Grande boucle en Mongolie d'Oulan-Bator au parc Khustain Nuruu - Voyageurs du Monde

Idée voyage 100% personnalisable

Oulan-Bator, la steppe et le Nord Gobi
Moines et nomades de Mongolie

Boucle mongole

Suggestion de 15 Jours de 5400 à 7000€ selon saison, types d’hébergements et activités

Vous aimerez

  • Aller à la rencontre d'une Mongolie variée et essentielle, au fil d’un itinéraire ajusté et économe en kilomètres
  • Vivre sous la yourte : une expérience qui allie authenticité, confort feutré et esthétique nomade
  • Deux jours chez des éleveurs, visite des monastères bouddhistes, randos à dos de cheval et de chameau : c’est déjà prévu !
  • Absorption carbone, appli mobile avec GPS, conciergerie francophone : voyager Voyageurs
Oulan-Bator est le centre sans cesse croissant du pays. On s’y pose donc naturellement. Et on passe une journée à en évaluer l’héritage et les perspectives. Le futur du pays se décide ici. Ensuite, c’est l’entame géologique de l’itinéraire : les formations minérales spectaculaires de Baga Gazriin Chuluu et Tsagaan Suvarga (dans le nord Gobi). La Mongolie n’a pas que des graminées et la grande absinthe à proposer ! Puis, via la vallée de l’Ongi – fameux monastère et passereaux migrateurs – on rallie celle de l’Orkhon, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, et Kharkhorin. L’ancienne Karakorum, première capitale mongole fondée par le khagan Ögedeï, fut l’une des grandes métropoles du XIIIe siècle, cosmopolite et ouverte à la modernité du temps. Dans l’orbite du Tibet, le bouddhisme a eu dans la région de l’Orkhon des monastères puissants. Après un XXe siècle ravageur, la vie religieuse reprend irrésistiblement. On profite de cet environnement historique et naturel prenant pour se mettre vraiment au diapason de la vie nomade et le pied à l’étrier. Les dernières étapes ramènent vers Oulan-Bator. Elles permettent la rencontre de deux animaux emblématiques. Dans le parc national Khögnö Khan, vous êtes invités à vous installer entre les bosses d’un chameau de Bactriane, le poids lourd de la route de la soie, pour une randonnée portée dans le Petit Gobi. Et dans le Khustain Nuruu, ce sera la découverte des célèbres chevaux de Przewalski, qu’il n’est pas donné à tout le monde d’observer dans un contexte qui leur fasse justice. Tout cela de ger en ger, d’une yourte à l’autre. L’espace et le temps sont également vastes en Mongolie et votre voyage en rend compte.

