Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
À l'arrivée, accueil et assistance en français. Prise en charge de votre voiture de location. Route en direction de la pittoresque Kruja, imprégnée d'une atmosphère médiévale et célèbre pour être la ville natale de Georges Kastrioti "Skanderbeg", le héros national albanais qui résista bravement aux Ottomans au XVe siècle.
Installation pour une nuit. La façade moderne et onduleuse de l'hôtel annonce un intérieur aux standards contemporains. Les chambres, raffinées et bien équipées, marient des tons sobres tels que le gris, le brun et le blanc, créant une toile neutre agrémentée de touches de design et de couleur, conférant ainsi une dimension esthétique distinctive. Du sommet de l'hôtel, la vaste terrasse domine la ville et contemple la silhouette élancée d'un minaret et la masse imposante du château de Skanderbeg. Le restaurant propose une savoureuse cuisine albanaise. La piscine permet de se rafraîchir et de se détendre agréablement. Le tout à seulement 400 mètres de la cathédrale, au cœur même de la vieille ville.
Route vers le sud-est pour rejoindre Lin, où l'on s'installe pour deux nuits. Sur une minuscule péninsule s’avançant dans le lac d'Ohrid, se dresse votre hôtel en pierre, à peine séparé de l’eau par un petit jardin. Au bout de celui-ci, un accès privé celle-là. L'intérieur, à la fois simple et bien aménagé, reflète le confort qui vous attend dans votre chambre. Au menu du restaurant, poissons du lac et fruits cueillis directement dans le jardin. L'accueil chaleureux transcende la simple formalité, évoquant plutôt un esprit amical, tandis que le service s'érige en véritable engagement plutôt qu'une simple obligation professionnelle. Barques et canoës suggèrent des petites virées sur le lac, tandis que des vélos invitent à explorer les chemins de l'arrière-pays.
Au programme - Ohrid en privé. Par-delà les eaux calmes du lac se dessine la Macédoine du Nord et la cité que l’on surnomme la "Perle des Balkans". Figée dans l'éclat du temps, elle dévoile un passé millénaire, soigneusement révélé par une collaboration entre historiens de l'art, architectes et archéologues, lui conférant ainsi le prestigieux statut de site du patrimoine mondial de l’Unesco. Ohrid s'est érigée au fil des siècles en un carrefour vivant de la culture byzantine et du christianisme orthodoxe, ayant accueilli des figures éminentes telles que Saint-Naum et Saint-Clément. Une légende fascinante enserre cette terre, incarnée par les 365 églises et monastères qui ponctuent le paysage, symbolisant chaque jour de l'année et lui attribuant l'évocateur surnom – encore un – de "petite Jérusalem des Balkans". Parmi les édifices marquants, on relève le musée niché dans la maison Robevi, l’imposante cathédrale Sainte-Sophie, le théâtre antique, l'église de la Sainte Mère de Dieu Perivleptos, la forteresse de Samuel, Plaosnik, site archéologique enfoui à 250 mètres sous la forteresse, l’ancien monastère slave, Saint-Pantaleimon, et l’église Saint-Jean de Kaneo. La journée se prolonge avec la visite de la baie des Os et son complexe archéologique, puis se conclut par celle du monastère Saint-Naum.
Route pour Korçë et installation pour la nuit dans une grande demeure de style traditionnel. Les bâtiments entourent une cour pavée charmante, agrémentée de galeries et de géraniums. Le soir, l'atmosphère devient particulièrement plaisante. Les intérieurs sont marqués par des murs en pierre, des voûtes en brique, des poutres apparentes, des planchers soigneusement entretenus. Une modernité discrète, des tapis, des broderies, des lambris et un mobilier assorti. L'ensemble se veut équilibré et contemporain, teinté d'une élégance subtile. Les chambres, dans la continuité de cet harmonieux décor, offrent un confort raffiné. Au restaurant, une cuisine internationale aux influences albanaises.
Déjà prévu - Korçë et Voskopojë en privé. Pendant la Première Guerre mondiale, Korçë fut occupée par les Français. Le 2 octobre 1916, le 1er régiment de chasseurs d’Afrique prend possession de la ville ; la région sera administrée par Paris jusqu’en 1920. De cet épisode politico-militaire subsiste une atmosphère dans quelques quartiers. Si vous visitez le musée national d’Art Médiéval, l’un des plus beaux d’Albanie, cela pourrait monopoliser votre temps, mais peu importe. La Résurrection de Lazare, d’Onouphrios de Neokastro, archiprêtre et éminent peintre religieux du XVIe siècle, est une pure merveille. Quant à l’église Saint-Athanase de Voskopojë, un historien enthousiaste l’a qualifiée de "chapelle Sixtine des Balkans". Voudrait-on manquer ça ? Par ailleurs, ce bourg, qui fut une ville au XVIIIe siècle, aligne de belles maisons anciennes le long de ruelles pavées.
