Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Prise de contact avec le chauffeur. Route pour Taroudant.
Déjà prévue - La palmeraie de Tioute. 35 kilomètres au sud-est de l’étape, la belle palmeraie de Tioute mérite une visite. On s’y rend avec un guide francophone privé. Kasbah, système d’irrigation, champs de céréales et palmiers, souks, petits ânes porteurs : une oasis, comment ça marche ? C’est ce que la visite vous montre. Il a fallu de la patience et du savoir-faire pour aménager et entretenir ce dispositif très précis. Car la bonne santé et l’agrément de la palmeraie garantissaient le passage des caravanes et des marchands, lesquels, en retour, contribuaient à la prospérité de Tioute. Échange de bons procédés. La table étant une façon de contenter les voyageurs, elle est excellente depuis toujours. Ce dont on fait le test chez un habitant du village.
Nuit dans une grande demeure de la médina de Taroudant. Le jardin fleuri est très agréable. La chambre, joliment décorée. Elle est également confortable et claire. On y est immédiatement chez soi. Les salons sont eux aussi tout à fait plaisants. On y devise, on s’y met au calme, on y fait sa correspondance. Bref, une maison de vacances au Maroc. Le petit déjeuner est servi sur place. Piscine extérieure, hammam et soins ne pouvaient manquer.
En option - Le palais musée de Claudio Bravo.
Au sud de Tafraout, les gorges d’Aït Mansour surprennent par leur ampleur onduleuse, les tons roses de la pierre et la profusion de palmiers que l’on trouve au fond du canyon. Parmi les villages du secteur, le douar Gdourt est sans doute le plus étonnant. On note à toutes fins utiles que le marché aux babouches de Tafraout se tient le mercredi.
Nuit dans une maison d’hôtes qui offre une version stylisée de l’habitat vernaculaire. Autour d’un puits de jour, sur deux niveaux, les chambres, la salle à manger, le bar, le salon marocain, un salon d’hiver. Les pièces sont faciles à vivre. Les sols, couverts de carrelages variés. Et la décoration recourt au meilleur artisanat local. Le confort est assuré partout : simple et soigné. Le cuisinier officie dans un esprit très similaire, sans chichis mais avec justesse. Dans le jardin trône un petit bassin dans lequel (et autour de quoi) se délasser après sa journée de visite.
Cap à l’est. En chemin, traversée du parc naturel d’Iriqui. La restauration du lac éponyme étant la raison du classement en secteur protégé. En attendant la réhumidification conséquente de la cuvette, on peut rencontrer sur la steppe la gazelle dorcas ou l’outarde houbara. On poursuit vers les dunes de Chegaga. L’erg est vaste et isolé, sauvage, ses dunes atteignent 300 mètres de haut. C’est impressionnant. Le désert tel qu’on l’imagine, à la fois fascinant et inquiétant. Minéral et mordoré, changeant, désorientant. Une formation qui en impose.
Déjà prévue - Une méharée. Et voilà pourtant que pendant une heure, avec un chamelier, juché sur un dromadaire, on s’enfonce dans ce désert. Très vieille histoire que celle de la collaboration de l’homme et du dromadaire en vue d’affronter les sables et acheminer les marchandises. Et il est touchant de la frôler, même une heure en passant. Car le pas de l’animal et la radicalité du milieu s’imposent d’emblée, laissant des souvenirs ineffaçables.
Nuit dans un campement du désert. Une élégance autre. Faite de simplicité adaptée aux circonstances et au souci de recevoir dignement. Des tentes, avec leurs nattes, leurs lainages, leur mobilier vintage, leur salle d’eau, les tons naturels de tout cela, leurs lanternes, se dégage un puissant romantisme. Le repas est d’une étonnante qualité. Et puis ce sont les feux et, après les feux, les étoiles, le grand ciel nocturne.
En option - Méharée pique-nique.
Route pour Zagora. À une vingtaine de kilomètres au sud-est, Tamegroute est célèbre à plusieurs titres. Pour les poteries à glaçage vert, qui étaient d’abord de la vaisselle, mais gagnent peu à peu en dignité artistique. C’est en tout cas une production tout à fait caractéristique et les ateliers d’ici sont les plus anciens du pays. Pour la confrérie (zaouïa) soufie Naciria aussi. Fondée au XVIe siècle, elle a été dotée au XVIIe, par l’un de ses membres éminents, d’une bibliothèque exceptionnelle de plusieurs milliers de volumes.