Votre voyage

Un hôtel de standing à Oulan-Bator, avant toute la série des yourtes – allant de la catégorie améliorée à nominale. En dehors du montage et du démontage, vous aurez acquis une bonne expérience de l’habitat en feutre. Et vous apprendrez par la pratique que, même simple, une yourte assure un confort inattendu. D’autant que vos hôtes ne se font pas faute, par exemple, d’alimenter votre poêle au cours de la nuit. Votre intimité est partout assurée. Les installations sanitaires suffisent toujours à l’essentiel. En un mot comme en cent : vous voyagez dans les conditions de la steppe. À Tsagaan Suvarga, un écolodge ajuste celle-ci aux préoccupations green contemporaines. Pour la table, vos cooks savent généralement cuisiner des plats à l’occidentale mais la cuisine mongole, pour laquelle on optera de préférence, se révèle étonnamment savoureuse. Côté déplacements, une voiture avec un chauffeur dans la capitale et, pour le reste du voyage, un véhicule tout-terrain, avec chauffeur également. Un accompagnateur francophone vous suit dans votre périple. Les données du trafic ne se comparent pas avec celles de l’Europe ou de l’Amérique, mais les liaisons s’effectuent d’une façon tout à fait soutenable. Nous avons inscrit à votre feuille de route un certain nombre de visites et rendez-vous. Des monastères bouddhiques d’abord : second motif architectural mongol après la yourte et repère culturel important. Et une randonnée chamelière dans le Khögnö Khan, des sorties équestres, une approche des chevaux de Przewalski dans le parc Khustain Nuruu. Un peu partout, vous côtoyez une vie nomade qui résiste vaillamment à l’assimilation urbaine. Enfin, si chemin faisant quelque chose manquait, ou un contretemps survenait, vous disposez pour aider à régler la question des coordonnées de notre service de conciergerie sur place.
Mongolie © Taylor Weidman/REDUX-REA
Mongolie © Taylor Weidman/REDUX-REA
Yourte traditionnelle dans le Désert de Gobi - Mongole © Claire Paze
Yourte traditionnelle dans le Désert de Gobi - Mongole © Claire Paze
Désert de Gobi - Mongolie © Kevin Cooley/REDUX-REA
Désert de Gobi - Mongolie © Kevin Cooley/REDUX-REA
Kharkhorin - Mongolie © Roland Brack/hecke71/Fotolia
Kharkhorin - Mongolie © Roland Brack/hecke71/Fotolia
Mongolie © Dietmar DENGER/Laif-REA
Mongolie © Dietmar DENGER/Laif-REA
Mongolie © Frederic Roman Hauduroy / Step'In
Mongolie © Frederic Roman Hauduroy / Step'In
Mongolie © Bartosz Hadyniak/Getty Images
Mongolie © Bartosz Hadyniak/Getty Images
Mongolie © treetstreet/stock.adobe.com
Mongolie © treetstreet/stock.adobe.com
Mongolie © Ariane Citron / Fotolia
Mongolie © Ariane Citron / Fotolia
Tsagaan Suvarga - Mongolie © Frank Wagner/Fotolia
Tsagaan Suvarga - Mongolie © Frank Wagner/Fotolia
Gobi Caravanserai - Tsagaan Suvarga - Mongolie © Droits réservés
Gobi Caravanserai - Tsagaan Suvarga - Mongolie © Droits réservés
Vallée de l'Orkhon - Mongolie © jaume juncadella olivares/Getty Images/iStockphoto
Vallée de l'Orkhon - Mongolie © jaume juncadella olivares/Getty Images/iStockphoto
Mongolie © Shiho Fukada/The New York Times-REDUX-REA
Mongolie © Shiho Fukada/The New York Times-REDUX-REA
Vallée de l'Orkhon - Mongolie © pjworldtour/Getty Images/iStockphoto
Vallée de l'Orkhon - Mongolie © pjworldtour/Getty Images/iStockphoto

Itinéraire

Suggestion 100% personnalisable selon vos envies

Jour 1 Vol pour Oulan-Bator

Nuit à bord, arrivée le lendemain. 

Jour 2 Oulan-Bator

Accueil en français et transfert. Nuit dans un building tout à fait impressionnant, par la forme de voile et le verre bleu. L’hôtel tire profit de cette structure transparente pour donner partout des points de vue sur la capitale. Les chambres sont aux meilleurs standards. La décoration nuance d’orient extrême le style international. Les quatre restaurants lorgnent vers la Corée et au-delà. La salle de gym, la piscine intérieure, le bain thermal japonais ou le sauna permettent, au seuil de l’aventure, d’effacer les fatigues du vol.
Au programme - Grand monastère et musée ethnographique en privé. On prend contact avec le chauffeur et le guide francophone. La capitale mongole est marquée par l’architecture soviétique, ce qui ne doit pas effrayer. On y découvre beaucoup de choses intéressantes. Parmi lesquelles, le monastère de tradition tibétaine Gandantegchinlin. Fondé au début du XIXe siècle, il abrite une foule de moines et une statue monumentale, dorée à la feuille, du bodhisattva de compassion Avalokiteshvara. Ou le musée national de Mongolie, qui documente l’histoire et la civilisation mongoles depuis les origines. La section ethnographique restitue, à travers de nombreux artefacts, une vie nomade en cours de résorption.