Route vers le sud jusqu’à Gjirokastër.
À voir en chemin - Les sources naturelles de Benje, aménagées en divers bassins où les eaux riches en soufre abondent. Cet endroit prisé des locaux comprend également un superbe pont ottoman à une seule arche.
À l'arrivée à Gjirokastër, installation pour deux nuits dans une demeure de la vieille ville. L’aménagement en hôtel a respecté scrupuleusement l’esprit des lieux et leurs matériaux d’origine. Dans les chambres, de longues banquettes rappellent la manière ottomane. On y trouve tout le confort souhaitable. L’esprit de mesure ayant présidé, l’équilibre entre équipement contemporain et charme vieux Balkans est bien tenu. De sa fenêtre, on peut contempler l’étagement des toits de lauzes des kullas, témoin d'une époque où les marchands façonnaient ces demeures albano-turques, aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Déjà prévu - Gjirokastër en privé. Déambulez à travers les ruelles pavées, de la citadelle (à partir du XIIe siècle) au bazar (XVIIe-XIXe siècles) que domine la Xhamia e Pazarit, puis par la mosquée (XVIIIe siècle), en passant par la maison natale de l’écrivain Ismail Kadaré, dont l'œuvre Chronique de la ville de pierre prend vie sous vos pas. Cette promenade révèle toutes les raisons qui ont valu à Gjirokastër son inscription à l'Unesco : une architecture magnifique préservée dans un ensemble d'une cohérence rare, rivalisant uniquement avec Berat. C'est un témoignage d'un monde avec ses contraintes et ses accommodements, porteur d'une profondeur historique et d'une certaine poésie.
Également à votre agenda - Visite d’une ferme urbaine faisant face à la montagne Cajupi. Gérée depuis plusieurs générations par une famille locale, elle propose une variété d'activités, dont des dégustations de produits régionaux (miel, confitures, fromage et vin) ainsi qu’un tour des ruches et une rencontre avec les animaux résidents.
Route en direction du nord-ouest pour rejoindre le village de Qeparo sur la côte ionienne.
À voir en chemin - Le site archéologique de Butrint, classé lui aussi, où vestiges grecs, romains, byzantins et vénitiens se mêlent harmonieusement à la nature du parc national. Les ruines, témoins éloquents du glorieux passé de cette ancienne cité, incluent notamment le sanctuaire d’Asclépios, un théâtre du IIIe siècle, ainsi qu'une imposante tour vénitienne du XVIe siècle.
Installation pour trois nuits dans un hôtel sur la plage. Le bâtiment déploie ses ailes avec une certaine allure. L’architecture a trouvé des solutions pour se donner du rythme et échapper au complexe forteresse. La pierre des murs est non seulement décorative, mais également essentielle à la structure. Les chambres bénéficient d'une atmosphère naturelle et plaisante. L’extérieur pourtant est l’espace de vie numéro un : terrasses ombragées par des canisses, abri massage directement sur le sable blanc, voiles, chaises longues. Le jardin, contrepoint végétal, apporte une fraîcheur bienvenue. Une piscine extérieure complète le tableau. Quant au restaurant, il propose une cuisine internationale aux appréciables accents albanais.
Avec ses vieilles maisons, ses oliviers et une vue splendide sur la mer, le village de Qeparo, établi à 450 mètres d’altitude sur les pentes du mont Gjivlash, captive les Albanais. La route qui s'étire entre Qeparo et Himarë dévoile le château ottoman de Porto Palermo, dont le récit d'aventures mêle banditisme colonial, intrigues et politique internationale. On y croise Ali Pacha de Tepelen, la Royal Navy, des diplomates français et bien d'autres. Les Soviétiques y ont également établi une base sous-marine, aujourd'hui laissée à l'abandon. À proximité, les ruelles pittoresques du village de Palasë sont bordées de maisons blanches, surplombées par les lauriers roses qui, à la belle saison, embaument l'air.
