Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Vol international de nuit, arrivée le lendemain.
A l’arrivée, transfert privé pour Myeongdong, le "quartier éclairé" en coréen. Magasins de luxe et restaurants haut de gamme flirtent avec les vendeurs de rue sous l’éclairage énergique des néons. En journée, la rue ferme à la circulation pour le plus grand bonheur des piétons, libres de papillonner d’une échoppe à l’autre. Installation pour trois nuits dans une adresse moderne, idéalement située à proximité des transports. À l’intérieur, design décontracté et petit côté do it yourself dans l’air du temps. Les chambres allient literie confortable et salle de bains performante sous une ligne épurée.
Successivement appelée Hanyang, Hanseong et Kyeongseong avant de retrouver sa dénomination de Séoul à la libération en 1945, la ville – capitale du pays depuis plus de 600 ans – a traversé les difficultés et les âges. Une histoire riche qui se lit dans ses ruelles tantôt bordées de traditionnels hanoks aux toits incurvés, tantôt ponctuées de gratte-ciel néo-futuristes. Afin de faciliter vos explorations, vous avez en poche votre carte T-Money, véritable sésame vous permettant d'emprunter les transports en commun et de régler certains achats.
Au programme - Séoul dans les pas d’un local. Avec près de 10 millions d’habitants, la cité a de quoi intimider. Pour faciliter la mise en contact, vous rejoignez un francophone qui, tombé sous le charme du pays, a décidé de poser ses valises dans la capitale. Découverte des derniers lieux à la mode, visite à contre-courant des sites incontournables et plongée dans la culture coréenne : le programme n'est pas défini à l'avance mais improvisé en fonction des envies de chacun et de l’agenda du moment. L’occasion de poser ces questions qui vous brûlent les lèvres sur votre pays-hôte et d’accumuler de nombreux conseils pour la suite du voyage.
A voir, à faire - Arpenter les galeries du quartier d’Insa-dong ; faire la rencontre de la jeunesse coréenne à Hongdae ; admirer la ville depuis le sommet de la N Seoul Tower ; suivre les fumets des barbecues de rue jusqu’au Gwangjang Market ; s’initier à l’art coréen dans les différents musées de la ville ; s’empêcher de fredonner une rengaine bien connue à Gangnam.
Embarquement pour 2h à bord du Korean Train Express (KTX) pour rejoindre Gyeongju, sur la côte sud-est du pays. Installation pour deux nuits à proximité d’un hub de transports. On pénètre au sein de cette adresse au charme quelque peu suranné par un vaste hall au plafond haut, avant de se diriger vers son particulier. Si certaines chambres préfèrent jouer la carte de la tradition, d’autres respirent davantage le modernisme à l’occidentale. L’ensemble est confortable, bien que l’idée reste évidemment de profiter de l’emplacement rêvé de l’établissement pour partir promptement explorer la ville.
Capitale de l’ancien royaume de Silla qui régna sur le pays pendant près d’un millénaire, Gyeongju regorge de vestiges de cette lointaine époque où la Corée fut pour la première fois unifiée. Au temple de Bulguksa et à la grotte Seokguram, sereins et solennels, l’attachement de l’ancienne dynastie au bouddhisme est encore prégnant. Le palace Donggung, résidence secondaire de la famille royale, flanqué de l’étang de Wolji, laisse entrapercevoir ce qu’a pu être, en son temps, le quotidien de l’élite. Pour accompagner ceux-ci jusqu’à leur dernière demeure, direction la vallée. C’est ici que, sous la centaine de collines verdoyantes qui font le dos rond, les tombeaux des anciens rois sont dissimulés. Les trésors avec lesquels ils furent enfouis sont visibles au musée national.
Embarquement à bord du train pour Busan. Installation pour trois nuits à proximité du square de Yongdusan, où trône la Busan Tower. L’édifice aux lignes modernes dissimule des chambres lumineuses et confortables, dépourvues de fioritures. Après une nuit régénératrice, cap sur la station de transports en commun de Nampo, commodément située à quelques pas – une aubaine pour les aventures des jours à venir.
