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Prise en main de la voiture de location et route pour Luss, au bord du Loch Lomond. Nuit dans un ancien relais de poste. La décoration suit les canons du pittoresque écossais, sans excès et même avec un brin de stylisation. Les tons généralement doux reposent. Dès votre première étape, vous avez tout : les tissus imprimés, le tartan, l’afternoon tea, haggis, neeps and tatties, etc. Les propriétaires se sont plu à moduler les effets, toujours au bénéfice des clients de la maison. Votre chambre est bien équipée et confortable. Le restaurant ajoute aux classiques écossais l’indispensable burger et quelques préparations d’occasion.
Luss, ce sont d’abord les entours montueux et verts du Loch Lomond ; c’est aussi un joli ensemble de maisons de pierre, qui paraissent si typiquement britanniques aux visiteurs. Et qui le sont !
Route pour l’île de Mull, dans les Hébrides intérieures. En chemin, on visite Argyll, au relief vert brun roux bien secoué par l’érosion. L’ancien comté serait assez à la géologie ce que la mêlée est au rugby. Châteaux, villages, prairies, landes et ces levées brèves et raboteuses qui semblent clouer plutôt que hausser les paysages.
Ferry Oban / Craignure, sur Mull. Installation pour deux nuits à Tobermory dans un petit manoir bâti au début du XXe siècle pour une grande famille d’armateurs. Un parc honnête et fleuri entoure la demeure. De laquelle la vue porte jusqu’à la mer et aux montagnes. La transformation de la maison de famille en hôtel s’est faite avec naturel. On a ajouté ce qu’il fallait de sanitaire, meublé les chambres afin que les hôtes aient un particulier confortable, décoré avec bon goût de tons sobres et de belles matières. Les parties communes prolongeant tout cela sans changer d’esprit. Le breakfast est servi sur place, British ou Irish selon la nuance souhaitée.
Les maisons colorées du port, appuyées sur une butte verdoyante, sont charmantes et donnent à Tobermory beaucoup de pimpant.
Déjà prévu au programme - L’île de Staffa. Embarquement à Fionnphort, le port principal du Ross of Mull. Navigation jusqu’à la volcanique Isle of Staffa, dont les orgues basaltiques (qui sont le résultat de la fracturation régulière d’une coulée de basalte par contraction thermique) justifient pleinement le déplacement. Ces formations sont spécialement spectaculaire à Fingal’s Cave et Am Buachaille. Lorsque le temps le permet, on accoste et on se promène sur l’île-même. Où les botanistes reconnaissent la bruyère callune, le lotier corniculé ou l’armérie maritime. Nicheurs sont les fulmars, macareux, cormorans ou grands labbes. Au retour, un bon single malt de la distillerie de Tobermory donne à tout ça une saveur tourbée.
Traversée pour Kilchoan. En route vers Mallaig, on ne se prive pas de visiter la péninsule d’Ardnamurchan. C’est une région sauvage, peuplée sans excès de moutons Blackface et de gens qui parlent gaélique. Elle est frangée de plages de sable blanc d’un gracieux effet. Le vent et la pluie ont enlevé à de vieux châteaux toutes leurs pierres décelables. Ardnamurchan Point est le point le plus occidental de Grande-Bretagne, on y trouve sans beaucoup d’étonnement un phare. Au-delà, Atlantique libre. La virée s’accompagne bien de quelques giclées de l’accordéon de Fergie MacDonald.
Mallaig rallié, nuit à deux pas du port, dans un hôtel tout à fait simple et sans autre prétention que proposer au voyageur les services de base : un lit, une salle de bain, un breakfast. Un transit auquel le pub maison met une touche pittoresque et sympathique.
Déjà prévu au programme - La péninsule du Knoydart. En face de Skye, entre les lochs Hourn et Nevis, le Knoydart passe pour la dernière terre sauvage de Grande-Bretagne. On prend le ferry entre Mallaig et le petit port d’Inverie, seule localité du secteur qui ne soit pas un simple hameau. Ensuite, chaussures de randonnée ou VTT. C’est ainsi que se découvrent ces landes, ces collines massives, cette houle géologique d’entre deux lochs. Quelques crofts - champs enclos - et fermes de loin en loin, et une solitude pleine nature comme on n’en fait plus beaucoup l’expérience. Sur les pentes, des bois de bouleaux et de précieux vestiges de forêt calédonienne. Où les chanceux peuvent apercevoir le grand tétras, la mésange huppée, le chevalier sylvain, le bec croisé des sapins, etc.
