Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Accueil en français et transfert. Nuit dans un building tout à fait impressionnant, par la forme de voile et le verre bleu. L’hôtel tire profit de cette structure transparente pour donner partout des points de vue sur la capitale. Les chambres sont aux meilleurs standards. La décoration nuance d’orient extrême le style international. Les quatre restaurants lorgnent vers la Corée et au-delà. La salle de gym, la piscine intérieure, le bain thermal japonais ou le sauna permettent, au seuil de l’aventure, d’effacer les fatigues du vol.
Au programme - Grand monastère et musée ethnographique en privé. On prend contact avec le chauffeur et le guide francophone. La capitale mongole est marquée par l’architecture soviétique, ce qui ne doit pas effrayer. On y découvre beaucoup de choses intéressantes. Parmi lesquelles, le monastère de tradition tibétaine Gandantegchinlin. Fondé au début du XIXe siècle, il abrite une foule de moines et une statue monumentale, dorée à la feuille, du bodhisattva de compassion Avalokiteshvara. Ou le musée national de Mongolie, qui documente l’histoire et la civilisation mongoles depuis les origines. La section ethnographique restitue, à travers de nombreux artefacts, une vie nomade en cours de résorption.
Route pour la province de Dundgovi. Baga Gazriin Chuluu est un pluton : masse granitique d’origine magmatique, dégagée par les mouvements de l’écorce terrestre et l’érosion. Le résultat de tout cela (qui donne maintes informations sur la genèse de la Mongolie) est spectaculaire. Une colline mouvementée de 1768 mètres d’altitude, dont le sculpteur principal est l’eau. Peu importe qu’on ne se sente pas l’âme géologue et qu’altération des granites et diaclases ne disent rien, le site est splendide et le couchant y joue en virtuose de la polychromie.
Nuit non loin de là, dans un camp de yourtes. On s’initie au feutre, à la rotondité, à l’esthétique du logement nomade. En on s’étonne d’un confort et d’une plaisance insoupçonnés. Les sanitaires sont montés à part ; c’est quasi partout la règle. Au restaurant, cuisine mongole raisonnable.
Route pour Tsagaan Suvarga, stûpa blanc, dans le Gobi. Ici, l’érosion a attaqué un sol moins dur que le granit. Elle s’est lancée du coup dans de grandes manœuvres révélant l’étagement des couches de roches, taillant des cheminées de fée, nervurant, creusant une espèce de Grand Canyon en réduction. Là-dessus le soleil fait des siennes et applique des ocre, des roses, des orangés, des lie-de-vin que nuancent encore les formes drapées du relief. Comme la veille, doctement ou naïvement, on admire.
Nuit dans un établissement qui reproduit sur le voyageur d’aujourd’hui l’effet que les relais de l’ancienne route de la soie devaient avoir sur les caravaniers. Vaste triangle de chalets en forme de rabot, à la fois protecteurs et ouverts sur le désert. Tout le possible est fait pour mettre les hôtes en phase avec le silence, l’espace, la nudité d’un environnement radical. Au milieu de nulle part, mais sous un ciel immense, qui prend la nuit des dimensions colossales. Les conditions sont supérieures dans ce contexte et l’engagement green de la maison est effectif.
Route pour le monastère d’Ongi. Nuit dans un camp de yourtes tout proche. Votre particulier y est simple. Pour le restaurant et le bar, plus de feutre, mais de la pierre et du bois : un grand bâtiment évoquant l’architecture sino-mongole traditionnelle. La cuisine qui s’y sert, mongole et internationale, satisfait aux critères reconnus de qualité.
Au programme - Ongi en privé. Cette ville monastique, qui a été l’un des plus puissants centres bouddhiques de Mongolie, témoigne aujourd’hui d’un épisode malheureux de vandalisme idéologique : en 1939, les autorités communistes ont dispersé les moines, détruit les édifices, détourné la rivière. Au cours des années 90, quelques cénobites ont repris pied dans le champ de ruines et relevé un temple dans l’espoir de ressusciter un sanctuaire majeur. On visite cet édifice résilient et deux yourtes-musées évoquant les heurs et malheurs du site.
