Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Transfert privé à votre hôtel, en compagnie d'un guide francophone, pour un premier contact avec la ville. L'hôtel, moderne, est implanté à proximité des sites culturels majeurs de la capitale. Les chambres sont spacieuses et confortables ; la vôtre est disponible dès votre arrivée matinale, de quoi vous accorder un temps de repos. Et pour le reste de la journée, une voiture privée avec chauffeur et accompagnateur francophone est à votre disposition.
Au programme - Visite d’Oulan-Bator. La capitale mongole est marquée par l’architecture soviétique - ce qui ne doit pas effrayer. On découvre plein de choses intéressantes : le monastère Gandan, parmi elles, fondé au début du XIXe siècle et qui abrite une statue monumentale, dorée à la feuille, du bodhisattva de compassion Avalokiteshvara. Ou le musée national de Mongolie, qui documente l’histoire et la culture mongoles depuis les origines. La section ethnographique restitue, à travers de nombreux objets, une vie nomade en cours de résorption.
En option - Le centre-ville dans les pas d'un local.
Prise de contact avec vos chauffeur et accompagnateur francophone pour les dix prochains jours, et route pour le parc de Khögnö Khan. Installation pour deux nuits dans un camp de yourtes. Sous le feutre blanc, si quelques aménagements ont été consentis, les intérieurs demeurent tout à fait traditionnels. Belle literie de soie ; mobilier peint, dans les rouges ; petit poêle ; coin toilette, où on se lave avec des serviettes chaudes à l’huile essentielle de pin. Une atmosphère que l’on n’oubliera pas de sitôt. A la salle à manger, sous des formes variées, agneau et mouton sont rois, accompagnés de salades. Avec ça, une cave étonnante de vins français. Entre deux sorties, les enfants peuvent jouer aux osselets, avec de vrais os. Tout est fait ici pour limiter, dans toute la mesure du possible, l’impact du camp sur l’environnement et lui conserver une dignité nomade.
Déjà prévue - Une balade dans les dunes au coucher du soleil. Le camp se trouve à la lisière du désert de dunes Elsen Tasarkhai. Après avoir emménagé, on part pour une promenade à pied dans le sable, sur lequel le soleil couchant étale des teintes qui vont du roux au violacé. On commence à ressentir l’ivresse de l’espace libre.
Au programme - Méharée dans le Petit Gobi. Ce que le dromadaire est aux déserts d’Afrique et l’Arabie, le chameau de Bactriane l’est aux déserts d’Asie : un camion. La route de la soie, c’est lui. Hirsute, sobre, une légende. Eh bien, on s’assied dessus, entre les deux bosses, et on se laisse transporter parmi les genévriers qui embaument l’air. Sous l’allure de père peinard, on sent la puissance. On pourrait croire que les bosses sont pour empêcher de tomber ; mais on sait que ce sont surtout des pots à graisse. Cet animal a plein de particularités qui lui permettent de supporter des conditions extrêmes, ce qui en a fait l’instrument du grand commerce pendant plusieurs millénaires. Aujourd’hui, il est un peu retraité mais, comme souvent les vieux de la vieille, il évoque avec pittoresque un glorieux passé.
Route pour Kharkhorin. Installation pour la nuit dans une adresse du petit centre-ville : décoration sobre, confort et équipements modernes.
Au programme - La visite privée du monastère Erdene Zuu. Toujours avec son accompagnateur, on se rend dans le plus vieux monastère bouddhiste Gelugpa (école scripturaire, bonnet jaune, comme dans Tintin au Tibet : le bouddhisme des steppes est dans la dépendance de celui des neiges) du pays. Fondé au XVIe siècle, il a beaucoup souffert pendant la période communiste. En partie détruit, désaffecté, un temps muséifié, il a été rendu aux lamas après la chute de l’Union soviétique. Les temples anciens, de style chinois, et le mur d’enceinte aux 108 stûpas sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.
Au programme - Le musée de Kharkhorin. Fruit d'une collaboration nippo-mongole, il présente une exposition permanente de reliques des âges de pierre et de bronze, de la période des anciens états et de celle de la Grande Mongolie, avec entre autres une maquette de ce qu’était la ville de Karakorum du temps de Gengis Khan. Des expositions temporaires sont aussi régulièrement proposées. Ce musée témoigne de la richesse culturelle et historique de la Vallée d'Orkhon. Et après la visite du musée, place à une initiation à la construction de yourtes. La yourte, il faut que ce soit amovible, léger, solide, isolant et agréable. Des siècles de voyage ont donné aux Mongols une habitation parfaitement adaptée à leur mode de vie. Pratique, symbolique, esthétique, la yourte est une belle réussite. L’atelier permet d’en comprendre la logique et d’en apprécier l’ingéniosité. Feutre, bois, crin, cuir, on passe en revue les matériaux, puis les étapes du montage. On se fait expliquer l’aménagement intérieur traditionnel et le sens que recèlent, en plus de leur fonction littérale, le seuil, le foyer, l’ouverture du toit, etc. En fait, la yourte est une sagesse : un ensemble technique répondant à des besoins à la fois matériels et spirituels. Pas mal de monter et de démonter non seulement une maison, mais aussi une conception du monde !
