Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Accueil en français et transfert. Nuit dans le vieux Zagreb. Votre hôtel occupe une belle demeure début XIXe. La décoration a su tirer profit du bâti lui-même. Les teintes taupe, tabac, sisal et bleu donnent de l’élégance chromatique, à laquelle le mobilier ajoute sa note bon-chic-bon-genre. Les chambres d’ailleurs affichent un classicisme serein et assurent un confort sans lacune. Avec ses arbres et sa fontaine, la cour-jardin offre au café un joli dégagement. L’atmosphère old Europe et la chlorophylle concourent à donner au début du voyage une partie de sa tonalité et de son charme.
A voir, à faire - Avec peu de temps devant soi, le mieux est sans doute de se rendre à Gradec, la ville haute. C’est l’un des centres anciens les mieux préservés de Croatie. L’église Saint Marc, XIVe siècle, est d’un beau gothique sans effusion. Le portail sud est attribué à l’atelier praguois des Parler. Sinon, la capitale du royaume de Croatie-Slavonie a été dotée par l’Autriche-Hongrie des édifices convenant à son standing.
Prise en compte de la voiture de location. Route pour la Slovénie. Installation pour deux nuits au sud-ouest de Bled, dans le parc national du Triglav. Le style traditionnel de la maison colle parfaitement au contexte de nature. Dedans, on trouve la rusticité aimable que l'extérieur laisse présager. Le bois peint et la faïence décorent. Près du poêle en céramique, on se sent un peu comme dans un conte de Grimm. Les logements sont cosy ; ils procurent intimité et espace vital. A son fourneau, le chef donne une version rénovée et succulente du cookbook slovène. On découvre que la cuisine du pays a des ressources satisfaisant aux goûts de chacun. Le barbecue extérieur met un sceau de braise à l’atmosphère campagne. Pendant que les enfants exploitent les jeux de plein air, les parents profitent du sauna ou de la salle de massage.
Déjà prévu au programme - Le parc du Triglav en privé. Ce parc est certainement l’un des plus beaux du domaine alpin. Avec un garde forestier anglophone, vous partez, tôt le matin ou en toute fin d’après-midi (eh oui, le safari aux marmottes se pratique comme le safari au lion, aux heures grises). On est appliqué à suivre son guide avec discrétion quand, soudain, un cerf, un coq de bruyère, un blaireau ! On est saisi et émerveillé. C’est toujours ainsi dans la nature, la surprise est la règle, même quand on guette. Apparition, présence soudaine, tout le monde en est pour son émotion. Et les plantes sont à peine moins surprenantes.
A ne pas manquer - Les lacs de Bled et Bohinj, distants l’un de l’autre d’une trentaine de kilomètres sont deux perles romantiques slovènes. Le premier plus policé, le second plus brut. Vous serez avisés d’aller de l’un à l’autre par la route du haut, le plateau forestier de Pokljuka : points de vue ravissants et kozolci, les grands étendoirs à foin traditionnels.
Route pour Bovec, dans la vallée de la Soca / Isonzo. Installation pour trois nuits dans un chalet contemporain, 2 kilomètres au nord du fleuve. Bois, métal gris, lignes sobres : la rigueur urbaine à la montagne et une atmosphère vaguement japonisante. Le domaine skiable et randonnable du Kanin se trouve à 3 kilomètres. L’appartement est équipé pour que l’on y soit tout à fait autonome : couchage confort, salle de bain, kitchenette, coin repas. Le sauna maison permet de récupérer de la saine fatigue des longues promenades alentour. Dans la cave, on associe gaiement le vin et un fromage de brebis qui fait la réputation de la région auprès des fines bouches. La vie de l’hôtel s’ordonne autour des activités outdoor de saison.