Route pour la province de Dundgovi. Baga Gazriin Chuluu est un pluton : masse granitique d’origine magmatique, dégagée par les mouvements de l’écorce terrestre et l’érosion. Le résultat de tout cela (qui donne maintes informations sur la genèse de la Mongolie) est spectaculaire. Une colline mouvementée de 1768 mètres d’altitude, dont le sculpteur principal est l’eau. Peu importe qu’on ne se sente pas l’âme géologue et qu’altération des granites et diaclases ne disent rien, le site est splendide et le couchant y joue en virtuose de la polychromie.
Nuit non loin de là, dans un camp de yourtes. On s’initie au feutre, à la rotondité, à l’esthétique du logement nomade. En on s’étonne d’un confort et d’une plaisance insoupçonnés. Les sanitaires sont montés à part ; c’est quasi partout la règle. Au restaurant, cuisine mongole raisonnable.

Route pour Tsagaan Suvarga, stûpa blanc, dans le Gobi. Ici, l’érosion a attaqué un sol moins dur que le granit. Elle s’est lancée du coup dans de grandes manœuvres révélant l’étagement des couches de roches, taillant des cheminées de fée, nervurant, creusant une espèce de Grand Canyon en réduction. Là-dessus le soleil fait des siennes et applique des ocre, des roses, des orangés, des lie-de-vin que nuancent encore les formes drapées du relief. Comme la veille, doctement ou naïvement, on admire.
Nuit dans un établissement qui reproduit sur le voyageur d’aujourd’hui l’effet que les relais de l’ancienne route de la soie devaient avoir sur les caravaniers. Vaste triangle de chalets en forme de rabot, à la fois protecteurs et ouverts sur le désert. Tout le possible est fait pour mettre les hôtes en phase avec le silence, l’espace, la nudité d’un environnement radical. Au milieu de nulle part, mais sous un ciel immense, qui prend la nuit des dimensions colossales. Les conditions sont supérieures dans ce contexte et l’engagement green de la maison est effectif.

Route pour le monastère d’Ongi. Nuit dans un camp de yourtes tout proche. Votre particulier y est simple. Pour le restaurant et le bar, plus de feutre, mais de la pierre et du bois : un grand bâtiment évoquant l’architecture sino-mongole traditionnelle. La cuisine qui s’y sert, mongole et internationale, satisfait aux critères reconnus de qualité.
Au programme - Ongi en privé. Cette ville monastique, qui a été l’un des plus puissants centres bouddhiques de Mongolie, témoigne aujourd’hui d’un épisode malheureux de vandalisme idéologique : en 1939, les autorités communistes ont dispersé les moines, détruit les édifices, détourné la rivière. Au cours des années 90, quelques cénobites ont repris pied dans le champ de ruines et relevé un temple dans l’espoir de ressusciter un sanctuaire majeur. On visite cet édifice résilient et deux yourtes-musées évoquant les heurs et malheurs du site.

Route pour la vallée de la rivière Orkhon, un affluent de la Selenga, dont l’importance est considérable pour l’histoire des peuples turco-mongols ; on y trouve leurs tout premiers textes. Installation pour trois nuits dans un camp de yourtes. Les intérieurs ont beaucoup d’allure. Les literies soyeuses inciteraient à la paresse. Cabinet de toilette particulier. Et ce confort n’est pas tapageur ; il sait avoir une sobriété respectueuse du grand cadre de nature. Avec un télescope, on dégage un peu d’ordre dans l’énorme fourmillement des étoiles.

