solon Spencer Beman, 1894, art nouveau chicagoan ; le colossal Civic Opera House, Graham, Anderson, Probst and White, 1929, art déco ; Navy Pier, Daniel Burnham et Edward H. Bennett, 1916, des entrepôts à la fête foraine ; Rookery Building, John Wellborn Root et Daniel Burnham, 1888, les briques de l’école de Chicago. Pour n’en citer que cinq. Les trois heures de promenade commentée, en français, convertiraient un homme des cavernes à l’architecture.
Prise en main de la voiture de location et route vers le nord, et Milwaukee. Installation pour deux nuits dans le centre, à deux pas de la Milwaukee River. Artistes et designers ont été invités à collaborer à la décoration de l’établissement. Résultat : celle-ci varie en intensité d’un style hôtelier assez classique à des effets franchement psychédéliques dans certaines chambres - sans se départir jamais d’un confort soigné, ni d’un sens réel de l’équilibre graphique. Le personnel est avenant et efficace. Une salle de sport propose une série cohérente d’appareils. Des expositions d’art sont organisées sur place, l’hôtel disposant d’un espace dédié. Deux bars et trois restaurants permettent d’opter pour une pizza napolitaine, une côte de porc au cidre - Midwest cuisine - un tomahawk chop maturé, etc.
Déjà prévu au programme - Milwaukee like a friend. La capitale américaine de la bière n’a pas manqué de moyens pour se doter d’une architecture à la hauteur de sa pléthorique production. Si la marée houblonnée s’est amenuisée ces dernières décennies, le patrimoine est resté. Ce n’est pourtant pas aux Pabst Theatre, Pabst Building (de la Pabst Brewing Company) que la visite - en français - commence, mais à l’entrée du Milwaukee Art Museum, 2001, dessinée par Santiago Calatrava, à qui l’on doit, entre beaucoup d’autres, la gare TGV Saint-Exupéry à Lyon. Puis, ce sera le Milwaukee County War Memorial, d’Eero Saarinen, 1957. De là, très belle vue sur le lac Michigan. L’ensemble d’édifices portuaires et industriels fait forte impression : taille US. La visite se poursuit vers downtown et se termine parmi les stands du Public Market, le hub gastronomique de la ville.
Ensuite, si on veut poursuivre Frank Lloyd Wright dans ses œuvres, on peut aller visiter l’église de l’Annonciation de Wauwatosa, 1956.
Déjà prévu - Entrée au Harley-Davidson Museum. Il est impossible de passer par Milwaukee sans succomber aux belles mécaniques. Harley-Davidson est une légende, pas un fabricant de motocyclettes comme les autres. Aussi va-ton, des étoiles dans les yeux, admirer les modèles Hummer, Electra Glide, Fat Boy et autre Cafe Racer.
Route pour Ephraïm, sur la péninsule Door, le point le plus oriental du Wisconsin. Dans la rue principale du village, votre home pour deux nuits est plein de charme countryside. Entouré d’un beau jardin, où l’on pousse l’esprit traditionnel jusqu’à jouer au croquet, il ne laisse manquer de rien. Le style général est Nouvelle-Angleterre confort, avec des touches suédoises qui rendent hommage aux fondateurs. Les chambres sont coquettes et douillettes. Les hôtes ont accès à un sauna, à une salle de fitness et à une jolie piscine intérieure. Dehors, les Adirondack chairs mettent le bien-être à l’épreuve du farniente. Le petit déjeuner, préparé sur place avec beaucoup de soin, prélude savoureusement à la journée.
Ephraim, ravissant petit bourg fondé au XIXe siècle entre la forêt et le lac, jouxte le Peninsula State Park, dans le périmètre duquel on peut faire du vélo - Sunset Bike Trail ; jouer au golf ; randonner ; s’informer de la faune et de la flore de la péninsule - White Cedar Nature Center. On peut surtout profiter de la côte de Green Bay : un paysage à la fois ample et doux que les saisons parent de couleurs changeantes. Une sortie en bateau jusqu’à Horseshoe Island ou la tournée des phares (ces grands lacs requièrent autant que la mer de puissants repères) étant deux autres bonnes idées. Des plages invitent à prendre un bain, et le soleil dans les dunes. En cours de balade, pourquoi ne pas essayer un fish boil, corégone du lac et pommes de terre bouillis dans une grande marmite de fer. La formule est héritée des colons scandinaves qui se sont installés nombreux dans la péninsule.
Route pour Marquette, sur la rive sud du lac Supérieur. Installation dans le principal hôtel de la ville, ouvert au public au début des années 1930. La dernière rénovation en a fait une adresse bien ancrée dans le classicisme hôtelier américain. Des chambres confortables, dont la décoration un peu emphatique convient à un établissement de standing. Les lambris ne manquent pas aux salons. De la respectabilité, en somme. Et une salle de gymnastique. Un pub. Le lac est à quelques pas. En dehors du plus grand dôme de bois du monde - sur le campus - du musée naval (de style roman richardsonien) et du Harbor Light, Marquette offre de multiples possibilités de promenades, terrestres et aquatiques. Les bois environnants sont splendides. Le secteur protégé Pictured Rocks National Lakeshore s’appuie sur plusieurs kilomètres des falaises étonnamment polychromes. Bonne occasion de s’enthousiasmer pour la chimie minérale !