Un petit coin des Alpes encore ignoré de beaucoup, et pourtant ! Les amateurs de pics enneigés, de patrimoine médiéval et de traditions bien ancrées ne pourront que succomber à cette région qui offre de nombreuses possibilités de loisirs nature et plein de petits villages tranquilles. De vastes forêts font à tout cela de beaux parements verts. Et le Triglav est toujours là. Vous avez pendulé de son bord est à son bord ouest. Il offre aux voyageurs un condensé de paysages alpins, que l’on découvre depuis des sentiers très bien aménagés : prairies d’alpage, lacs d’altitude, gorges, pics, grottes, etc. En forêt, le hêtre domine, avec une frange haute d’épicéas et de mélèzes. En altitude, on retrouve l’édelweiss, la gentiane, les campanules. Le chamois et le grand tétras sont emblématiques de la faune alpine et le vautour fauve cherche sa pitance en planant majestueusement dans le ciel libre.
Déjà prévu au programme - Raft sur la Soca. La Soca n’est pas seulement bleu-vert, mais aussi rapide et tumultueuse, propice aux descentes à forte teneur en adrénaline. Le parc national du Triglav n’a pas le pas de la marche pour seule vocation. On s’en va donc dans un raft, embarcation à la fois souple et résistante, muni de l’équipement ad hoc : combinaison néoprène, casque, chaussures étanches. Et, armé comme les autres d’une pagaie, on se lance à perdre haleine dans les éclaboussures et les éclats de rire. Un instructeur anglophone, capable de faire face à toutes les situations, accompagne l’équipée. Conditions de sécurité professionnelles.
En option - Randonnée dans la vallée de la Soca.
Route pour Bale. Installation pour trois nuits juste au sud-ouest du centre médiéval annulaire. La maison a été aménagée d’une façon fonctionnelle qui en respecte les éléments anciens. Le blanc partout met en valeur ces derniers. Les chambres reflètent le parti pris général : claires sans éclat trop vif, murs apparents parfois - revers d’un avers crépi - ou éléments de charpente, baignoires îlots pour respecter les codes contemporains. Confort soigné. La piscine intérieure et le spa, la petite salle de gym dénouent les fatigues et rebootent les organismes. Les repas se prennent à la salle à manger, ou dehors, dans la cour. Cuisine croate terre et mer savoureuse, que le sommelier sait accompagner du vin juste.
Bale donne une image fidèle de ce que furent longtemps les établissements istriens. La petite église du Saint Esprit, XVe siècle, a conservé de magnifiques fresques gothiques. Signalons aux paléontologues, chenus ou en herbe, la présence fossile dans le coin d’Histriasaurus, énorme broyeur à végétaux du Crétacé. En explorant un brin, on découvre bien des choses encore. L’amphithéâtre de Pula, par exemple, du Ier siècle, où se donnent de nombreux spectacles l’été. Le parc paysager du cap Kamenjak, qui protège la pointe méridionale de la péninsule ; chênes verts, pins d’Alep, genévriers, orchidées, pour ne citer qu’eux, sont caractéristiques d’une flore dont le bel état fait plaisir - plusieurs zones classées Natura 2000. Ce sont les grands. Camomille tomenteuse, liseron rayé, orchidée istarski serapias, les petits, ne sont pas mal non plus. Et puis il y a la mer autour !
Déjà prévu au programme - Le parc national des îles Brijuni. Installé sur Veliki Brijuni, la plus grande des îles de l’archipel, le parc est couvert d’une belle végétation méditerranéenne. La faune, quant à elle, est peut-être la dernière expression croate de l’internationalisme communiste : nilgauts (Boselaphus tragocamelus), éléphants, zèbres de montagne ou cobes à croissant, descendant de cadeaux diplomatiques faits à Tito, se sont mêlés aux mouflons, lièvres, chitals (Axis axis) introduits au début du XXe siècle et aux espèces autochtones, sauvages ou domestiques (comme le grand bœuf Boskarin au pelage gris : l’un des plus vénérables bovins européens). Des empreintes de dinosaures sont visibles en plusieurs points du parc. Journée avec un guide francophone privé.
