Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Train-voiture - Eurotunnel - pour Folkestone, Angleterre ; puis direction Cheltenham. Installation pour trois nuits à Lower Slaughter, dans les collines des Cotswolds. Pierre et ardoise de tradition pour la maison avec, à l’intérieur, ces volumes en long, un peu écrasés par des plafonds assez bas. L’architecture traduit un besoin d’intimité. Et l’aménagement une aspiration au confort douillet. Les chambres sont pleines de beaux lainages aux tons naturels, que font soudain trembler des violet pourpre, bleu pétrole, vert sapin ou anis. Au bar-restaurant, du cuir craquant et un grand âtre. D’un côté, ale et whisky ; de l’autre, une cuisine terroir, car les Cotswolds sont un terroir. Au beaux jours, bien entendu, on peut se régaler dehors, en écoutant babiller la rivière Eye.
Les alentours sont faits de petites routes sinueuses et de villages champêtres. Des cottages comme on les rêve, entourés de fouillis fleuris et de gazons manucurés. Des vignes vierges, des iris, des mousses. Sur les toits, de l’ardoise ou du chaume. Dans ce pays, on se sent English. Les jardins embaument ; les pubs bourdonnent ; les ruisseaux roulent des eaux transparentes ; vaches et moutons paissent les prairies. Là-dessus, des ciels étonnamment vastes. On peut aller voir la Broadway Tower, Tewkeskury Abbey, la villa romaine de Chebworth, les villages de Bibury et Stanton, ou le Jet Age Museum, à Staverton. On peut aussi parcourir un segment de la Cotswolds Way, chemin de grande randonnée. Cheltenham passe pour bourgeoise, ce qui n'est ni complètement faux, ni complètement désagréable. Et puis, Bath n’est pas loin. La station thermale n°1 du royaume, lancée par les Romains et réactivée au XVIIIe siècle pour des raisons thérapeutiques et de bien-être. On ne peut passer si près sans la voir.
Déjà prévu au programme - Bath, afternoon tea à la Pump Room. La Grand Pump Room d’Abbey Churchyard a été construite au XVIIIe siècle afin que l’on puisse boire commodément l’eau bienfaisante de la source chaude. Aujourd’hui, on peut aussi y prendre le thé dans les règles, avec scones, clotted cream, sandwichs au cresson, petits gâteaux et the British way champagne. En musique, s’il vous plait ! Accompagnement au piano solo, ou en trio avec cordes (c’est le plus ancien ensemble permanent d’Europe, dont l’existence remonte aux origines de la Pump Room). Un moment anglais entre tous.
En option - Bath thermal en privé.
Route pour le Gwynedd, Pays de Galles. Installation pour trois nuits sur le domaine de Portmeirion, la folie italienne de Bertram Clough Williams-Ellis (1883-1978) à l’embouchure du Dwyryd. C’est dans l’hôtel du village, installé au bord de l’eau, que l’on pose ses malles. Le bâtiment victorien a été étoffé petit à petit, incluant une belle salle à manger curviligne, pour laquelle Terence Conran a imaginé récemment une atmosphère Art déco. Le chef sait donner des airs d’ailleurs à d’impeccables ingrédients d’ici. L’ensemble est un brin composite, mais quelle architecture balnéaire ne l’est pas ? Certains motifs expriment beaucoup de vigueur théâtrale. C’est en tout cas un vrai plaisir à habiter. Et le site est splendide avec son sable doré et le puissant épaulement rocheux que couvre une végétation dense. On se sent là un peu hors du cadre ordinaire. Et pour cause…
Il faut donc visiter Portmeirion. L’architecte y a travaillé pendant plus de cinquante ans. Cette Italie extravagante au bord de Cardigan Bay produit un amusant déphasage. On hésite entre humour British extrémiste et insurrection contre un certain fonctionnalisme. Il y a sans doute un peu des deux. En tout cas, on se laisse prendre et emporter dans cette espèce de songe humaniste ensoleillé. La jeune classe étant généralement enthousiaste de ce jeu de construction géant et coloré. Les plus âgés se rappellent la série The Prisoner, avec Patrick McGoohan, dont le village fut un personnage à part entière. Au nord de Portmeirion, la péninsule de Llyn est de toute beauté, côtes et intérieur. Elle est classée et protégée de diverses façons. C’est un conservatoire de la langue galloise et le berceau d’une jolie race de mouton, le Lleyn, qui contribue activement à l’entretien des paysages. Outstanding beauty aussi.