Traversée pour Armadale, sur Skye. Route pour Portree. Installation pour deux nuits sur le port (dont la jetée est l’ouvrage du célèbre ingénieur Thomas Telford, 1757-1834). Il y a du minimalisme dans les chambres, et des matières superbes. Des valeurs urbaines ont été transplantée ici et fonctionnent remarquablement. On n’imaginerait pas, sans doute, trouver dans ces parages un restaurant comme celui de votre hôtel. Le soin apporté à la sélection des ingrédients est extrême et la transparence de la cuisine elle-même relève du grand art : sur les épaisses tables de bois, les plats arrivent, dont les saveurs sont celles que la nature a mise dans le merlu, la truite, les brocolis, les épinards, par exemple.
La chaîne des Cuillin est la grande attraction de Skye. On va marcher dans les Red Hills et, si l’on est bon randonneur, dans les Black Cuillin. Le romantisme salé de ces paysages touche les voyageurs depuis longtemps. Quelques châteaux apparaissent bien sûr, qui sont indispensables à toute terre écossaise qui se respecte. L’histoire de Dunvegan remonte au XIIIe siècle ; la forteresse est altière et possède de très jolis jardins. Quant à Portree, c’est un petit port pittoresque où, au mois d’août, ont lieu des Highland games : jets de tronc, de marteau, de poids divers ; courses ; tug of war, cette magnifique épreuve qu’est le tir à la corde. Les sorties en mer permettent d’observer des phoques gris et des communs, des dauphins, des marsouins, des mouettes, des macareux, des guillemots, etc.
En option - Une journée de randonnée.
Traversée Uig / Tarbert. Installation pour deux nuits dans une belle demeure bâtie en 1865. Il s’agissait alors de fournir aux pêcheurs sportifs le toit et le couvert. La maison est restée proche des activités outdoor. Elle propose une bonne atmosphère écossaise, faite de simplicité et de confort. Les chambres sont équipée comme il faut ; les parties communes offrent elles-aussi des agréments. Les whiskies et les gins du bar, par exemple, ou la cuisine from the heart du restaurant. A-t-on envie d’un afternoon tea dans les règles ? C’est tout à fait possible. Quant à la pizza black pudding and haggis, elle peut sembler pousser un peu loin l’inculturation. C’est précisément pour ça qu’il faut l’essayer.
Si on les a déjà rencontrés sur la péninsule d’Ardnamurchan, on les retrouve ici : les Blackface fournissent la matière première de cette étoffe dont Harris s’est fait une spécialité, le tweed. L’élégance britannique en plein ! Ajoutons-y le whisky, le golf, la pêche à la mouche et l’observation ornithologique, tous les éléments de la campagne smart sont réunis. Et ce n’est pas désagréable ! On peut se sentir Ecossais par ici. Les routes à voie unique, avec zones de dépassement (on voit venir, en règle générale), mettent un peu de piquant à la conduite. On n’a pas son brevet d’Ecossais avant d’en être passé par là. En ce qui concerne la partie Lewis de l’île, les données sont à peu près équivalentes. D’ailleurs, vous n’entrez pas dans les arguties qui font d’une île deux îles. Les bruyères se remarquent : callune, cendrée, à quatre angles.
En option - St Kilda.
Route pour Stornoway, sur Lewis. Nuit au bord de la petite marina. L’hôtel date de 1845. Aujourd’hui, la façade blanche liserée de noir rappelle clairement, à qui par une aberration subite l’ignorerait, qu’on est en Grande-Bretagne. Dedans, l’atmosphère est à la fois confortable et détendue. Dans les chambres, des tons vieux rose, saumon, bleu roi, rideaux imprimés, pas d’excès de tartan. Le mobilier est classique. La literie impeccable. Celles qui donnent sur le port ont un petit plus. Au restaurant, le chef illustre la montée en gamme de la cuisine britannique : si on conçoit qu’il n’est pas trop difficile de trouver ici de beaux ingrédients iodés, le tour de main fait plaisir à voir et à manger. Dans un contexte rustique smart. Au bar tradi, whiskies, bière et fish and chips.
