Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert privé et installation pour deux nuits dans le centre. L’immeuble témoigne des années 1920 chic. Derrière la façade crème, un aménagement minimaliste, dans les tons blanc, gris, anthracite, avec des éclats bleu pétrole, vert sapin, cuir fauve. Parquet partout. Les chambres se définissent comme des tailles de vêtement, de small à XL. Elles sont parfaitement équipées et confortables. Conçues pour le voyageur urbain, qui apprécie le confort sobre. Les grandes fenêtres invitent à considérer l’extérieur d’abord. Le petit déjeuner est préparé sur place (et servi sur la terrasse d’altitude lorsque le temps s’y prête).
Déjà prévu - Food Tour Thessalonique. C’est une façon (et pas la plus déplaisante) d'explorer la ville : vous allez, en compagnie d’un guide francophone privé et averti, à la découverte des repaires gourmands que les Thessaloniciens gardent pour eux. Ce sont de petits magasins traditionnels, des tavernes, des traiteurs, des comptoirs, où l’on déguste ce qui se produit dans l’arrière-pays, ce qui se pêche dans la mer, ce qui arrive d’Orient. On grignote, on lève le coude – l’ouzo, ce n’est pas « l’ouzo », ce sont « les ouzos » – on papote et invariablement la ville et son histoire s’évoquent. Vous la regarderez différemment d’ailleurs ensuite. De l’intérieur, en quelque sorte. La cuisine assimile à vitesse grand V.
Prise en main de la voiture de location. Route pour Kastoria, au bord du lac Orestiada. Nuit dans la vieille ville, à quelques enjambées de l’eau. La maison dresse une géométrie nette au milieu de la cour dalée. À l’intérieur, on aura des rappels de pierre et de brique nues, mais le bois est le matériau dominant : planchers, lambris, mobilier. Blanc, crème, gris, bis, la tonalité est douce. Les chambres dispensent la même atmosphère. La literie est excellente. Le confort n’est pas l’effet du hasard, mais d’un fini soigné. Et de la prise en compte des besoins. Le petit déjeuner est servi sur place. De l’hôtel, on se promène, on se laisse prendre au pittoresque de la petite ville, au calme du lac. On peut visiter l’église Saint Athanase des Muzaka, qui conserve de belles fresques du XVe siècle. Et il y en a d’autres encore, des églises anciennes. Les demeures de période ottomane donnent beaucoup de cachet aux quartiers de Dolcho et Apozari. Quant à manger une truite dans une auberge au bord du lac, cela s’impose.
Route pour Aristi, dans les Zagoria centrales. Installation pour trois nuits dans le village. Tout beau de son architecture en pierre. Les maisons qui composent l’hôtel ont été magnifiquement restaurées ; elles ont le charme des choses vraies, authentiques. L’intérieur, respectueux du bâti – lequel fait l’essentiel de la décoration – marque beaucoup d’élégance rustique. Le mobilier a été choisi avec discernement : confortable, pratique, mais aussi esthétique. La dotation des logements procure au voyageur tout ce dont il peut avoir besoin. Couchage, living, salle de bain, on est chez soi ! Au restaurant (café bicentenaire), cuisine des Zagoria, dont les ingrédients sont procurés par les agriculteurs du coin – certains provenant même du potager du propriétaire.
Aristi est l’un des plus jolis villages des Zagoria. Il se trouve au bord des gorges du Vikos, motif géographique majeur du parc national Vikos-Aoos. Ce canyon, dont la profondeur atteint plus de 1300 mètres, est le plus vertigineux du monde, compte tenu de sa largeur relative. Les points de vue y sont proprement fantastiques. Et ce paysage colossal a été creusé par le Vikos/Voïdomatis, plus persévérant qu’il n’est gros (on y pratique le rafting néanmoins). Dans les zones rocheuses, on aperçoit d'acrobatiques chamois et chèvres sauvages : Capra aegagrus, dont sont issues les caprins domestiques. Le toc-toc du pivert résonne dans la caisse des gorges et ce rapace là-haut peut être un vautour percnoptère. Avant l’établissement des routes modernes, les villages étaient reliés entre eux par des chemins pavés auxquels de nombreux ponts en arc (XVIIIe-XIXe siècles) permettent de passer les cours d’eau avec élégance. Aujourd’hui, ce réseau fournit de belles émotions aux randonneurs. L’architecture vernaculaire – pierre et lauze – est solide et noble. Les villages partagent peu ou prou le même dispositif central : une place, mesochori, avec un platane, une église et une fontaine. Les restaurations vont bon train, qui rendent aux villages leur allure.