Au programme - Le monastère Tövkhön en privé. Ce monastère a pour fondateur Zanabazar, 1635-1723, le premier leader bouddhiste – et Gelugpa – des Mongols Khalkhas. Il est établi sur la colline Shireet Ulaan et domine la vallée de l’Orkhon. À l’instar de nombreux couvents mongols, il retrouve progressivement une activité religieuse après le difficile intermède soviétique.
Également prévue - Randonnée équestre au chutes de l’Orkhon. La rivière Ulaan Tsutgalan se jette littéralement dans l’Orkhon, de 16 mètres de haut. Ce sont les fameuses chutes. Si le débit peut être nul au printemps, il est abondant et bouillonnant en été. Les nomades viennent prendre le frais au grondement de l’eau. Et l’Orkhon est poissonneuse, on y trouve des brochets, des carpes, des perches et le taïmen de Sibérie, un salmonidé que les pêcheurs à la mouche chassent en catch-and-release. Jolie balade en tout cas que celle-ci. Accomplie à cheval – quoi de plus mongol ! – et accompagnée par un instructeur et le guide francophone.

Route pour Kharkhorin. Installation pour deux nuits dans ce qu’on pourrait appeler la yourte d’ami du campement. Modeste d’ailleurs par la taille, mais plein de vie et d’authenticité. Trois yourtes : la première héberge vos hôtes, la deuxième leur sert de garde-manger et la troisième donc vous accueille. Alors que la température chute à l’extérieur, on apprécie la chaleur du poêle à bois. On partage le lait de jument fermenté.
Au programme - Le monastère Erdene Zuu en privé. En compagnie du guide francophone, on se rend dans le plus vieux monastère bouddhiste Gelugpa (école scripturaire, bonnet jaune, comme dans Tintin au Tibet : le bouddhisme des steppes se trouve dans la dépendance de celui des cimes) du pays. Fondé au XVIe siècle, il a beaucoup souffert pendant la période communiste. En partie détruit, désaffecté, un temps muséifié, les lamas l’ont récupéré après la chute de l’Union soviétique. Les temples anciens, de style chinois, et le mur d’enceinte aux 108 stûpas sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.

Au programme - Bonne cuisine et promenade équestre. Avant qu’on mette le pied à l’étrier, monsieur prépare le khorkhog, le barbecue mongol. Cela n’a rien à voir avec ce qu’on appelle ainsi dans les restaurants asiatiques, et pas grand-chose avec le barbecue. Viande et légumes sont déposés, avec des pierres chaudes et de l’eau, dans une marmite ou un bidon à lait. Le récipient est ensuite hermétiquement clos et mis sur le feu. Les ingrédients cuisent à l’étouffée. Et le résultat est succulent ! On déguste d’ailleurs en compagnie des gens du coin, par l’odeur alléchés. Belle occasion de convivialité mongole et de vodka. Pour la chance, on recommande de frotter dans ses mains les pierres retirées de la cuisson. Ensuite, à cheval !
En option - Le centre des arts et de la calligraphie mongole.

Route pour le Khögnö Khan. Installation pour deux nuits dans un camp de yourtes qui donne sur les dunes Elsen Tasarkhai et la montagne. Comme dans l’Orkhon, quelque chose d’élégant. Non pas une sophistication hors de propos, mais une harmonie et de bonnes idées, comme ces serviettes chaudes imprégnées d’essence de pin qui vous sont apportées matin et soir. Une attention accordée aux voyageurs, qui actualise le meilleur de l’hospitalité mongole. Cuisine simple et savoureuse.
Au programme - Balade sunset dans les dunes. Le camp se trouve à la lisière du désert de dunes Elsen Tasarkhai. Après avoir emménagé, on part pour une promenade à pied dans le sable, sur lequel le soleil couchant étale des teintes qui vont du roux au violacé. On continue à ressentir l’ivresse de l’espace libre.

