Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Route pour Baden-Baden. Nuit en plein centre. La façade historique de l’hôtel est immaculée. A l’intérieur, un classicisme léger et confortable, équilibré, harmonieux. Le Petit Prince inspire les propriétaires : il est ici comme chez lui et la décoration lui fait une jolie place. Les chambres reflètent les qualités de l’ensemble, adaptées au particulier. Claires, nuancées, parfaitement équipées, on sait d’emblée qu’on les regrettera. Dans les salles de bain, tout ce qu’il faut et des détails charmants comme, par exemple, la porcelaine fleurie de certains lavabos. La table de la maison s’inspire à la fois de la cuisine du Bade-Wurtemberg et de la façon française, le tout avec finesse.
A la Belle Epoque, Baden-Baden était un rendez-vous thermal couru par tout le beau monde européen. L’aristocratie russe et la gentry anglaise ont notamment assuré son succès. La station et le Schwarzwald ont retenu la leçon chic de cette illustre fréquentation. Il y a une atmosphère. Prendre le temps d’un bain ou d’un soin dans un établissement de la ville pourrait se révéler judicieux à l’amorce du voyage.
Route pour Garmisch-Partenkirchen. Installation pour deux nuits dans un hôtel de grand style alpin. Les fenêtres regardent vers la montagne, laissant généreusement entrer la lumière. Votre intérieur réforme sans excès d’avant-gardisme l’esthétique chalet. Le bois clair et les lainages demeurent, bien entendu, la base d’un environnement douillet. Le bien-être commence là, et se prolonge au spa, au sauna, au hammam, dans les piscines intérieure et extérieure. Equipement de très belle qualité. Le restaurant sert une cuisine de tradition gastronomique, sachant donc concilier culture régionale et savoir-faire sophistiqué. Un ensemble qui a beaucoup de tenue, mais procure des conditions de séjour fort cool.
La voie romaine Claudia Augusta passant par-là, des maisons ont poussé sur ses bords, constituant l’amorce de ce qui deviendrait Partenkirchen. De nos jours, la Ludwigstrasse marque encore l’antique via. A Garmisch, la vieille église Saint-Martin conserve de belles fresques polychromes des XIVe et XVe siècles, dont un saint Christophe monumental. La nouvelle église Saint-Martin, 1730-1734, déploie, elle, le décor rococo qui seyait à la sensibilité de ses constructeurs. Les vestiges du château de Werdenfels convoquent l’époque rugueuse des procès en sorcellerie. Quant au parc olympique, le grand tremplin le domine presque comme un clocher. Un peu au sud de la station, dans le paysage grandiose du massif du Wetterstein (où s’élève la Zugspitze), on trouve le chalet de Schachen, que Louis II de Bavière se fit bâtir entre 1869 et 1872.
En option - Billet pour le train de la Zugspitze.
Route pour Alpbach, dans les Alpes de Kitzbühel. Installation pour trois nuits dans un beau chalet contemporain. Votre appartement est chic et confortable. Bien entendu, le bois est partout, dans le style régional, et procure la chaleur et la cosiness proverbiales de l’habitat alpin. Avec cela, une esthétique épurée permet d’échapper à la reconstitution folklorique : on est bien au XXIe siècle. Ici encore, de beaux lainages aux tons sobres ajoutent à l’impression de bien-être. Un sauna est à la disposition des hôtes de la maison. L’élégance des lieux est de celles qui n’empêchent nullement d’adopter une attitude relax et informelle.
Les entours de montagne sont époustouflants. Au réveil, c’est une joie - pas seulement un plaisir - de les découvrir autour de soi. On se sent accueilli par la journée ! La randonnée et le grand air ont au Tyrol une qualité qu’ils n’ont pas ailleurs. Peu importent les raisons, il faut en profiter. Les paysages sont amples, l’atmosphère possède une limpidité unique, dans laquelle la nature se plait à diffuser des odeurs entêtantes. Les clarines sonnent clair, comme les cloches des villages. Et puis, une cinquantaine de kilomètres seulement séparent Alpbach d’Innsbruck. Là-bas, les maisons colorées de la vieille cité se reflètent joliment dans l’Inn. La ville a une longue histoire et de beaux monuments : église de la Trinité (Jesuitenkirche), cathédrale Saint-Jacques, basilique Notre-Dame des Quatre Colonnes ; le musée ethnographique du Tyrol, dont les beaux meubles peints débordent de nostalgie. Les installations sportives répondent à toutes les exigences du genre.
Déjà prévus au programme - Des vélos électriques pour une journée. Cet engin est idéal pour aborder les hauts et les bas inhérents au contexte alpin. Le bonheur à moindre effort !
Route pour Bovec. Installation pour trois nuits dans un chalet contemporain. Lignes sobres, bois, métal gris : la rigueur urbaine à la montagne et une atmosphère un peu japonisante. Le domaine skiable et « randonnable » du Kanin se trouve à trois kilomètres. Le studio est équipé pour que l’on y soit tout à fait autonome : couchage confortable, salle de bain, kitchenette, coin repas. Le sauna maison permet de récupérer de la saine fatigue des longues promenades dans les environs. Dans la cave, on associe gaiement le vin et un fromage de brebis qui fait la réputation de la région auprès des amateurs. La vie de l’hôtel s’ordonne autour des activités de plein air et les services s’adaptent aux saisons - du ski, on passe au VTT, à la randonnée, au kayak et au raft, puis retour de la neige, etc.
