Idée voyage 100% personnalisable
Géorgie - Tbilissi - Grand Caucase
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert privé et installation pour deux nuits dans une ancienne imprimerie. L’hôtel en a conservé et mis en valeur la structure, qui montre partout son béton brut et ses briques. La décoration inscrit dans ce cadre strict un design glamour et confortable, des rythmes sophistiqués. Les chambres sont vastes, baignées de lumière, meublées douceur et équipées high-tech. Pour les salles de bain, porcelaine immaculée et laiton astiqué. Dans les parties communes, des transparences bien ménagées, des plantes vertes, des sièges de cuir. Le restaurant sert, sur de belles nappes blanches, classiques géorgiens et internationaux. Le bar donne sur le jardin. Il s’y déploie lorsque le temps le permet. Au café, café et chocolat.
Au programme - Tbilissi like a friend. En compagnie d’un Tbilissien francophone et d’un chauffeur particulier, vous allez à travers la ville au diapason de ses habitants. Pas de programme figé, on se fie à l’inspiration, au désir, aux questions. Passant néanmoins par l’église médiévale de Metekhi, sur la rive droite de la Koura. C’est qu’elle abrite le tombeau de sainte Shoushanik, dont la Vie par Iakob Tsurtaveli, Ve siècle, est le plus ancien texte connu de la littérature géorgienne. La forteresse Narikala (dont les remparts actuels datent des XVIe et XVIIe siècles) domine le fleuve Koura depuis le IVe. Familière à tous. Dans le quartier d’Abanotubani, une vieille tradition de bains sulfureux perdure. Le plouf vaut d’ailleurs à qui s’y risque un brevet de Géorgien. Et la peau douce. Enfin, le déjeuner est pris chez une famille, autour du khatchapuri, sorte de calzone du Caucase et plat emblématique de la cuisine géorgienne.
Prise en main de la voiture de location et route pour le nord.
En chemin - Stop à Mtskheta, une ville sainte pour les Géorgiens. Elle a plus d’un titre à l’intérêt des voyageurs. La cathédrale Svétitskhovéli, par exemple, merveille du XIe siècle, a conservé d’admirables fresques anciennes. Ou le monastère de Djvari, édifié aux VIe-VIIe siècles à la confluence de l’Aragvi et de la Koura. L’Unesco a inscrit tout cela au patrimoine mondial. L’antique cité d’Uplistiskhé est un autre site formidable, comme le sont toujours les longues entreprises troglodytiques. Celle-ci s’est étendue de l’Âge du fer au Moyen Âge ! L’un des premiers établissements caucasiens.
À Stephantsminda, installation pour deux nuits en vue du mont Kazbek (dans le Haut Caucase). L’hôtel, mis à jour par les architectes Nata Janberidze et Keti Toloraia, a belle allure. Le bâtiment bien découplé et son cadre de montagnes séduisent dès l’abord. À l’intérieur, alliance chaleureuse du cuir et du bois. Teintes fauve, beige, bise. Un apaisant équilibre chromatique. Les chambres en tirent un avantage, mais aussi d’un excellent niveau d’équipement et d’un balcon sur la nature. En cuisine, le chef a le tournemain talentueux et géorgien. Les lampes mettent une touche industrielle chic à la salle à manger. La grande terrasse se fait de la rusticité une esthétique pointue. Quant à la piscine with a view, elle a peu d’équivalents.
À voir, à faire - À partir de Stepantsminda, on peut randonner jusqu’à la petite église de la Trinité de Guerguéti, XIVe siècle, toute proche, dominée par la masse imposante et régulière du mont Kazbek. La balade fait 7 kilomètres environ, aller et retour. 430 mètres de dénivelé, ça grimpe un peu, mais le jeu en vaut la chandelle. Ceux qui ne se sentent pas de crapahuter peuvent y aller en voiture. Et, puisqu’ils y sont, pousser plus avant dans ces paysages grandioses. Par l’ampleur, l’équilibre, la netteté, la densité, le Caucase est un massif à part, l’un des plus beaux au monde. Le parc national du Kazbek offre une grande variété floristique et une faune bien caractérisée. À la saison propice, il y a des fleurs un peu partout, comme le rhododendron du Caucase, la campanule à larges feuilles, le géranium Herbe à Robert, pour ne citer que celles-là. On observe aussi aux jumelles le vautour fauve, l’aigle royal ou la chèvre du Caucase. Et lorsque la neige s'installe, on chausse volontiers les skis et l'on profite d'un cadre privilégié pour les sports d'hiver.
Route pour Tbilissi.
En chemin - En passant par la Kakhétie, très très ancienne région viticole, du côté de Telavi, on n’oublie pas le monastère fortifié d’Alaverdi, dont les origines remontent au VIe siècle. L’église cathédrale Saint Georges datant elle du XIe. On trouve là de très belles fresques : saint Georges combattant le dragon, une Théotokos, Mère de Dieu. Et le vin des moines, qui sacrifient, on le comprend, à la culture régionale.
Rendu de la voiture à Tbilissi. Installation pour deux nuits à Chugureti, dans un immeuble historique. La restauration a interprété avec finesse l’opulent décorum Belle Époque. Adapté aux exigences d’aujourd’hui, on retrouve un art de vivre raffiné et la souple ornementation d’alors. La synthèse entre il était une fois Tiflis et Tbilissi aujourd’hui est très réussie. Un certain glamour caucasien règne partout. Les chambres sont parfaitement équipées et confortables. Comme le reste de la maison, elles ont une atmosphère, un esprit. Et des parquets, qui sont toujours un plus. Dans un tel contexte, la cuisine géorgienne du restaurant est à la fois une évidence et une excellente surprise. Car elle est succulente. Un service de spa et des massages sont proposés aux hôtes. À des fins de promenade à travers le quartier, la maison loue des vélos.
À voir, à faire - Chugureti fut d’abord un faubourg au nord de Tbilissi. Où les Russes et les Allemands se sont installés nombreux. Il en est resté quelque chose d’un peu différent. On n’est plus ici dans la vieille ville. Après la chute de l’Union soviétique, le quartier s’est dégradé. Depuis, il s’est repris en main. Cependant, ses rues, ses maisons anciennes, dont beaucoup sont très belles, semblent toujours à la merci du temps qui passe. Les restaurations ne prétendent pas faire neuf. Au contraire, elles préservent la patine, le cachet. Un romantisme en somme, qui fait le charme du quartier. Et auquel les habitants sont attachés comme une distinction. C’est un bonheur de se promener dans ces avenues bordées d’immeubles historiques qui font aisément penser à l’Europe centrale. Un stand de shawarma, la bonne odeur du pain dans une boulangerie ajoutent au plaisir des sens. Le bazar est une excellente occasion de se frotter à la réalité géorgienne, celle qui a beaucoup déserté le secteurs rénovés du centre historique. Le soir, Tbilissiens et voyageurs se retrouvent autour de Fabrika, ancienne usine soviétique reconvertie en lieu culturel et festif. Tbilissi n’est pas que nostalgie.
Transfert privé à l’aéroport. Vol retour.
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