Traversée Lewis / Ullapool. Route pour Achiltibuie. Nuit en vue de l’eau. L’inn date de la fin du XIXe siècle et a toujours eu la fonction de recevoir et héberger. De nos jours, assez agrandi, c’est un hôtel dont la simplicité élégante est l’effet d’un professionnalisme bien entendu. Les chambres sont nettes et cosy, parfaitement équipées. Dix d’entre les quatorze ouvrent sur la mer. Pas d’effets inutiles qui nuiraient à l’atmosphère sereine et un peu recueillie que commande la rude nature alentour. Un bar et un restaurant procurent les moments de plaisir flash qu’on en escompte. Gin et ales au comptoir du premier. Poissons et fruits de mer surtout aux tables du second. Ici et là, les bouteilles d’une excellente cave.
En route pour la côte de Moray, on stoppe à Inverness, chef-lieu des Highlands, pour admirer le château troubadour, dont le grès rouge est du plus bel effet, et la cathédrale épiscopalienne, qui est d’un néogothique conséquent. Loch Ness pas loin. Alors, on y va. Long et profond, ce lac était taillé pour les émotions de la cryptozoologie. Ce qui n’a pas manqué : le monstre Nessie est l’un des inexistants les plus célèbres du monde. Et les eaux du Loch Ness sont l’une des formes de notre imaginaire. L’ichtyologie dit, elle, qu’il y a là-dedans des anguilles, des épinoches, des vairons, des truites… Quant à Urquhart Castle, dont les grandes ruines se dressent au bord du loch, il raconte un Moyen Age tumultueux comme un roman de Walter Scott.
Suite de la route et nuit au sud-est de Forres, qui confine à la baie de Findhorn. Pour être aussi exemplaire d’un style, votre country house doit appartenir à sa période conclusive. Quoi qu’il en soit, pierres de taille et toits d’ardoise, elle ouvre bellement sur un parc léché et le paysage champêtre du Speyside. A l’intérieur, avec goût sûr et sens de l’espace, l’aménagement équilibre finement l’esprit de tradition et la lettre du confort moderne. C’est donc tout à fait joli, confortable, sophistiqué. Dans le particulier comme dans les parties communes. Des couleurs pimpantes animent imprimés et papiers peints. Au salon, on joue au billard. Au bar, on boit du whisky. Les petits déjeuners s’inscrivent dans une série qui fait honneur à l’Ecosse.
Route pour Edimbourg. Rendu de la voiture. Installation pour deux nuits dans un bel hôtel classique du centre historique. Pas de folklore écossais, mais une décoration élégante et fluide, où de belles matières traditionnelles rencontrent les lignes nettes du design contemporain. L’atmosphère bohème smart de la maison met en excellentes conditions pour aborder Edimbourg. Le restaurant fait de jolies choses avec des ingrédients souvent organic et toujours du pays : agneau des Highlands, poisson des lochs, etc. Le bar aligne les single malts comme le Royal Highland Fusiliers les fantassins.
Déjà prévu au programme - Edimbourg, loin des foules. Bien sûr, il est légitime que vous, avec bon nombre de vos congénères pérégrinant, alliez visiter les sites classés et célébrés de la capitale écossaise. Qui se priverait de cela ? Toutefois, il est tout aussi légitime de s’extirper des cohues pour aborder à une ville un peu différente et possiblement à soi. Un guide francophone privé vient vous chercher à l’hôtel et en route pour l’autre Edimbourg ! Leigh, par exemple, le vieux port, tellement autre qu’il ne se conçoit qu’à peine comme appartenant à la capitale. Ça a été Trainspotting, ce n’est plus le cas, le quartier est redynamisé, festif, gastronomique. Les galeries d’art de Stockbridge ont le vent en poupe. Autre possibilité, le Southside, tellement plein de salles de concert et de théâtres que même les anciennes brasseries sont converties en institutions culturelles, ainsi le Summerhall. Dans ces secteurs, les Ecossais sont chez eux et, par le fait, c’est là qu’ils vous reçoivent le mieux.
Transfert à l’aéroport et vol de retour.
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