Les grands entours sont protégés par le parc national Snowdonia. C’est le Pays de Galles quintessentiel. On y randonne dans de vertes vallées, on lance la mouche dans de frais ruisseaux, on se met à l’ombre sous des couverts de chênes rouvres, on aperçoit des chevreuils, avec un peu de chance une loutre ou un balbuzard pêcheur, on explore de vieux châteaux et des abbayes dont les baies gothiques béent, on escalade le Cadair Idris… Bref, on prend un bon bol d’air et de nature !
Déjà prévu au programme - Le Snowdon Mountain Railway. Entre Llanberis et le sommet du Snowdon (1085 mètres), un train à crémaillère et voie étroite transporte vaillamment les amateurs de beaux paysages. C’est un peu l’équivalent gallois du train de la Rhune au pays Basque. On monte là-haut, propulsé par une machine à vapeur, ou diesel, en poussant les ho ! et les ah ! de rigueur et de bonne humeur.
Retour en Angleterre et route pour Lake District. Installation pour trois nuits à Embleton, au nord-est de Keswick. Les origines de la maison remontent au XVIIIe siècle. Elle est d’ailleurs joliment classique, avec ses murs gris aux harpes blanches, ses toits d’ardoise. Tout autour, on pressent le déploiement du parc. A l’intérieur, des aménagement modernes et confortables. Votre petit appartement fournit tout ce que peuvent souhaiter les voyageurs. Clair et facile à vivre. La cuisine cumbrienne du restaurant ne traite que des ingrédients soigneusement choisis dans les fermes alentour. Question de cohérence. La belle piscine intérieure permet à tout le monde de se délasser par n’importe quel temps. Le pôle bien-être comportant en plus du bassin un spa, un hammam, une salle de gym. Equitation, canoë ou golf sont envisageables à proximité.
Être logé à Embleton plutôt qu’à Keswick ? Aucune importance, c’est se trouver dans le Lake District National Park qui compte. Cette fois-ci, plutôt au nord-ouest. On ne sait pas si l’aventure amènera un jour les jeunes à lire Samuel Coleridge - The Rime of the Ancient Mariner, 1799 - ou William Wordsworth - I Wandered Lonely as a Cloud, 1804 - mais elle aura sûrement provoqué des élans d’enthousiasme pareils à ceux des deux Lake Poets. Lacs, collines, monts, la région est absolument splendide et inscrite au patrimoine mondial. Au sud de Keswick, ce sont les Central Fells, le cœur du district. Pas la partie qui monte le plus haut, mais un paysage bien découplé et varié, plein de charme agreste et de couleurs changeantes. Autour de Keswick, Walla Crag et Bleaberry Fells offrent des randonnées abordables. Les abords de Derwentwater aussi. Flore et faune profitent de la protection assurée par l’administration. L’écureuil roux notamment, auquel son gros cousin gris venu d’Amérique fait ailleurs une concurrence sévère.
Déjà prévu au programme - Croisière-rando autour de l’Ullswater Lake. A l’est de Keswick, Ullswater est un long lac glaciaire, sur lequel on régate assidument. Aujourd’hui, vous embarquez sur l’un des vieux steamers qui assurent le service sur ces eaux depuis la fin du XIXe siècle. Fins et élégants, les bateaux glissent sur la surface sans beaucoup la remuer : plein les yeux et pas secoués. On se rend ainsi jusqu’à Aira Force, cascade du ruisseau Aira Beck, lequel fait une chute spectaculaire d’une vingtaine de mètres peu avant d’entrer dans le lac parmi les narcisses. De là, on récupère l’Ullswater Way pour une randonnée de retour à Glenridding, le petit port de départ. Une heure et demie de marche aisée.
Route pour l'Ecosse et Callander, à l’est du Loch Lomond and The Trossachs National Park. Installation pour deux nuits dans une jolie maison d’architecture victorienne countryside. Vous croyez savoir ce qui vous attend, l’extérieur le suggère tellement. Et, de fait, il y a de la laine, de la moquette et du tartan. Cependant, il y a aussi un petit quelque chose italien : le blanc, des rayures différentes, une atmosphère pas uniquement Scottish. Confortable en tout cas. Au restaurant : polpettine di merluzzo, spaghetti al tonno, scaloppine alla pizzaiola, etc. Un gros quelque chose italien ! Ce dont on ne sa plaint pas, tellement la cuisine de la botte est intégrée à l’art de vivre britannique. Et puis, le breakfast est pour sa part tout à fait conforme à la tradition. Un agréable attelage italo-écossais.