Installation pour deux nuits chez une famille nomade. Le campement de Jayaa et son épouse se compose de trois yourtes : la première leur sert d’habitation, la deuxième de garde-manger, ils accueillent leurs hôtes dans la troisième. Alors que la température chute à l’extérieur, on apprécie la chaleur du poêle à bois sous la yourte colorée. On partage le lait de jument fermenté. Puis Jayaa prépare le barbecue mongol : des pierres brûlantes chauffent au fond de la marmite avec du lait de jument fermenté, on y plonge des pommes de terre, des carottes, des oignons, de la viande de cabri, qui va cuire à l’étouffé - couvercle colmaté avec un linge. C’est délicieux, roboratif, et arrosé de vodka mongole, les enfants de Jayaa qui travaillent à la ville voisine viennent saluer leurs parents, le petit-fils, peu farouche, passe la soirée dans les bras du visiteur de passage.
Au programme - Randonnée à cheval. Après avoir fait plus ample connaissance avec vos hôtes, c’est en famille et à cheval que vous partirez dans les steppes pour une expérience nomade : vous irez chercher dans les pâturages un troupeau de chevaux ou de yacks, pour le ramener près du campement. Les troupeaux vivent souvent un peu éloigné du camp de la famille et périodiquement ils doivent être ramenés près de la yourte pour contrôler que tout va bien, donner un peu de sel ou de fourrage en fonction de la saison, surveiller les mises-bas, etc. Une expérience au cours de laquelle vos enfants pourront devenir acteurs de cette aventure. Les plus jeunes pourront monter en double avec l’un de nos guides locaux. Les montures seront bien entendu adaptées au niveau d’équitation des plus jeunes comme des adultes.
Route pour Ikh-Tamir. Installation pour deux nuits chez une seconde famille mongole, sous la yourte. On est briefé maintenant.
Déjà prévu au programme - A cheval sur les traces des anciens Mongols. Après le déjeuner, randonnée équestre à la recherche du vieil art de la steppe : les pétroglyphes. Ces pierres gravées portent des silhouettes d’animaux, des scènes de chasse et des figures énigmatiques, que les archéologues sont, pour le moment, bien en peine d’expliquer. Cet immense rébus de la préhistoire mongole est fascinant à plus d’un titre, et il ne fait nul doute que les enfants y soient sensibles, l’énigme étant pour eux l’un des grands plaisirs de la vie ! Au retour, barbecue mongol. Cela n’a rien à voir avec ce qu’on appelle ainsi dans les restaurants asiatiques, et pas grand-chose avec un barbecue. Viandes et légumes sont déposés dans une grande marmite, avec des pierres chaudes. Le récipient est ensuite hermétiquement clos et mis sur le feu. Les ingrédients cuisent à l’étouffée, et le résultat est fameux ! Après le repas, jeux de société : osselets, cartes, échecs.
Au programme - Initiation à la fabrication du feutre. Cette matière importante assure donc l’isolation des yourtes. On prend part à sa fabrication familiale. Il faut d’abord réunir une bonne quantité de laine brute, que l’on étale sur des nattes, avant de la battre vivement avec des baguettes. Une fois les fibres bien mêlées, on étale en humidifiant ; quelques aspersions d’aïrag, puis on roule serré dans les nattes. Le ballot ainsi constitué est lui-même roulé un grand moment, attelé à des chevaux, afin d’obtenir, par compression, un feutre mince et dense. Lequel sera désenveloppé et mis à sécher à la fin de l’opération. Après cela, votre science de la yourte est réelle.
Route pour le lac Ögii. Installation pour deux nuits au bord de l’eau dans un camp de yourtes. Trois tipis rappellent, qu’au fond, ils sont les yourtes d’Amérique (sans toutefois atteindre à la perfection de celles-ci). L’équipement équivaut à ce qui a précédé, avec sanitaire à l’occidentale. Perche, carpe, brochet, le lac fournit du poisson à la table ; mais l’agneau n’est pas loin.
Au programme - Détente au bord du lac. Ici, grands et petits peuvent se baigner. Après la steppe et les prairies, c’est délicieux. Une promenade en barque permet aussi d’observer les oiseaux présents dans le secteur à la belle saison. Les pélicans frisés sont nombreux, les oies aussi, cygnoïdes ou à tête barrée, ainsi que les cygnes chanteurs. Pluviers et bécasseaux vont à pas pressés sur les berges découvertes. Le pygargue à queue blanche, parce qu’il a l’estomac sans exclusive, fait peur à tout le monde. Les bandes de grues demoiselles ajoutent à tout ça une élégance dont on ne se lasse pas. Avec cette journée, on profite d’une Mongolie charmeuse, très éloignée de l’image martiale souvent associée au pays.
Route pour le parc national Khustain Nuruu et installation pour la nuit dans un camp de yourtes.
Déjà prévu au programme - A la rencontre des chevaux de Przewalski. Bien sûr, la réintroduction en cours d’Equus przewalskii, repéré au XIXe siècle en Dzoungarie par Nikolaj Przewalski, fait espérer voir dans la nature ces chevaux qui n’existèrent plus, longtemps, que dans des zoos. C’est le but de la sortie. Chemin faisant, toutefois, on observe la grande outarde, le faucon de l’Amour, la cigogne noire, la marmotte de Sibérie, le cerf, le chevreuil. On fait s’envoler des perdrix de Daourie et sauter vingt-neuf espèces de sauterelles… Ce qui n’est pas rien et découvre la richesse faunistique d’étendues qui ne sont vides qu’en apparence.
Transfert à l’aéroport d’Oulan-Bator et vol retour.
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