Idée voyage 100% personnalisable
Arménie - Erevan - Gumri - Dilijan - Lac Sevan
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
À l'arrivée, transfert privé pour le centre-ville d'Erevan. Installation pour quatre nuits au nord de la place de la République, aux abords d'un square verdoyant. Demeure particulière construite au début du XXe siècle, la maison de pierre grise a belle allure. Et solide avec ça ! Dedans, la décoration installe une atmosphère cosy du meilleur goût. Matériaux et qualités du bâti sont judicieusement mis a profit. Bois et pierre posent un cadre chaleureux, les tapis venant en appoint. Ajoutons à cela un nombre de chambres limité et l'on se sent comme dans une maison de famille arménienne – précisément l'effet recherché pour l'arrivée.
Notre suggestion pour la soirée - Coucher de soleil sur la Cascade. Jardins en terrasse et marches de calcaire dégringolent depuis le ciel jusqu'à l'esplanade. Débutée dans les années 1970, achevée à l'aube du nouveau millénaire, cette œuvre monumentale un brin old fashioned fut l’un des espaces festifs du post-socialisme et abrite aujourd’hui un centre d’art contemporain. Au couchant, on grimpe jusqu'au sommet pour déguster mezzés arméniens et bière Kilikia parmi les locaux. On fait difficilement mieux en termes de vue panoramique sur la cité.
Protégée par la silhouette massive et enneigée du mont Ararat, la capitale arménienne accueille plus du tiers de la population du pays. Fondée en 782 avant notre ère, Erevan fut, dès cette époque, une place forte et le centre d'une région agricole fertile. C'est cependant au Haut Moyen Âge qu'elle se développa véritablement. Conquise par ses voisins perses, arabes puis ottomans avant de passer dans le giron de l’URSS, elle affiche un patrimoine riche malgré les importants stigmates de ses années soviétiques.
Votre rendez-vous du jour - Erevan en privé. Votre guide francophone privé est formel : en rejoignant la Cascade la veille au soir, vous n'avez qu'effleuré les trésors de la Ville aux sept collines. Il y a la solennelle place de la République, qui héberge le siège du gouvernement – incontournable. L’incroyable collection de 20 000 manuscrits du Matenadaran (bibliothèque). L'émouvant mémorial du génocide. Le Vernissage Market, grouillant de monde et de produits. Quant au musée d’histoire de l’Arménie, il permet de replacer tout cela dans son contexte matériel et social.
Au programme - Les sites religieux des environs, avec un guide francophone privé. Trois monuments religieux, trois styles, trois histoires : une journée entière est prévue pour appréhender tout cela. Commençons par Garni (Ier siècle), dressé sur un plateau au-dessous duquel se trouvent des orgues basaltiques. Édifié par le roi d’Arménie Tiridate Ier, il aurait été dédié au dieu solaire Mithra. Un peu à l’est, le monastère de Geghard s’adosse à une paroi de roches roses déchiquetées. Ses somptueuses chapelles creusées dans la pierre sont tapissées de plaques de basalte noir soutenues par de grosses colonnes gravées. Enfin, à une vingtaine de kilomètres de la capitale, la cité qui abrite la cathédrale et les églises d'Etchmiadzine sert de siège au Catholicosat, résidence du patriarche suprême de l’église orthodoxe arménienne. Un Vatican d'Orient. En regagnant Yerevan, halte sur le site archéologique de Zvartnots dont le nom – "force vigilante" – en dit long. Si le grand palais qui se tenait là a été englouti par un tremblement de terre au XIe siècle, les impressionnants vestiges de la cathédrale (VIIe siècle, classés par l'Unesco) laissent transparaître un plan circulaire étonnant.
Déjà prévu - Le quartier de Kond, avec un guide francophone privé. Perché sur son coteau rocailleux, il se présente comme l'un des plus vieux secteurs d'Erevan. Le seul peut-être. Cerné par une barre d'immeubles, il résiste encore et toujours à l'envahisseur. Pour combien de temps encore, nul ne le sait. Alors on saisit l'opportunité d'y remonter le temps. Ruelles sinueuses et étranglées, marches inégales, crépis en lambeaux : il faut un accompagnateur privé pour s'orienter dans les voies labyrinthiques, et comprendre. Comprendre la particularité de ce quartier vétuste et ses enjeux. Comprendre la personnalité des Kondetsis, qui boivent pour l'heure le café en potinant véhémentement. On quitte la zone fort d'une conception nouvelle et plus complète de la capitale.
Départ pour Gumri à bord d'un véhicule privé conduit par un chauffeur arménien.
En chemin - Arrêt pour visiter la forteresse d'Amberd. Réputé impénétrable avec ses murs massifs et ses tours de guet en pierre volcanique, ce bastion médiéval servait de point de défense contre les invasions ennemies. Puis, halte au village d'Aruch, afin d'inspecter l'église Aruchavank. Si sa date de début de construction est connue, l'année de son achèvement fait l'objet de vifs débats, le mystère ajoutant à son attrait.