Au programme - Méharée dans le Petit Gobi. Ce que le dromadaire est aux déserts d’Afrique et d’Arabie, le chameau de Bactriane l’est aux déserts d’Asie : un camion. La route de la soie, c’est lui. Hirsute, bonasse, sobre, une légende. Eh bien, on s’assied dessus, entre les deux bosses, et on se laisse transporter parmi les genévriers qui embaument l’air. Sous l’allure de père peinard, on sent la puissance. On pourrait croire que les bosses sont pour empêcher de tomber ; mais on sait que ce sont surtout des pots à graisse. Cet animal a plein de particularités qui lui permettent de supporter des conditions extrêmes, ce qui en a fait le véhicule du grand commerce pendant plusieurs millénaires. Aujourd’hui, il fait un peu old-timer mais, comme souvent les vieux de la vieille, il évoque avec pittoresque un glorieux passé.

Route pour le Khustain Nuruu. Dernière nuit sous la yourte, dans un camp géré par le parc. Votre logement procure les conditions auxquelles vous êtes désormais habitués et une décoration pimpante. Salle d’eau partagée. Les repas sont pris dans un bâtiment en dur.
Au programme - À la rencontre des chevaux de Przewalski. Bien sûr, la réintroduction en cours d’Equus przewalskii, repéré au XIXe siècle en Dzoungarie par Nikolaj Przewalski, fait espérer voir dans la nature ces chevaux qui n’existèrent plus, longtemps, que dans les zoos. C’est le but de la sortie. Chemin faisant, toutefois, on observe aussi la grande outarde, le faucon de l’Amour, la cigogne noire, la marmotte de Sibérie, le cerf et le chevreuil. On fait s’envoler des perdrix de Daourie et sauter vingt-neuf espèces de sauterelles. Ce qui n’est pas rien et découvre une fois encore la richesse faunistique d’étendues qui ne sont vides qu’en apparence.

Route pour la capitale. Comme votre hôtel se trouve dans le plus haut édifice d’Oulan-Bator, vous le retrouvez sans peine. Et vous passez là une dernière nuit mongole.
En option - Rencontre avec un chamane ; initiation au tir à l’arc.

Transfert à l’aéroport et vol international retour. 

À la carte

Cette suggestion de voyage reste personnalisable dans les moindres détails : durée, étapes, contenu. Un menu d’expériences à la carte est également disponible pour créer le voyage qui vous ressemble.

Kharkhorin - Le centre des arts et de la calligraphie mongole

Pour l’écriture traditionnelle mongole, ce centre est vital. Il maintient en vie des pratiques et une familiarité. Une esthétique également. Et puis alphabet cyrillique, sinogrammes, informatique sont des challenges pour le mongol classique et ses dérivés. En compagnie de votre guide francophone, vous découvrez non seulement l’histoire et l’importance culturelle d’une écriture inscrite au patrimoine immatériel de l’humanité mais aussi, sous la direction d’un expert, vous la calligraphiez.
En option

Oulan-Bator - Rencontre avec un chamane

Le chamanisme témoigne d’un spirituel à l’état gazeux : les esprits sont partout (ou, toute créature est spirituelle) et peuvent être contactés par l’intermédiaire d’une personne particulièrement apte à se glisser, par la transe notamment, dans l’arrière-monde des intelligences et à y quérir de l’information. À des fins souvent thérapeutiques ou divinatoires. Bien avant de devenir bouddhistes, les Mongols étaient chamanistes. Et ils le sont restés. En compagnie de votre guide, vous rencontrez un chamane d’aujourd’hui.
En option

Oulan-Bator - Initiation au tir à l’arc

Avec l’arrivée des armes à feu, l’arc a perdu de son importance militaire, mais il s’est maintenu dans la tradition sportive. Savoir tirer à l’arc contribue à faire de vous un Mongol presqu’autant que monter à cheval. D’ailleurs, avec l’équitation, la lutte et les osselets, l’archerie est l’une des quatre disciplines du Naadam, la rencontre annuelle célébrant la nation mongole. L’arc est courbe et composite, c’est-à-dire fabriqué avec plusieurs matériaux combinés, à la différence des arcs anciens occidentaux. On ne l’arme pas non plus de la même façon : la traction de la corde se fait avec le pouce. Bref, il faut une initiation.