Route pour Split. Installation pour trois nuits dans une maison ancienne du faubourg à la fois campagne et urbain de Veli Varos. Ce qui signifie proximité et de la vieille ville et de la plage (de galets). Blanc, bois naturel, ligne claire, mobilier design, salles de bain impeccables : vos chambres ont de la tenue. On s’y sent bien ; la disponibilité aimable du personnel contribue à cette atmosphère favorable. Le petit-déjeuner joue une carte healthy. Le service de massages et de soins corporels est assuré par des professionnels patentés. Le studio de yoga ouvre par de grandes baies sur le jardin, où le Bouddha médite. Le mélange autrefois / aujourd’hui est à l’équilibre et la tranquillité du quartier enrobe la quiétude des lieux.
Déjà prévu au programme - La vieille-ville en privé. Split est né d’un seul ensemble monumental : le palais que l’empereur Dioclétien fit édifier à la fin du IIIe siècle pour passer sa retraite au pays. On y trouvait des bâtiments d’habitation, un temple de Jupiter, des thermes, des casernes, etc. L’enceinte du Dioklecijanova palaca rehausse encore aujourd’hui le front de mer. Au Moyen Age, des maisons étant construites à l’intérieur et à l’extérieur, le palais craqua aux jointures et se mua en ville. On transforma le mausolée de l’empereur en église chrétienne (avec un campanile du XIIe siècle et un chœur du XVIIe, c’est désormais la cathédrale Saint Domnius). Les architectes vénitiens vinrent aussi exercer ici leur métier. Plein de recoins donc, de pierres vénérables, de colonnes, d’arcs, de petites places où boire un marasquin et manger des crêpes. Certifié Unesco. Un guide francophone pour faire le tour.
Ce n’est pas parce que Sibenik est moins célèbre que Split ou Dubrovnik qu’il faut la snober. On la trouve un peu au nord de Split, au bord d’une baie étroite qui porte son nom, et qui est l’un des meilleurs mouillages de l’Adriatique. Cette particularité a depuis longtemps attiré l’attention sur la ville. Le chenal Saint Antoine, qui conduit à la mer, n’est pas pour rien défendu par la forteresse Saint Nicolas, inscrite au patrimoine mondial par l’Unesco parmi les ouvrages de défense vénitiens des XVIe et XVIIe siècles. Unesco encore, la cathédrale gothico-Renaissance Saint Jacques, dont l’architecte principal fut Georges le Dalmate. Le portail nord, qui superpose deux lions, Adam et Eve, le patriarche Jacob et saint Pierre est splendide. Le fort Saint Michel - XVe siècle, avec adaptations postérieures - couronne la vieille cité avec une sobriété frappante. Fonctionnaliste avant la lettre. Et puis, on se promène avec bonheur dans les ruelles, au bord de l’eau. On profite de la pierre blanche qui prend si bien la lumière. Vous pouvez également visiter les belles cascades du parc national de la Krka, à Skradinski buk ou Roski slap.
Route pour Mostar et la Bosnie. Nuit sur la rive ouest du fleuve Neretva, au bord du périmètre Unesco. Le bâtiment est récent, aménagé comme tel selon l’esprit bosnien d’aujourd’hui : international avec des notes électriques. Logement confortable. Dans le grand jardin, la salle à manger a été construite avec des matériaux anciens dans le style traditionnel. Lourdes tables de bois ciré, vieux fusils au mur, l’atmosphère y est bosnienne d’antan et la cuisine à l’avenant.