Non loin de là, le parc national de Llogara déploie ses sommets arides et pelés. Cependant, jusqu'à une altitude de 2 000 mètres, des bois de pins, de chênes et de frênes couvrent les reliefs. Les randonneurs sillonnent le secteur pour ses aspects physiques et floraux, ainsi que pour la richesse de sa faune : chamois sur les hauteurs rocailleuses, chevreuils et écureuils, vautours fauves et perdrix bartavelles.
On quitte la côte pour Berat. Sur le chemin, une vingtaine de kilomètres au sud de Lushnjë, le monastère orthodoxe d’Ardenica se dresse sur une éminence. Fondé au XIIIe siècle, il demeure le seul en Albanie où des moines résident encore. C'est également le lieu fameux du mariage du héros national Skanderbeg en 1451, qui renferme des fresques et une iconostase du XVIIIe siècle.
À Berat, installation pour deux nuits au cœur du quartier historique de Mangalem, situé au commencement de l'ancienne route menant au château. Vous découvrez une demeure érigée sur les vestiges de manoirs qui étaient autrefois la propriété du Pacha de Berat, Ahmet Kurt Pacha, gouverneur de cette ancienne division administrative de l'Empire ottoman. Les chambres, d'une simplicité raffinée, s'habillent de nuances apaisantes de blanc, créant ainsi un cadre épuré et soigné. Le restaurant, quant à lui, célèbre les saveurs authentiques et les mets traditionnels de la région.
Déjà prévu au programme - Découverte du vieux Berat en privé. Unesco toujours, la vieille ville opère comme une véritable machine à remonter le temps à mesure que l'on s'engage dans les ruelles sinueuses de Mangalem. La forteresse médiévale, la Kala, trône majestueusement sur la "ville aux mille fenêtres". Parmi les must-sees, l'église Shën Mëri Vllahernës, datant du XIIIe siècle et ornée de fresques du XVIe, ainsi qu'un fin minaret signalant la Xhamia e Mbretit, mosquée du Roi érigée au XVe siècle par Bajazet II. Le tekké Halveti, richement décoré, transporte au XVIIIe siècle. La proximité de la supposée tombe du "messie" juif Sabbataï Tsevi (1626-1676) ajoute une dimension mystique à la balade. Toutefois, c'est la grande cohésion de l'ensemble vernaculaire qui éblouit le plus. Les maisons des XVIIIe et XIXe siècles s'intégrant élégamment aux nécessités urbaines.
Route finalement pour la vibrante capitale albanaise. Restitution de la voiture et installation pour deux nuits dans le cœur battant de Tirana, à quelques pas de la place Skanderbeg et de l’opéra national. Dans ce quartier vivant se mêlent restaurants, cafés, galeries d’art, musées, églises et mosquées. L’hôtel, classique, est élégamment décoré, tandis que les chambres allient confort et raffinement. L’atmosphère y est délicieusement rétro, agrémentée d’un mobilier en bois ancien et de tapis persans. Un camp de base idéal pour rayonner dans la ville et l'explorer de fond en comble.
Au programme - Visite privée de Tirana, une ville haute en couleurs, littéralement, dont plusieurs façades ont été repeintes de couleurs chatoyantes sous l'impulsion d'un ancien maire au début des années 2000. Des teintes vives et énergiques signalent aux voyageurs que Tirana aspire à ne pas être oubliée et à occuper une place de choix parmi les capitales balkaniques. Le paysage urbain est structuré par des monuments hétéroclites relevant de l’esthétique soviétique et du rationalisme de l'Italie mussolinienne, à l’instar de la vaste esplanade de la place Skanderbeg. Cependant, à proximité, se dressent la Xhamia e Et’hem Beut – la mosquée Et’hem Bey – et la tour de l'horloge, magnifiques réalisations ottomanes du début du XIXe siècle (la seconde permettait de se rendre à l'heure à la première). La visite mène également au pont de Tabakkane, datant du XVIIIe siècle, sur la rive droite de la rivière Lana, puis au musée national historique, célébrant la richesse de la culture albanaise depuis le Paléolithique.
À ne pas manquer - Le quartier de Blloku (le "Bloc"), véritable emblème du Tirana postcommuniste, révèle une atmosphère vibrante. Ancien quartier réservé exclusivement à l'élite du régime entre 1961 et 1991, Blloku s'est transformé depuis en un lieu dynamique et prisé où se mêlent ministères, restaurants, bars et boutiques branchées.
Transfert vers l’aéroport et vol retour.
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