Route pour Véria. Nuit dans une belle maison XIXe de l’ancien quartier romaniote – juifs de culture grecque. Les quelques chambres, décorées rétro chic, débordent d’agrément balkanique. Courtepointes fleuries, meubles peints, tapis ; salle de bain des plus convenables. La culture fusion caractéristique de l’empire turc imprègne encore aujourd’hui pièces particulières et communes et un art de vivre dont les voyageurs font l’expérience avec délectation. Sur le balcon au-dessus du jardin (ou dans la salle à manger : guéridons, nappes blanches, grande cheminée), le petit déjeuner est un moment spécialement agréable.
Au programme - Au sud-est de Véria, à proximité du bourg de Vergina, se trouve le site de la première capitale des Macédoniens : Aigai, cité considérable entre le IXe et le IVe avant J.-C. (classée Unesco). Philippe de Macédoine y fut assassiné et Alexandre le Grand couronné, en 336. Les archéologues ont fait dans le palais royal et la nécropole attenante une moisson de premier ordre. La tombe de Philippe II retient l’attention, avec sa façade ornée de scènes de chasse mouvementées. On a trouvé dans la chambre du monument un mobilier funéraire somptueux, parmi lequel un coffre d’or contenant les restes du roi. Visite du site avec un guide francophone privé.
Route pour Litochoro. Nuit dans une belle maison traditionnelle, avec un corps de bâtiment bleu. Huit chambres y ont été aménagées dans le respect d'une atmosphère pas si surannée que ça. Le bois et la pierre dominent ; les sols sont de carreaux de pierre, ou de céramique. De bonnes poutres soutiennent les planchers. Tout cela porte au plaisir de contempler de belles choses. Dans le salon, des cuirs odorants, des étoffes : ici, on sait vivre et cela ne date pas d’hier. Le petit déjeuner est servi à la salle à manger. Il respecte, lui, les bonnes choses, celles qui sortent des vergers, des ruches, des potagers, des étables. La dignité a souvent un abord austère ou farouche mais, cette fois, elle est aimable et invitante, le voyageur s'en trouve ennobli.
Vous êtes au pied du mont Olympe (classé réserve de biosphère par l’Unesco) et à quelques kilomètres des plages de Plaka, sur le golfe Thermaïque. Soit entre le domaine des dieux et celui de la crème solaire.
Route pour Vourvourou. Installation pour quatre nuits au nord du village. Visibles à partir de l’hôtel, dans le bleu de la mer (où les fonds font de grandes taches violacées), Aïmpelitsi, Peristeri et Elia Agiou Nikolaou, Diaporos qui appartiennent à un même archipel. La maison semble assez sagement moderne, bien agencée, mais plutôt discrète dans son jardin sur la pente. Respect des entours de nature. Dedans, l’atmosphère change : des couleurs pop et acidulées se bousculent partout sur les murs, et le mobilier semble la résurrection design des années 70. Votre chambre n’en est pas moins parfaitement fournie, pratique, facile à vivre. Une kitchenette en ordre de marche autorise à prendre ses repas chez soi ; sinon, on a recours aux restaurants proches. Un service de massage est proposé aux hôtes. Ainsi qu'une petite plage privée en contrebas. Équitation, plongée, canoë ou tennis se pratiquent à proximité.
La Chalcidique ressemble à un trident plongé dans la mer Égée. Les péninsules de Cassandra, Sithonie et Aktè encadrent les golfes Toronéen et Singitique. Le long de cette côte qui se plie et se replie comme un serpent marin, on profite des plaisirs de la mer et de paysages empreints d’un romantisme crochu. Quelques sites antiques, mais surtout une nature qui a ses aises. La Chalcidique semble curieusement oubliée et c’est une chance pour les voyageurs de vivre une Grèce encore confidentielle. Les moines du mont Athos, au bout d’Aktè, ne s’en plaignent pas. Pour entrer dans cette république qui regroupe vingt monastères orthodoxes, il faut être un vertébré mâle, une poule ou une chatte. Dans le cas où le vertébré mâle est de l’espèce Homo sapiens, il devra présenter un laissez-passer. On l’obtient à Ouranoupolis, d’où part le bateau pour Dafni, le port de l’Athos. Pendant que monsieur est parti sur les traces de saint Athanase de Trébizonde, madame profite de la plage.
En option - Croisière privée du côté de l’Athos.
Route pour l’aéroport de Thessalonique. Rendu de la voiture. Vol retour.
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