Route pour la vallée de la rivière Orkhon, un affluent de la Selenga, dont l’importance est considérable pour l’histoire des peuples turco-mongols ; on y trouve leurs tout premiers textes. Installation pour trois nuits dans un camp de yourtes. Les intérieurs ont beaucoup d’allure. Les literies soyeuses inciteraient à la paresse. Cabinet de toilette particulier. Et ce confort n’est pas tapageur ; il sait avoir une sobriété respectueuse du grand cadre de nature. Avec un télescope, on dégage un peu d’ordre dans l’énorme fourmillement des étoiles.
Au programme - Le monastère Tövkhön en privé. Ce monastère a pour fondateur Zanabazar, 1635-1723, le premier leader bouddhiste – et Gelugpa – des Mongols Khalkhas. Il est établi sur la colline Shireet Ulaan et domine la vallée de l’Orkhon. À l’instar de nombreux couvents mongols, il retrouve progressivement une activité religieuse après le difficile intermède soviétique.
Également prévue - Randonnée équestre au chutes de l’Orkhon. La rivière Ulaan Tsutgalan se jette littéralement dans l’Orkhon, de 16 mètres de haut. Ce sont les fameuses chutes. Si le débit peut être nul au printemps, il est abondant et bouillonnant en été. Les nomades viennent prendre le frais au grondement de l’eau. Et l’Orkhon est poissonneuse, on y trouve des brochets, des carpes, des perches et le taïmen de Sibérie, un salmonidé que les pêcheurs à la mouche chassent en catch-and-release. Jolie balade en tout cas que celle-ci. Accomplie à cheval – quoi de plus mongol ! – et accompagnée par un instructeur et le guide francophone.
Route pour Kharkhorin. Installation pour deux nuits dans ce qu’on pourrait appeler la yourte d’ami du campement. Modeste d’ailleurs par la taille, mais plein de vie et d’authenticité. Trois yourtes : la première héberge vos hôtes, la deuxième leur sert de garde-manger et la troisième donc vous accueille. Alors que la température chute à l’extérieur, on apprécie la chaleur du poêle à bois. On partage le lait de jument fermenté.
Au programme - Le monastère Erdene Zuu en privé. En compagnie du guide francophone, on se rend dans le plus vieux monastère bouddhiste Gelugpa (école scripturaire, bonnet jaune, comme dans Tintin au Tibet : le bouddhisme des steppes se trouve dans la dépendance de celui des cimes) du pays. Fondé au XVIe siècle, il a beaucoup souffert pendant la période communiste. En partie détruit, désaffecté, un temps muséifié, les lamas l’ont récupéré après la chute de l’Union soviétique. Les temples anciens, de style chinois, et le mur d’enceinte aux 108 stûpas sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.
Au programme - Bonne cuisine et promenade équestre. Avant qu’on mette le pied à l’étrier, monsieur prépare le khorkhog, le barbecue mongol. Cela n’a rien à voir avec ce qu’on appelle ainsi dans les restaurants asiatiques, et pas grand-chose avec le barbecue. Viande et légumes sont déposés, avec des pierres chaudes et de l’eau, dans une marmite ou un bidon à lait. Le récipient est ensuite hermétiquement clos et mis sur le feu. Les ingrédients cuisent à l’étouffée. Et le résultat est succulent ! On déguste d’ailleurs en compagnie des gens du coin, par l’odeur alléchés. Belle occasion de convivialité mongole et de vodka. Pour la chance, on recommande de frotter dans ses mains les pierres retirées de la cuisson. Ensuite, à cheval !
En option - Le centre des arts et de la calligraphie mongole.
Route pour le Khögnö Khan. Installation pour deux nuits dans un camp de yourtes qui donne sur les dunes Elsen Tasarkhai et la montagne. Comme dans l’Orkhon, quelque chose d’élégant. Non pas une sophistication hors de propos, mais une harmonie et de bonnes idées, comme ces serviettes chaudes imprégnées d’essence de pin qui vous sont apportées matin et soir. Une attention accordée aux voyageurs, qui actualise le meilleur de l’hospitalité mongole. Cuisine simple et savoureuse.