Déjà prévu au programme - Le parc national du Triglav en privé. Ce parc est certainement l’un des plus beaux du domaine alpin. A plus de 2800 mètres, le Triglav est le sommet de la Slovénie ; sa composition calcaire et l’érosion karstique en font une fontaine, ce dont profitent la végétation et la faune. Avec un garde forestier anglophone, on part, tôt le matin ou en toute fin d’après-midi (eh oui, le safari aux marmottes se pratique comme le safari au lion, aux heures grises). On est attentif à suivre son guide avec discrétion et, soudain, un cerf, un coq de bruyère, un blaireau, un chevreuil ! Il y a toujours une émotion particulière à rencontrer les animaux en pleine nature. Pour se remettre, on fait halte dans une cabane de charbonnier. Pain, saucisses grillées, thé et évocation de la production traditionnelle du charbon de bois. Puis, on reprend sa marche prudente et concentrée.
Déjà prévu au programme - Raft sur la Soca. La Soca n’est pas seulement bleu-vert, mais aussi rapide et tumultueuse, propice aux descentes à forte teneur en adrénaline. Le parc national du Triglav n’a pas la lenteur pour seule vocation. On s’en va donc embarquer sur un raft (embarcation à la fois souple et résistante) muni par l’organisation de l’équipement nécessaire : combinaison néoprène, casque, chaussures étanches. Et, armé comme les autres d’une pagaie, on se lance à perdre haleine, dans les éclaboussures et les éclats de rire. Un instructeur anglophone, capable de faire face à toutes les situations, accompagne l’équipée. Conditions de sécurité professionnelles.
Route pour Vienne. Installation pour trois nuits à quelques minutes du Ring. C’est Otto Wagner (1841-1918) qui a dessiné le bâtiment. La décoration de l’hôtel, sur le thème de la danse, a beaucoup de chic et de fluidité. L’esprit contemporain joue ici avec les codes et les couleurs traditionnels. Le charme viennois met partout une légèreté délicieuse. Les préoccupations environnementales du management trouvent une expression tangible au bar et à la bibliothèque, dont l’équilibre apaise et réconforte. Le petit-déjeuner Austria Bio Garantie est une savoureuse raison de se lever le matin.
Déjà prévue - La Vienna Card. Accès gratuit - ou à tarif préférentiel - aux transports en commun et aux principaux musées de la ville, pendant trois jours.
L’architecte de l’hôtel est un maître viennois, on peut visiter la ville à la recherche de ses réalisations : Villa Wagner (1888), Otto Wagner Brücke (1894), St. Johannes Nepomuk Kapelle (1895), Hofpavillon Hietzing (1898), Majolikahaus (1898), Postsparkasse (1906), Kirche am Steinhof (1907). Ce serait passionnant. Néanmoins, de la Hofburg au Karl Marx Hof et de Schönbrunn à la cathédrale Saint Etienne, ou à la maison Hundertwasser, les monuments viennois sont à foison. Les musées sont étourdissants où brillent Dürer, Rubens, Klimt, Schiele, Kokoshka... La musique est permanente. Les cafés sont littéraires. Les escalopes, aériennes. Et que dire d’une balade sur le Kahlenberg, de heuriger en heuriger et de spritz en spritz…
Déjà prévu au programme - Un billet pour la grande roue. Elle se trouve dans le parc du Prater et donne sur Vienne un bien joli point de vue. Depuis longtemps emblématique, elle a eu les honneurs de Tuer n’est pas jouer, quinzième film de la saga James Bond. Les Britanniques y sont d’ailleurs un peu chez eux puisqu’elle a été construite en 1897 par un ingénieur de la Royal Navy, le lieutenant Walter Bassett Bassett. Viennoise tout de même, par vocation, car comme la valse, elle tourne. Ensuite, vous allez goûter sur le Ring, au café Landtmann. Depuis 1873, l’établissement rend aux Viennois des services salés et sucrés smart. C’est l’une de ces maisons à la qualité invariable où la capitale semble se retrouver elle-même en cas de besoin. On accompagne son café d’un Guglhupf ou d’une Trüffel Torte et passent les ombres de Freud ou de Gustav Mahler.
Route pour Blizsi Lhota, au bord du lac de Lipno. Installation pour trois nuits dans un appart-hôtel récent dont la décoration joue gentiment avec les rappels vintage et l’ambiance campagne. En fait, tout cela est très ajusté. Les installations ne laissent rien à désirer. Votre appartement est bien équipé ; vous ne manquez d’aucun des éléments techniques utiles. Sur place, des saunas, bain de vapeur, service de massage, bains (à la tourbe, au miel, aux simples, etc.). De quoi se délasser à fond, jusqu’à la dernière articulation, en rentrant de balade. Une terrasse invitant ensuite à un apéritif prolongé dans la douceur du soir.