Déjà prévu au programme - Le Loch Katrine à vélo. Au cœur de la belle région boisée des Trossachs, le Loch Katrine est particulièrement pur : Scottish Water y veille puisqu’il est la principale réserve d’eau douce de la région de Glasgow. C’est aussi un lieu de promenade très apprécié. On l’aborde en mode sportif, à bicyclette, et dûment casqué si on a moins de seize ans. Les points de vue se succèdent tout au long de la balade et ils sont comme des saluts amicaux que l’Ecosse adresse aux randonneurs. Lorsque le soleil décline, le paysage se révèle : un ciel pur, un arrière-plan de hautes collines violacées, au pied desquelles le vent fait murmurer des bois d’un vert profond ; les landes rousses (qui dorent par plaques) et l’eau scintillante composent un tableau admirable.
Route pour Spean Bridge, dans les Highlands septentrionales. Installation pour trois nuits au bord du Loch Lochy. Derrière la maison XIXe, bois dans le vallon et lande sur les croupes ; devant, une petite plage de gravier. Planchers de chêne, papiers peints, tissus imprimés, tartan, mobilier victorien, rien ne manque à l’idylle écossaise. Les chambres sont délicieuses, avec des bathrooms à l’ancienne mignonnes comme tout. La salle à manger donne sur le loch. On s’y régale de plats écossais et asiatiques, de burgers. Le bar est d’un parfait bois sombre (avec un extension beau temps au-dessus de l’eau). Un service de spa est proposé aux hôtes du domaine.
Déjà prévu au programme - Croisière sur le Loch Ness. Long et profond, ce lac était taillé pour les émotions de la crypto-zoologie. Ce qui n’a pas manqué : le monstre Nessie est l’un des inexistants les plus célèbres du monde. Et les eaux du Loch Ness sont l’une des formes de notre imaginaire. Il y a là-dedans des anguilles, des épinoches, des vairons, des truites… Quant à Urquhart Castle, dont les grandes ruines se dressent au bord du loch, il raconte un Moyen Age tumultueux comme un roman de Walter Scott. La balade est effectuée en vedette, en compagnie d’un skipper anglophone.
Déjà prévu au programme - Voyage à bord du Poudlard Express. Ceux qui ont lu et vu Harry Potter n’ont pas besoin qu’on leur explique ce qu’est le Poudlard Express. Les autres se feront briefer par ceux qui savent. Il s’agit en somme de voyager à bord d’un train à vapeur, le Jacobite, entre Fort William et Mallaig, sur la West Highland Line. On monte en première classe et on se laisse emporter à travers des paysages somptueux que l’on reconnaît, lorsque l’on est initié, pour appartenir au fameux itinéraire magique. Les autres jouissent eux du teuf teuf teuf rapide de la machine et des ondulations sans cesse renouvelées des Highlands occidentales, en positivistes ravis.
Route pour Edimbourg. Installation pour deux nuits un peu au sud-ouest du château, ce qui donne un accès pédestre à la vieille ville. Chambres, living, cuisine, salle de bain, l’espace et le niveau d’équipement de l’appartement est adapté à une petite bande voyageuse. La décoration est sobre et confortable, sans effets excessifs. Si les petits ont oublié leur doudou, l’ours en peluche maison prend le relais. D’autres services sont aussi proposés aux hôtes : DVDthèque, magasin de secours, blanchisserie. Et l’éco-responsabilité est au programme.
Déjà prévu au programme - Edimbourg en famille. On va s’intéresser surtout au passé d’Edimbourg, qui se signale partout par des édifices auxquels l’imagination se prend aisément. Et, pour se mettre dans l’atmosphère, les enfants se déguisent. Les parents aussi. Voilà tout le monde revenu au temps de Rob Roy. Avec en main un carnet de jeu, on part derrière Karine à la découverte de la cité d’autrefois. Bandits écossais, héraldique, poternes, venelles torses, château bien sûr, rien ne manque à l’aventure. Pas même une leçon d’escrime ! On n’oublie pas de sitôt cette visite à remonter le temps.
A partir de Newcastle upon Tyne, traversée en ferry pour Amsterdam puis route retour.
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