Au programme - Balade sunset dans les dunes. Le camp se trouve à la lisière du désert de dunes Elsen Tasarkhai. Après avoir emménagé, on part pour une promenade à pied dans le sable, sur lequel le soleil couchant étale des teintes qui vont du roux au violacé. On continue à ressentir l’ivresse de l’espace libre.
Au programme - Méharée dans le Petit Gobi. Ce que le dromadaire est aux déserts d’Afrique et d’Arabie, le chameau de Bactriane l’est aux déserts d’Asie : un camion. La route de la soie, c’est lui. Hirsute, bonasse, sobre, une légende. Eh bien, on s’assied dessus, entre les deux bosses, et on se laisse transporter parmi les genévriers qui embaument l’air. Sous l’allure de père peinard, on sent la puissance. On pourrait croire que les bosses sont pour empêcher de tomber ; mais on sait que ce sont surtout des pots à graisse. Cet animal a plein de particularités qui lui permettent de supporter des conditions extrêmes, ce qui en a fait le véhicule du grand commerce pendant plusieurs millénaires. Aujourd’hui, il fait un peu old-timer mais, comme souvent les vieux de la vieille, il évoque avec pittoresque un glorieux passé.
Route pour le Khustain Nuruu. Dernière nuit sous la yourte, dans un camp géré par le parc. Votre logement procure les conditions auxquelles vous êtes désormais habitués et une décoration pimpante. Salle d’eau partagée. Les repas sont pris dans un bâtiment en dur.
Au programme - À la rencontre des chevaux de Przewalski. Bien sûr, la réintroduction en cours d’Equus przewalskii, repéré au XIXe siècle en Dzoungarie par Nikolaj Przewalski, fait espérer voir dans la nature ces chevaux qui n’existèrent plus, longtemps, que dans les zoos. C’est le but de la sortie. Chemin faisant, toutefois, on observe aussi la grande outarde, le faucon de l’Amour, la cigogne noire, la marmotte de Sibérie, le cerf et le chevreuil. On fait s’envoler des perdrix de Daourie et sauter vingt-neuf espèces de sauterelles. Ce qui n’est pas rien et découvre une fois encore la richesse faunistique d’étendues qui ne sont vides qu’en apparence.
Route pour la capitale. Comme votre hôtel se trouve dans le plus haut édifice d’Oulan-Bator, vous le retrouvez sans peine. Et vous passez là une dernière nuit mongole.
En option - Rencontre avec un chamane ; initiation au tir à l’arc.
Transfert à l’aéroport et vol international retour.
Cette suggestion de voyage reste personnalisable dans les moindres détails : durée, étapes, contenu. Un menu d’expériences à la carte est également disponible pour créer le voyage qui vous ressemble.
Des voyages, fondés sur l’originalité, l’expérience, la qualité et la rencontre culturelle, ont pensés par une équipe de 250 conseillers, tous spécialistes d’une ou plusieurs des 120 destinations proposées. Personnalisables à tout moment selon les goûts et les envies de chacun, ces voyages s’accompagnent d’une vaste gamme de services (conciergerie locale, assistance 24/7, carnet de voyage, appli…).
Faites créer votre voyage
Voyager en toute liberté selon ses envies,
ses idées, ses passions
250 conseillers spécialisés par pays et par régions : Amoureux du beau jamais à court d’idées, ils vous inspirent et créent un voyage ultra-personnalisé : étapes, hébergements, ateliers, rencontres…
À votre écoute : conseiller dédié, conciergerie francophone, assistance 24h/24, nos équipes vous suivent et adaptent en temps réel, pour un voyage à la fois libre et bien accompagné.
En famille, à deux, à dix, en road trip, en train, en bateau, en week-end, en tour du monde... : des voyages personnalisables à l’envi, bordés de services malins, pour voyager avec toujours plus de fluidité.