Deuxième ville d’importance du pays, Busan a bien plus à offrir que son image lisse de station balnéaire – n’en déplaise aux longues étendues dorées de la plage de Haeundae. Accroché à la falaise, le village de Gamcheon s’est métamorphosé au cours des dernières années : retraite pour quelques réfugiés de la guerre de Corée avant de se transformer lentement en bidonville, le quartier a, à l’initiative de la ville, été investi par les artistes locaux pour devenir un centre culturel aux couleurs vives. Les esthètes poursuivront leur éducation à l’art coréen au sein des différents musées de la ville : Busan Museum of Art, Trickeye Museum ou encore le Museum of Contemporary Art.
Déjà prévu - Busan dans les pas d’un local. Il y a souvent deux faces à une ville : celle que recherchent les visiteurs de passage et celle que les locaux préservent jalousement. Pour effacer cette frontière, vous avez rendez-vous avec un francophone expatrié qui a adopté la ville de Busan – et inversement. Vous lui emboîtez le pas tandis qu’il vous emporte de lieux confidentiels en petites adresses où vous êtes accueillis en ami. Sur le chemin, les échanges sur la vie en Corée vont bon train.
Embarquement à bord du ferry pour le Japon. En 3h30 seulement, le navire fend les eaux pour rejoindre le territoire nippon. La côte de Kyushu apparaît bientôt, et avec elle les champs de fleurs du parc de Nokonoshima, jusqu'à finalement atteindre Fukuoka. Installation pour deux nuits entre deux rivières, à proximité de la gare d’Hakata. Réparties sur plusieurs étages, les chambres – intimistes, aérées et confortables – apparaissent comme des refuges de choix pour échapper à la ferveur urbaine. Pour se remettre doucement en contact avec la ville, direction le toit-terrasse où les lumières projettent des ombres de végétation sur les surfaces. Un point de vigilance, toutefois : une fois installé dans les bains de soleil moelleux à souhait, il sera difficile de repartir !
Les plaines innervées de cours d’eau de la côte abritaient autrefois deux cités : à l’ouest du fleuve Naka-gawa se dessinait Hakata, populaire et sans âge, tandis qu’à l’est, le clan Kuroda fit édifier une nouvelle ville, féodale, organisée autour d’un château. Ce n’est qu’en 1889, à l’époque de l’ère Meiji, que les deux cités fusionnent. Riche de cet héritage, la capitale de la préfecture concentre aujourd'hui de nombreux sites d’intérêt. Si, du château, il ne reste que les remparts, le parc Maizuru qui l'enveloppe, avec ses cerisiers et ses pruniers en fleurs, justifie une visite en soi. Tout à côté, le parc Ôhori fait office de poumon vert avec une belle promenade qui s’enroule autour du lac. Autre symbole de la ville, le temple Kushida séduit les visiteurs en quête d'architecture vernaculaire, entre édifices de bois et toriis superbement alignés. Le temple de Tôchô-ji, plus loin, parfait le tableau : les cinq niveaux carmin de sa pagode s’élèvent vers le ciel tandis que, au second étage du sanctuaire, le plus grand Bouddha en bois du Japon regarde devant lui, imperturbable.
A voir, à faire - Dégainer la carte de transport mise à votre disposition pour éprouver les transports en commun locaux ; découvrir le premier temple bouddhiste zen du Japon à Shofukuji ; comparer les deux observatoires de la Fukuoka Tower ; faire ses emplettes au Canal City Hakata, centre commercial le plus déjanté de la ville ; s’attabler aux yatai, ces carrioles qui surgissent à la nuit tombée, pour déguster les spécialités culinaires locales.
Trajet pour Kyoto à bord du Shinkansen, TGV-star japonais. À l’arrivée, installation pour trois nuits dans le quartier de Nakagyo, central et paisible. Votre adresse n’a pas ménagé ses efforts pour se fondre dans l’environnement traditionnel de la ville : dès l’extérieur, on retrouve les codes architecturaux des machiya (maisons de ville) avec des fenêtres mushiko-mado qui intègrent aux murs plâtrés des motifs de claire-voie. À l’intérieur, un petit tsubo-niwa (jardin) enveloppé de verre met en scène quelques éléments de végétation sur un sol serti de pierres. Dans les étages, des chambres claires et aérées s’accompagnent d’une literie confortable, garantie d’un sommeil régénérateur.