À Gumri, installation pour la nuit dans le centre-ville. Bâtie dans les années 1870, votre nouvelle adresse fut successivement un hôtel, une maternité, un centre administratif pour le KGB avant de redevenir, enfin, un hôtel. De cette histoire mouvementée, elle a conservé sa façade d'origine et des intérieurs rétro. Le lobby accueille convenablement, ne serait-ce que par sa taille. Des tableaux sont disséminés un peu partout et l'on trouve même une fresque d'un peintre arménien assez fameux. Dans les chambres, dont certaines ouvrent sur la ville, mélange d'ameublement moderne et de touches vintage. Des tapis traditionnels arméniens soutiennent tout cela.
Au programme - Gumri en privé. La deuxième ville d’Arménie présente une physionomie particulière : en 1988, un violent tremblement de terre a détruit l’essentiel de l’architecture de la période Leninakan, ne laissant debout que le vieux quartier XVIIIe-XIXe, Kumayri, remarquablement homogène. Sur la place Vartanants, la cathédrale Sainte Mère de Dieu est caractéristique de cette époque faste ; non loin, le cinéma Octobre, de 1926, épargné par les secousses sismiques, est un rare témoin de l’art soviétique. Place Charles Aznavour, on peut voir une statue de l’auteur de Emmenez-moi. Au musée Dzithoghtsyan, c’est la vie quotidienne à Gumri au XIXe siècle qui est documentée. Un guide francophone privé fournit des sous-titres nécessaires à tout cela.
Nouveau transfert privé avec chauffeur pour rejoindre Dilijan, au nord du lac Sevan, dans la région du Tavouch.
En chemin - Les bords de route servent de vitrine aux producteurs arméniens. Quelques tables de fortune, une toile pour protéger du soleil, une éventuelle enseigne pour attirer l'attention : cela fera l'affaire. Sur les étals : abricots juteux, carottes croquantes, épis de maïs grillés, vin et fruits secs – de quoi constituer un délicieux pique-nique à savourer dans l'herbe. À quelques kilomètres de l'arrivée, ultime arrêt pour saluer le monastère sylvestre de Harghartsine (XIIe-XIIIe siècle). Enfin, le véhicule ralentit à Dilijan, plantée au cœur d'une belle campagne accidentée et densément boisée.
Installation pour la nuit quelque peu en retrait. La maison de pierre est de format classique, avec des huisseries bleu ciel et un grand jardin où il fait bon récupérer de la route. Les chambres apparaissent claires, simples et confortables. De la grande terrasse couverte, ouverture sur la ville. Réputée pour la qualité de ses eaux, celle-ci a conservé beaucoup de maisons traditionnelles, mais aussi des chalets russes et même un soupçon de modernisme. Ruelles en pente, galeries et balcons de bois sculpté, le vieux centre a été restauré : on se croirait au XIXe siècle. L'atmosphère est délicieuse.
Retour vers Erevan, toujours à bord d'un véhicule privé avec chauffeur local.
En chemin - L'itinéraire amène sur les bords du lac Sevan, l’un des plus grands lacs d’altitude du monde et l’une des trois "mers" arméniennes, avec le Van et l’Ourmia. Romanciers et poètes ont chanté ces abords paisibles, ces monastères et le bleu intense d’un "bout de ciel tombé sur la terre". À la pointe nord du plan d'eau, l'église Sevanavank s'est établie sur une péninsule.
De retour dans la capitale, installation pour la dernière nuit dans un hôtel contemporain du centre-ville. L'extérieur avertit déjà sur l'esthétique très graphique des lieux. Dedans, ce parti pris saute aux yeux : ligne claire, moderne, sophistiquée. Les chambres expriment un vrai classicisme hôtelier et de grandes baies ouvrent sur la ville.
Déjà prévu, en soirée - Dîner-concert dans un club emblématique de la capitale. Une sortie Erevan by night s’impose pour cette ultime nuitée. Jazz, rock, blues, musique latine ou classique : les groupes se suivent et ne se ressemblent pas. Le tout à la sauce arménienne. En parlant de sauce, on ne sait pas de quoi le menu sera fait, sinon qu'il sera en trois plats. Les classiques du pays comprennent la marmite de khach (un bouillon de veau dense dans lequel est émietté du pain lavash et que l’on accompagne de vodka à la mûre). Les grillades, khorovadz, lui disputent le statut de plat national. Ghapama, citrouille farcie aux fruits secs et au miel, sera peut-être également de la partie.
Notre suggestion, avant le départ - La maison-musée de Sergueï Paradjanov. Excentrique, poétique, avant-gardiste : le moins que l'on puisse dire, c'est que cet artiste d'origine arménienne, principalement connu pour ses talents de réalisateur, était un personnage haut en couleurs. Héros national, il élabora, au fil de ses films expérimentaux – Sayat Nova (La couleur de la Grenade), Les chevaux de feu – son propre style cinématographique. Pour son exubérance et son refus de rentrer dans les cases, il fut arrêté à plusieurs reprises par le régime soviétique. Aujourd'hui, sa maison dans la capitale arménienne a été transformée en musée en son honneur.
Transfert privé vers l'aéroport et vol international retour.
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