On peut sortir sur le lac en kayak, en voilier ou en bateau. On peut aussi randonner dans la campagne, à pied ou à vélo : petites routes bordées de pommiers, champs de petit-pois, étangs où les carpes font des pirouettes. Toutefois, une visite de Cesky Krumlov s’impose. La ville que les Allemands qui l’habitaient en majorité appelaient Krumau est désormais inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Le château s’élève au-dessus du vieux bourg aux ruelles indécises, que bordent édifices gothiques, Renaissance, baroques… L’ensemble est parfait de romantisme centre-européen. Une fois grimpé le raidillon menant au hrad, on traverse une succession de cours pour accéder aux jardins et visiter un exceptionnel théâtre baroque.
En option - E-boat sur le lac.
Déjà prévu au programme - Des vélos pour une journée. La campagne alentour est donc propice à la randonnée cycliste. D’ailleurs, Blizsi Lhota se trouve au croisement de plusieurs itinéraires notables. En enfourchant votre vélo, vous vous mettez au diapason des Tchèques, qui pratiquent avec entrain la petite reine. Et ce n’est pas désagréable d’être dans la note. Bords du lac, routes de campagne, il y a partout des points de vue qui justifient les efforts consentis (cette remarque pour ceux que le seul fait de pédaler ne suffit pas à contenter). Au retour, l’hôtel aura mis à votre disposition tout ce qu’il faut pour un barbecue en famille : matériel et ingrédients. Il n’y a plus qu’à préparer la braise, faire cuire et se régaler. Un bon moment do it yourself.
Route pour Prague. Installation pour trois nuits dans le quartier historique de Mala Strana, à deux pas du pont Charles et des fastes baroques de l’église Saint-Nicolas. L’hôtel occupe un bâtiment Renaissance dont la façade a été modernisée au XIXe siècle et la tour médiévale d’une ancienne résidence épiscopale. Les aménagements jouent du contraste entre un minimalisme blanc et l’architectonique ancienne. Cette dernière étant ainsi pleinement mise en valeur. C’est l’aspect contemporain qui domine dans les chambres. Le design soigné et confortable du mobilier séduit d’emblée et tient ses promesses à l’usage. Dans le tissu urbain dense du quartier, l’intérieur de la maison étonne par la clarté. Le petit déjeuner est servi sur place ; pour les autres repas, Prague ne manque pas de ressource.
Pour qui la découvre, Prague est un enchantement, et qui la connaît jalouse en secret ceux qui la voient pour la première fois. Vysehrad, vieille-ville, nouvelle ville, Mala Strana (votre Petit Côté), château, colline arborée de Petrin, composent de part et d’autre d’une boucle de la Vltava un paysage urbain touchant. Baroque bien sûr, mais aussi gothique (pensons au pont Charles qui est de celui-ci, mais dont la gloire de statues est de celui-là), Renaissance, Art nouveau, fonctionnaliste, etc. Une unité miraculeuse et serrée que l’on explore à pied et en tramway. Sur les pentes des collines, de beaux parcs et des jardins permettent de s’arrêter et de contempler la poussée vers le ciel des tours et des clochers. Dans les auberges, le débit de Staropramen ou de Plzen commande le volume des conversations.
En option - La vieille-ville et Mala Strana en privé.
Déjà prévu au programme - Spectacle de théâtre noir, qui combine lumière noire, pantomime et danse avec beaucoup de poésie fantasque. On fait aussi un petit tour sur la Vltava à bord d’un bateau-mouche old time. A l’origine de ce vodouch à très faible tirant d’eau, il y a la nécessité d’approvisionner Prague en sel. L’embarcation ad hoc pouvant aller partout sur la rivière et le tourisme prenant essor, un passeur eut l’idée d’installer un pont et une grande cabine, et de donner aux visiteurs une autre vision de la ville. Aujourd’hui, la petite flotte reproduit le dernier développement de ce bateau au XIXe siècle. Une mini-croisière nostalgique qui convient parfaitement au décor des berges.
Route pour Nuremberg. Nuit dans un immeuble XIXe classé. Votre logement est lumineux et confortable. Bois naturel, blanc, gris, noir, chocolat, les tons engagent au calme et à la détente. Le dessin des meubles est rigoureux, pas spartiate : on y a ses aises. Un restaurant sur place, qui sert petit déjeuner, snacks, repas. Tout cela préparé avec des ingrédient de proximité ou issus du commerce équitable. Un service spa de jour ainsi qu’une salle de gym bien équipée sont proposés aux hôtes.
Du château impérial aux Nürnberger Bratwürste, le patrimoine est considérable. En coup de vent, on peut passer à la maison natale d’Albrecht Dürer ; avec un peu plus de temps, affronter le Centre de documentation sur le nazisme ou l’impressionnant Germanisches Nationalmuseum. A moins que l’on ne préfère se rendre en famille au musée des jouets ?
En option - Nuremberg en privé.
Route retour.
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