Nuit dans la palmeraie de Zagora. La maison est entourée d’un beau jardin, où l’on est bien aise de trouver une piscine. Ou un lit de repos en plein air. Un esprit cottage règne au salon. D’une chambre à l’autre, la décoration varie, évoquant tel ou tel voyageur impénitent, d’Henri Matisse à Théodore Monod ou Odette du Puigaudeau. Pour un jus d’orange ou un thé, la terrasse est délicieuse. Clairement, il s’est agi d’offrir partout le confort du corps et de l’esprit. La chère est succulente. Et, si l’on veut s’échapper dans la palmeraie, c’est la porte au fond du jardin.
Déjà prévu - À pied dans la palmeraie. L’oasis est une immense forêt de palmiers. Des dattiers principalement, dont les habitants tirent l’essentiel de leurs revenus. Ces plantes sont l’étage supérieur du système végétal oasien. Plus bas, ombragés par les palmes, sont divers arbres fruitiers. Les vergers abritant à leur tour des champs et des potagers, quelques prés. On se promène là-dedans en compagnie d’un guide francophone privé, bon connaisseur de la question.
Après une visite de la kasbah Oulad Othmane, route pour N’kob, au sud-ouest du djebel Saghro. Le ksar ne réunit pas moins de quarante-cinq kasbahs, qu’entourent deux palmeraies. Les amateurs d’art rupestre peuvent admirer aux environs du village des géométries néolitiques.
Au programme - Déjeuner à la kasbah Imdoukal. Dans un beau cadre traditionnel, une cuisine qui fait honneur à la gastronomie marocaine.
Route pour Tinejdad. Nuit dans un ksar. Votre chambre d’hôtes est le ferment de la rénovation du village, qui a été engagée – et se poursuit – avec l’argent gagné à recevoir les voyageurs. Lesquels sont donc directement contributeurs à la conservation du site. Un cercle vertueux et une atmosphère authentique comme tout !
Également prévu - Le musée des Oasis. Trois maisons du ksar sont consacrées à documenter la vie traditionnelle berbère et la civilisation des oasis. Les bâtiments sont mis à contribution, mais aussi des plans, des objets, des photos, des maquettes, qui apportent leur éclairage aux visiteurs. Un guide francophone privé vous accompagne afin d’ajouter une note sensible aux documents.
Route pour Skoura. Non loin de Tineghir sont les gorges du Todgha. L’oued coule au fond d’un encaissement vertigineux. Le calcaire est très nettement érodé. Et l’eau a permis le développement de la belle palmeraie de Todgha.
Au programme - Les vallées du Dadès et des Roses. La vallée et les gorges du Dadès, avec leur chapelet de kasbahs, sont l’un des plus étonnants paysages marocains. On pourrait dire qu’ici, l’érosion s’en est donné à cœur joie. Ce qui vaut le déplacement. Ensuite, entre Boumalne Dadès et Kelâat M’Gouna, les jardins sont débordants de rosiers. C’est la fameuse vallée des Roses, en pleine floraison au début du mois de mai. Les fleurs attendent alors la récolte, elles embaument dans la douceur du printemps. Un enchantement éphémère, qui contraste avec l’énormité du temps géologique. Un guide francophone privé accompagne la journée.
À Skoura, installation pour deux nuits dans un grand jardin en pleine palmeraie. Dattiers, oliviers, amandiers, grenadiers font une ombre odorante, propice au repos. Et à la discrétion : la piscine est ainsi un peu isolée, on trouve aussi la quiétude sur les coussins et les tapis, dans les hamacs. L’intérieur est meublé et décoré par les voyages des propriétaires, aux quatre coins du Maroc et autour du monde. Un mot d’ordre : authenticité. Tout cela forme une étonnante et confortable unité. Les chambres ont une simplicité qui invite à s’y sentir dans un home marocain. Impression de chez-soi soulignée par les confitures maison du petit déjeuner. Les autres repas sont concoctés à partir d’ingrédients bio du marché ; les herbes aromatiques provenant du jardin de l’hôtel. Le résultat final convainc du caractère sophistiqué de la table marocaine.
Au programme - Architecture et agriculture des oasis. Nul doute que la promenade dans la palmeraie n’éveille à nouveau curiosité et intérêt, à la fois pour son architecture traditionnelle et pour les méthodes subtiles de son agriculture. En compagnie d’un guide francophone privé, vous allez un peu plus loin dans le détail des choses, leur pourquoi et leur comment. Selon quel schéma les kasbahs sont-elles conçues, quels matériaux s’y sont imposés, comment y vivait-on, comment la fraîcheur s’y conservait-elle ? À toutes ces questions, des réponses. Idem pour l’irrigation, qui fait de Skoura un jardin où se produit une étonnante variété de plantes comestibles et ornementales. En apprendre un peu plus fait apprécier beaucoup plus.
Route pour l’aéroport de Ouarzazate. Vol retour.
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