Pourquoi partir avec Voyageurs en Mongolie

Des voyages, fondés sur l’originalité, l’expérience, la qualité et la rencontre culturelle, ont pensés par une équipe de 250 conseillers, tous spécialistes d’une ou plusieurs des 120 destinations proposées. Personnalisables à tout moment selon les goûts et les envies de chacun, ces voyages s’accompagnent d’une vaste gamme de services (conciergerie locale, assistance 24/7, carnet de voyage, appli…).

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Budget estimé

selon saison, types d’hébergements et activités

Le budget estimé pour ce voyage est de 5 400 € à 7 000 €/personne.

Parler de prix fixe lorsque l'on évoque un voyage sur mesure a peu de sens. En effet, celui-ci varie suivant de nombreux facteurs (niveau de prestations, période, délai de réservation et bien d'autres encore). Le seul prix exact sera celui de votre devis personnalisé.

Le prix moyen constaté pour ce voyage est de 5 800 €/personne.


Inclus dans cette suggestion

  • Le vol international sur compagnie régulière
  • Les taxes aériennes et surcharge carburant
  • La neutralité carbone intégrale par absorption des émissions de co2 de votre voyage (par le biais de notre Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero)
  • Les transferts privés mentionnés au programme
  • Un véhicule tout-terrain avec un chauffeur et un guide francophone pour la durée du voyage
  • Les 2 nuits à Oulan-Bator, en chambre double avec petits déjeuners
  • La nuit sous yourte à Baga Gazriin Chuluu, pension complète
  • La nuit à Tsagaan Suvarga, chalet double, pension complète
  • La nuit sous yourte au monastère d’Ongi, pension complète
  • Les 3 nuits sous yourte à Orkhon, pension complète
  • Les 2 nuits sous yourte à Kharkhorin, pension complète
  • Les 2 nuits sous yourte dans le parc Khögnö Khan, pension complète
  • La nuit sous yourte dans le parc Khustain Nuruu, pension complète
  • À Oulan-Bator, la visite privée du monastère Gandantegchinlin et du musée ethnographique, avec voiture et chauffeur
  • La visite privée du monastère d’Ongi
  • La visite privée du monastère Tövkhön et une randonnée équestre aux chutes de l’Orkhon
  • À Kharkhorin, la visite privée du monastère Erdene Zuu, un déjeuner traditionnel et une sortie équestre
  • Dans le parc Khögnö Khan, la balade sunset dans les dunes Elsen Tasarkhai et une méharée dans le Petit Gobi
  • Dans le parc Khustain Nuruu, rencontre avec les chevaux de Przewalski
  • Notre service conciergerie sur place
  • L’accès au wifi pendant votre voyage : un mini routeur international ou une eSIM vous permettant de vous connecter en wifi sur vos divers terminaux (mobiles, tablettes, ordinateurs)
  • Un carnet de voyage rassemblant de nombreuses informations utiles (votre programme jour par jour, les coordonnées de vos hôtels, une sélection de bonnes adresses personnalisées et géolocalisées, etc.), disponible également sous forme d’application mobile

Réf : 1698994
L’esprit Voyageurs du Monde

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Où je veux

250 conseillers spécialisés par pays et par régions : Amoureux du beau jamais à court d’idées, ils vous inspirent et créent un voyage ultra-personnalisé : étapes, hébergements, ateliers, rencontres…

Quand je veux

À votre écoute : conseiller dédié, conciergerie francophone, assistance 24h/24, nos équipes vous suivent et adaptent en temps réel, pour un voyage à la fois libre et bien accompagné.

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En famille, à deux, à dix, en road trip, en train, en bateau, en week-end, en tour du monde... : des voyages personnalisables à l’envi, bordés de services malins, pour voyager avec toujours plus de fluidité.