Déjà prévu au programme - Mostar, ottomane et multiculturelle, un guide francophone privé. Trésor d’architecture ottomane et cité martyre, Mostar fait l’objet d’importantes campagnes de restauration. Le Vieux Pont (Stari Most - XVIe siècle) sur la Neretva est un emblème non seulement bosnien, mais international - inscrit au patrimoine mondial. Il peut aussi à bon droit exemplifier l’intégration de l’architecture au paysage. On le passe aujourd’hui pour découvrir la beauté pittoresque du vieux bazar, des mosquées, des auberges et des magasins qui constituèrent ce gros bourg frontalier de la Sublime Porte, ce qui relève à la fois de l’enchantement et du privilège. Beaux immeubles Sécession dans la partie austro-hongroise de la ville.
Route pour Sarajevo. En chemin, on peut visiter les stecci, monuments funéraires médiévaux, de Radimlja, village d’Osanjici. Ou se baigner aux superbes chutes de Kravica, sur la rivière Trebizat.
Installation pour deux nuits dans le centre historique. L’hôtel a pris place dans le plus vieux hammam de la ville, lequel aurait été fondé au XVe siècle. Après une histoire mouvementée, il est rebâti en 1891 puis restauré et transformé au début de ce siècle. Il fait toujours fonction de bain : vapeur, massages. La décoration a une volubilité et une densité qui renvoie aux fastes de l’empire ottoman. Les chambres ont été dotées d’un beau mobilier de bois sculpté, de tapis, de tentures. On y est un peu dans un autre monde, avec les éléments de confort de celui-ci (de belles salles d’eau modernes, notamment). Petit-déjeuner turc servi sur place.
Déjà prévu au programme - Sarajevo, une ville en reconstruction. La mosquée Gazi Husrev-beg (Sinan, 1530-31), la cathédrale catholique du Sacré Cœur (Josip Vancas, 1884-87), la synagogue ashkénaze (Karel Parik, 1902) ou le pont Seher Cehaja (1585-86) sont au nombre des monuments emblématiques auxquels vous conduit un guide francophone privé. Entre ces édifices prestigieux, vous accordez l’intérêt qu’ils méritent aux barbiers, aux échoppes en tous genres, aux marchés ou aux boutiques des ténors de la mondialisation. Les marques du siège de 1992-96 se voient elles aussi. On fut tenté de les effacer complètement. Il ne faut cependant pas oublier. Alors, on garde des stigmates prudentiels. L’atmosphère n’est pas anxieuse pour autant. Les habitants de Sarajevo veulent vivre ; ils se montrent créatifs, ambitieux, ouverts et sont le plus bel ornement de leur ville.
Route pour Zabljak et le Monténégro. Installation pour deux nuits à quelques kilomètres de là, dans le parc naturel du Durmitor. Le chalet moderne, en pierre et en bois, est à vous. Il est commodément aménagé, facile à vivre, accueillant. Avec le bois partout, l’esprit montagne cosy règne. De bonnes literies pour de bonnes nuits et des douches pour se revigorer. Le soleil chauffe la véranda. Dehors, sur la terrasse, une grande table autour de laquelle se réunir. On fait sa cuisine, mais on peut aussi demander des repas aux hôtes. Les arbres, la prairie, les rochers, le paysage en somme engage à la randonnée au grand air. La simplicité d’une belle nature.
Déjà prévu au programme - Randonnée dans le Durmitor. Le parc national protège de hauts reliefs karstiques des Alpes dinariques. L’Unesco l’a inscrit au patrimoine mondial pour sa flore - pin de Bosnie, érable des Balkans et panicaut bleu des Alpes, trolle des montagnes - et sa faune - chamois, ours, loup, grand tétras, vautours, etc. Au nord du massif, un phénomène : le canyon de la rivière Tara, l’un des plus profonds d’Europe. On pérégrine en compagnie d’un guide anglophone privé. Plusieurs itinéraires et niveaux de difficulté sont possibles - de 200 à 700 m de dénivelé, de 4 à 7 heures de marche. Le mont Curevac (1625 m) offre sur les montagnes et le canyon un point de vue vertigineux ; on peut l’approcher en voiture et réduire le temps d’effort à 20 minutes. En empruntant le sentier des trois lacs, dont le célèbre lac Noir, vos pas conduisent aux impressions romantiques. Au pied du pic Obla Glava (2303 m), la grotte de glace et ses formations étranges se gagnent par un effort de 7 heures.