Capitale du Japon et résidence de l’empereur de 794 à 1868, Kyoto aligne un paysage piqué de milliers de sites historiques : temples et sanctuaires, pagodes et ponts de bois, ruelles pavées et maisons de ville traditionnelles. Une richesse qui permit à la ville, en 1945, d’échapper in extremis au parachutage d’une bombe atomique, les décideurs américains s’accordant sur le fait que la perte du patrimoine de Kyoto aurait été un désastre, non seulement pour le Japon mais pour l’humanité tout entière. La cité est une scène ombrée d’arbres en fleurs au cœur de laquelle évoluent des protagonistes bien vivants : ici, une geisha montée sur des geta, la traîne de son kimono glissant sur le pavé, de l’oshiroi (poudre) délicatement appliqué sur la nuque ; là, un moine au crâne luisant drapé dans un tissu carmin.
A voir, à faire - Admirer le reflet du Pavillon d’or dans le Kyoko-chi ("bassin-miroir") ; déambuler sous les mille toriis rouges du sanctuaire Fushimi Inari Taisha ; adopter un autre point de vue sur la ville depuis les hauteurs du temple de Kiyomizu-dera ; faire une échappée nature dans la bambouseraie d’Arashiyama ; jouer des coudes avec les chefs au marché alimentaire de Nishiki ; contempler la perfection des alignements de graviers au cœur d’un jardin japonais.
Nouveau trajet en bullet train pour rallier Tokyo depuis Kyoto – une poussée dans le temps autant que dans l’espace. Installation pour trois nuits dans le quartier coréen de Shin-Obuko, à l’ambiance populaire – l’occasion de retrouver les marques acquises au début du voyage. L’ascenseur emporte les visiteurs jusqu’à leur appartement tout équipé. Un agréable sentiment de "chez-soi" prédomine après deux semaines de voyage – les services hôteliers en plus. Les avantages sans les inconvénients, en somme. Cerise sur le gâteau : les logements occupant les étages supérieurs de l’immeuble, le panorama sur la ville est proprement saisissant.
De petit village de pêcheurs du bord de mer à capitale de la troisième puissance économique mondiale, celle qui fut longtemps connue sous le nom d’Edo a parcouru un bien long chemin. Au XVe siècle, la cité devient la base militaire puis la seigneurie du shogun (général) Tokugawa, désireux de prendre ses distances avec Kyoto, la ville-impériale. Les samouraïs ont alors ravi le pouvoir politique à l’empereur depuis quelques siècles déjà. Au XIXe siècle, toutefois, le shogunat est renversé après avoir mis fin à la période de sakoku (fermeture du pays), mesure réprouvée par l’empereur et l’opinion publique. Débute alors l’ère de Meiji et, avec elle, la restauration des pouvoirs du monarque. En s’établissant à Edo, ce dernier confirme le statut de capitale de la cité, alors renommée Tokyo, la "capitale de l’est", par opposition à Kyoto, la "ville-capitale".
Déjà prévu - Tokyo dans les pas d'un local. Votre acolyte du jour vous mène à travers la ville pour une balade informelle et sans itinéraire préconçu. Le rythme est le vôtre, rien n’est prévu à l’avance : on improvise en fonction des goûts de chacun et des envies du moment. Au fil du chemin, explications historiques et anecdotes fusent.
A voir, à faire - Se joindre à la foule au Shibuya Crossing ; s’époumoner à un match de sumo au Ryogoku Kokugikan ; prendre part à l’afterwork dans un izakaya ; s’imprégner de l’atmosphère du Senso-ji, plus ancien temple de la ville ; se familiariser avec l’usage du terme kawaii (mignon) à Harajuku ; goûter au takoyaki, morceau de poulpe enveloppé de pâte à crêpe.
Transfert privé pour l'aéroport et vol international retour.
Cette suggestion de voyage reste personnalisable dans les moindres détails : durée, étapes, contenu. Un menu d’expériences à la carte est également disponible pour créer le voyage qui vous ressemble.
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