Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Eurostar pour Londres puis installation pour la nuit à bord du Caledonian Sleeper, ligne ferroviaire mythique qui relie Londres à Inverness, centre culturel des Highlands écossaises. Vous embarquez en priorité à bord du train et découvrez votre cabine privée équipée de deux lits simples et d'une salle de bains avec douche et toilettes. Les douces oscillations du train bercent et permettent de trouver rapidement le sommeil tandis que vous remontez le long de la West Coast Main Line. Avant l'arrivée à Inverness, prévue sur les coups de 9h, un english breakfast vous est servi directement en cabine.
À l'arrivée, prise en main de la voiture de location et route pour Plockton. L'itinéraire descend consciencieusement les rives du Loch Ness avant de s'enfoncer vers l'ouest, dans les Highlands. Quelques kilomètres avant l'arrivée, ne manquez pas le majestueux Eilean Donan Castle, bâti sur les rives du Loch Alsh.
À Plockton, installation pour la nuit dans la courbe de la baie, à quelques pas de l'église. Dotée d'un pub et d'un restaurant de fruits de mer, l'adresse se pose en parfaite ambassadrice des atouts du pays et de la localité. À l'intérieur, on a ce qu'il faut de bois ciré et de velours pour se sentir vraiment bien, sans oublier les motifs traditionnels, savamment intégrés.
L'heure est venue de reprendre la route, direction Torridon. Le village de Plockton disparaît dans le rétroviseur tandis que le véhicule fait route vers le nord. Après avoir contourné les eaux, il prend de la hauteur jusqu'à Ardorroch, porte d'entrée de la péninsule d'Applecross, où il s'enfonce dans des étendues sublimes et désertiques, cernées par les sommets, avant de rejoindre le Loch Torridon.
À l'arrivée dans le bourg éponyme, installation pour deux nuits dans une auberge établie au sein des anciennes écuries du château voisin. La dizaine de chambres présente un confort douillet, idéal pour se remettre des découvertes de la journée. Quant au pub, il ne manque pas à l'appel et permet de se repaître de saveurs locales dans une atmosphère décontractée.
À voir, à faire - Avant d'aller plus loin, il s'agit de faire plus ample connaissance avec le Loch Torridon, sans conteste l'un des plus beaux et surprenants du pays, entre environnement rocailleux, végétation rase et eaux miroitantes. Le Bealach na Gaoithe Viewpoint, sur la rive nord, permet d'en prendre la pleine mesure. En repartant, le Glen Torridon en impose avec ses reliefs noirs. La route quitte ensuite la côte pour glisser dans les terres. Vous êtes ici au cœur de la Beinn Eighe National Nature Reserve et plusieurs options de randonnées sont possibles au départ du Visitor Center. La route se poursuit ensuite tranquillement jusqu'à Gairloch et, plus loin, Inverewe.
Déjà prévus - Les jardins d'Inverewe? : vous avez les billets en poche. Après avoir patrouillé efficacement les terres désertiques de ce coin d'Écosse, ces jardins primés apportent un souffle d'air frais, une véritable explosion de couleurs et de parfums. Outre la flore, le domaine abrite les cinq espèces emblématiques d'Écosse (écureuil roux, cerf rouge, loutre, phoque et aigle royal), alors on garde l'œil ouvert.
Route pour Achiltibuie, toujours en suivant la North Coast 500. Reprenez les choses là où vous les avez laissées la veille, c'est-à-dire dans les environs d'Inverewe. En mettant le cap vers le nord, la route file vers la Gruinard Bay aux plages de sable rose et aux côtes déchiquetées. L'île éponyme qui trône en son centre a maintes histoires à raconter. Votre destination point à l'horizon, pourtant la route doit d'abord quitter complètement le littoral et s'enfoncer dans les terres avant de pouvoir y revenir.
À l'arrivée à Achiltibuie, installation pour deux nuits dans un inn de la fin du XIXe qui a toujours eu la fonction de recevoir et héberger. Sur les quatorze chambres nettes et cosy, dix ouvrent sur la mer. Un bar et un restaurant procurent les moments de plaisir flash qu’on en escompte. Gin et ales au comptoir du premier ; poissons et fruits de mer aux tables du second.
À voir, à faire - Nouvelle journée, nouveau tronçon de NC500 à explorer. Au départ d'Achiltibuie et Lochinver, la route longe deux lochs en offrant de superbes points de vue sur Stac Pollaidh (613 mètres), une montagne à l’allure étrange, puis file jusqu’à Lochinver entre lacs, littoral et roches. Le parcours est ponctué de belles plages, à l’image d’Achnahaird Beach. On touche ici à ce que l'Écosse a de plus sauvage, une beauté brute et envoûtante.
Une belle journée de route vous attend pour rejoindre Thurso, blottie au nord-est du pays. En suivant la côte vers le nord, on se rapproche de la Point of Stoer. Une sympathique randonnée de 3h permet de se dégourdir les jambes avant d'embrayer sur la suite du voyage. Après avoir rattrapé la route principale, le véhicule poursuit sa course vers le nord en longeant le front de mer parsemé de petits lochs. Au niveau de Durness, les paysages se transforment jusqu’à ce qu’il ne reste plus que l’océan face au regard. Plus loin, ce sont les Îles Féroé ou l’Islande.