Route pour la péninsule de Lustica, à l’entrée des bouches de Kotor. Installation pour trois nuits dans un village, dont quelques maisons de pierre ont été aménagées en hôtel. Autour, oliviers, grenadiers, lauriers embaument l’Adriatique. Votre appartement avec balcon sur mer est joliment agencé : chambre, salle de bain, séjour, petite cuisine équipée. Coquet, sans omettre la pointe de rusticité qui sied. Au restaurant, des ingrédients bio sélectionnés et des recettes de saison. Le naturel ne se galvaude pas. Deux piscines invitent à se délasser au chant des cigales. Cependant, une promenade mène sans effort à la plage la plus proche, distante de seulement 3 kilomètres.
Déjà prévu au programme - Les bouches de Kotor en bateau à moteur. On peut dire la rade de Kotor. En fait, ce système de vastes plans d’eau et de passes resserrées aurait pour origine une ria. Quoi qu’il en soit, on s'émeut devant un paysage ample et harmonieux qui, à l’instar des fjords scandinaves, équilibre puissants reliefs et nappe liquide. Lorsque cette dernière réfléchit l’image des montagnes, l’effet stupéfie. On embarque avec un skippeur anglophone et, en longeant la côte, on repère villages, églises, monastères. Des fondations religieuses anciennes et nombreuses parsèment le pourtour des bouches ; il faut convenir que ces dernières ont de quoi élever l’âme. Au large de Perast, arrêt à Notre-Dame du Récif, construite sur un îlot artificiel au XVIIIe siècle. On peut se baigner aussi à San Marco, dans l’archipel di Cartolle en baie de Tivat.
Route pour Ulcinj, aux confins maritimes de l’Albanie. Installation pour deux nuits au bord de l’eau, dans l’une de ces maisons qui furent les résidences secondaires des habitants aisés de la ville. Elles sont aujourd’hui converties au tourisme. Les chambres, les appartements ont pour élément essentiel un balcon, une terrasse sur la mer. Le reste suit la possibilité de contempler l’Adriatique. Aménagement et équipement, décoration, tout est moderne. Les grands canapés seuls rappellent la civilisation du divan. Un restaurant sur place cuisine la Méditerranée à l’intention exclusive des hôtes. Ceux-ci ont d’ailleurs aussi accès à une piscine extérieure, à la plage de rocher privée, au beach bar. Ils peuvent louer des canoës, des bateaux. Et le vieil Ulcinj ne se trouve qu’à quelques centaines de mètres au sud.
Déjà prévu au programme - Le lac de Skadar en privé. Le lac se trouve à cheval sur la frontière albano-monténégrine. Il est protégé pour diverses raisons, dont son importante avifaune. Pendant la navigation avec un guide anglophone, on peut espérer voir l’ibis falcinelle, le plongeon imbrin ou le vautour fauve. Parmi bien d’autres, dont les attendus anatidés, vu le contexte : sarcelle d’été, canard souchet, fuligule morillon, nette rousse, etc. Cependant, l’étoile et le symbole du lac est le rare pélican frisé, un gros porteur parmi les oiseaux. On admire au passage des nénuphars blancs et jaunes. Les amateurs de libellules sont à la fête, qui reconnaissent le caloptéryx vierge, la naïade aux yeux rouges ou le grand anax empereur. Vous déjeunez de poisson du lac au village de Krnjice. Un peu plus tard, le spectre du choc thermo-différentiel conjuré, une baignade est prévue du côté de Radus, un village où une faille porte la profondeur du lac autour de 60 mètres. Puis on rentre, de village de pêcheur en village de pêcheur.
Route pour l’aéroport de Tivat et rendu de la voiture. Vol retour.
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