Route vers l’est pour Saint Ignace, sur le lac Huron. Rendu de la voiture et embarquement à bord d’un ferry pour Mackinac Island. Installation pour deux nuits au bord de l’eau, ou presque. L’hôtel n’en étant séparé que par un grand jardin. Kiosque, fauteuils blancs éparpillés sur le vert des pelouses, massifs de fleurs : l’effet est plutôt smart. Les chambres sont claires, nettes, d’une simplicité balnéaire. On y est bien sans chichis, mais pas tout à fait sans élégance. Une atmosphère qui se prolonge au spa. Piscine extérieure. Salle de gym pour les parents ; salle de jeux pour les enfants. Dans les cinq restaurants de la maison - de la table gastronomique au coffeeshop - les cuisiniers modulent leur savoir-faire avec à-propos. Location de vélos sur place.
Les véhicules motorisés ayant été bannis de Mackinac dès la fin du XIXe siècle, on n’y circule encore qu’à cheval, monté ou attelé, à bicyclette ou à pied. Cela crée un climat. Le Mackinac Island State Parc met la nature variée de l’île à l’abri des déprédations. Les ornithologistes patentés ou amateurs observeront le jaseur boréal, la paruline flamboyante, la passerine indigo ou, s’ils sont familiers des ombres, la chouette rayée. Les bâtiments historiques, dont le fort de 1780 (construit par les Anglais pour contrôler le commerce des fourrures), méritent d’être visités pour le valeur patrimoniale et pour le charme que dégage leur architecture de bois. Les promenades qui y mènent sont d’ailleurs des plus agréables. Le flâneur est récompensé partout de son dilettantisme ambulant. On sera aussi bien inspiré de s’intéresser à la confiserie du coin, le Mackinac Island fudge : beurre, sucre, lait et, traditionnellement, chocolat ou vanille. Une tuerie, à tous les sens du terme, fondante.
Ferry pour Saint Ignace. Reprise en main d’une voiture de location et route pour Traverse City, au bord du lac Michigan. Installation pour la nuit dans une maison du centre-ville dont le parement de bois suggère la date de construction : 1900. Dedans, un mobilier choisi évoque l’Amérique des années 1750-1850. Avec le confort d’aujourd’hui. Dans les chambres, le blanc domine ; elles en ont quelque chose de frais et pleinement reposant. Dort-on jamais mieux que dans des draps blancs ? Produits ménagers green et petit déjeuner organic.
Traverse est une petite ville pleine de charme et de vie. Le Northwestern Michigan College draine plusieurs milliers d’étudiants, qui trouvent dans de nombreux coffeeshops une alternative à leurs salles de cours. C’est pétillant et arty. D’autre part, la ville est la capitale américaine de la griotte, statut traduit en tartes et célébré par un festival annuel. La région produit aussi des vins de qualité, dont de délicieux ice wines. Les formations dunaires du Sleeping Bear Dunes National Lakeshore sont tout à fait spectaculaires.
Route vers le sud. A Saugatuck, installation pour deux nuits - à cinq kilomètres environ du centre - dans un bâtiment allongé et bas de style motel. Plaisir de trouver là une ligne claire année 60. Les chambres sont fonctionnelles avec ce qu’il faut de cosy pour profiter pleinement de la situation au bord du lac. Blanc, gris, bleu, les teintes de toujours du voisinage aquatique. La piscine est chauffée. L’hôtel loue des vélos et organise des séances de yoga. Des canoës jaunes sont garés sur le deck-promenade le long de l’eau : ils sont vite mis à flot. Le soir, les conversations vont bon train autour des feux de camp, puis s’accoisent dans la contemplation du ciel étoilé.
D’abord petit poste de l’exploitation forestière, Saugatuck a rapidement noué des liens avec les artistes. Ceux du mouvement Arts and Crafts notamment, à la fin du XIXe siècle. Depuis, le bourg entretient un esprit d’indépendance et d’originalité. On peut le constater dans les cafés, les galeries, les boutiques. Un art de vivre à la fois cool et sophistiqué. Dans les environs, les sentiers de randonnée sont nombreux. Un bateau à roue à aubes emmène des passagers sur la Kalamazoo River et le lac (celle-là se jetant dans celui-ci juste au nord de la municipalité). Et si vous n’avez pas entendu parler d’Oval Beach, c’est que vous ne vous intéressez pas aux classements des meilleures plages du monde : sable blanc doré, dunes, eaux bleu outremer, Oval est dans le top ten.
Déjà prévu au programme - Location d’un bateau. Pour remonter la Kalamazoo River et découvrir les plus belles maisons de Saugatuck, vous disposez d’un petit bateau rétro équipé d’un moteur électrique. Pilotable, maniable, silencieux, il ne pose aucun problème technique aux marins d’eau douce.
Route pour l’aéroport de Chicago. Rendu de la voiture et vol de retour.
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