À l'arrivée à Thurso, installation pour deux nuits sur un domaine qui dépend d'un château – rien de moins. Les bâtiments sont d'un beau XVIIe siècle écossais : compact et sombre. Tout différent est l'intérieur : clair, coloré sans éclats intempestifs, léger. Les chambres sont harmonieuses, supérieurement équipées et confortables. La décoration classique exprime toute un art de vivre à la campagne. Les tissus sont magnifiques, les papiers peints faits main, le mobilier impeccablement ciré et le côté bonbonnière tempéré. À la salle à manger sont servis de solides petits déjeuners écossais.
Longtemps sous le joug Viking, Thurso peut se prévaloir du titre de ville la plus septentrionale de l’île de Grande-Bretagne, ce qui n'est pas rien. Son nombre de pubs et de boutiques non plus ne se laisse pas ignorer, particulièrement quand on le met en rapport avec la taille de la ville, relativement modeste. Il s'explique en partie par l'animation estivale, lorsque le Scrabster Harbour est pris d'assaut par les visiteurs désireux de se rendre sur les îles Orcades toutes proches, pour lesquelles il fait office de port(e) d'entrée.
En option, avec quelques jours en plus - Les îles Orcades.
Route pour Brora en suivant la ligne de la côte. Peu après John O'Groats apparaissent les Duncansby Stacks. Ces pitons rocheux aux formes atypiques cassent l'écume dans une atmosphère presque menaçante. Plus loin, le littoral est parsemé de châteaux en ruine qui surplombent la mer. À l'arrivée, installation pour la nuit dans une maison de campagne du début du XXe siècle. Dans le lounge, un feu crépite doucement dans l'âtre, persuadant les hôtes de s'y attarder. Le confort grimpe encore d'un cran dans les chambres où de vastes lits s'ornent d'une couverture aux motifs caractéristiques du tartan écossais. Aux beaux jours, on investit les assises du jardin.
Au programme - Le château de Dunrobin? : vous avez les billets en poche. À quelques kilomètres de votre hôtel, surplombant le Moray Firth, le Dunrobin Castle se présente comme l'une des plus anciennes maisons continuellement habitées de Grande-Bretagne. S'il puise effectivement ses origines au début du XIVe siècle, il a pris son apparence actuelle cinq siècles plus tard : celle d'un château de style Renaissance française, ce qui est suffisamment rare en Écosse pour être souligné – et mériter le détour !
Route pour Invergordon, à 45 minutes de là. L'itinéraire flirte avec la côte, de près et de loin. Le passage sur le Dornoch Firth Bridge, bien que furtif, est saisissant, particulièrement en fin de journée quand les rayons du soleil viennent enflammer la surface. À l'arrivée, installation pour la nuit dans une jolie demeure originaire du XVIIe siècle. Il faut emprunter une belle allée d'arbres pour rejoindre l'entrée de l'imposante bâtisse, tout en tourelles et blancheur immaculée. Une quinzaine de chambres seulement garnissent les différents étages. Après ses aventures de la journée, on s'attable gaiement au restaurant dont la qualité tant des produits que de la technique a été démontrée. La tradition veut ensuite que l'on passe au salon, réchauffé par un bon feu, pour goûter quelques whiskies de choix.
Au programme - Observation de la faune dans le Moray Firth. Embarquement à bord d'un zodiac pour patrouiller la baie de Moray, riche de faune marine et aviaire. Le regard glisse au-dessus de l'eau à la recherche des résidents locaux. Dans les airs : macareux, aigrettes, hérons et fous de Bassan. Et, sous la surface qu'ils viennent parfois percer : marsouins, phoques et baleines. Si, comme pour toute sortie d'observation des animaux, le succès n'est pas garanti, la diversité des espèces permet généralement de repartir content.
Route pour Inverness où la voiture de location est restituée avant de prendre le train pour Édimbourg. À l'arrivée dans la capitale, installation pour la nuit en plein centre-ville, à deux pas du château et de la gare. Dans les chambres, un cachet écossais bien entendu, mais aussi de beaux éléments contemporains. Les œuvres d'un photographe de renom sont affichées au-dessus des lits, mettant en scène la faune et la flore du pays, comme des souvenirs du voyage.
Edinburgh, c’est l’histoire et le renouveau écossais all rolled into one. Du bourg médiéval à la cité géorgienne, l’architecture de la ville présente les strates successives des époques et des influences. Preuve en est avec la dualité de Old Town et New Town. De son promontoire, le château surveille ce mariage réussi et, depuis le sommet d’Arhur’s seat, c’est le visiteur qui monitore l’ensemble.
À voir, à vivre - Entreprendre le pèlerinage d’Edinburgh Castle à Holyrood Palace en descendant le Royal Mile ; craquer pour des scones ou un millionaire’s shortbread dans l’un des cafés de la ville ; flâner au parc Inverleith ou à Dean Village ; applaudir les Edinburg Capitals, l’équipe locale de hockey sur glace ; frissonner (mais pas de froid) en visitant le labyrinthe de Mary King’s Close ; participer en soirée à une session de ceiligh, la danse traditionnelle écossaise.
En option - Édimbourg en privé.
Dernières heures à Édimbourg – et en Écosse ! Vite, s'imprégner de l'atmosphère de Leith, faire les pitres à Camera Obscura, dépenser ses derniers pounds en souvenirs et glisser ses cartes postales dans les grandes boîtes rouges. En fin de journée, à la gare d'Édimbourg, on retrouve sa cabine à bord du Caledonian Sleeper qui file à travers la nuit jusqu'à Londres, où attend le lendemain votre Eurostar retour.
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