Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Accueil en français et assistance aux formalités. Prise en main de la voiture de location. Installation pour trois nuits dans une vieille maison de la médina de Tunis, remise à neuf et toute pimpante. Ce qui étonne d’abord, c’est la clarté, la lumière, la lisibilité et l’harmonie de l’architecture. Les aménagements et la décoration soulignent ces traits de modernité vifs et légers : on n’est pas dans un musée, on est en Tunisie d'aujourd’hui. Et elle est bien jolie. Les carreaux de faïence n’en reviennent pas. Votre chambre est confortable with a spirit. Sur le toit, ou de l’autre côté de la rue, deux restaurants proposent une cuisine tunisienne quintessenciée. En haut, vue sur la médina ; en bas, salle à manger d’une grande élégance classique. Quant au hammam, il est l’occasion d’une expérience bien-être dont la ville a l’art et le secret.
Déjà prévue - Visite privée de la médina. On y est, alors on y va. En compagnie d’un guide francophone. Ce qui n’est pas du luxe lorsque l’on n’est pas un vieux Tunisois. Car il faut se repérer dans ce dédale où tout retient la curiosité. Les boutiques, bien entendu, mais aussi les cafés, les institutions civiles et religieuses, les ateliers, l’éclat soudain des bougainvilliers et même les venelles où il n’y a rien, que quelques chats étiques. Le vieux Tunis, si l’on veut ; un cœur, plutôt.
Un peu orienté, on peut ensuite replonger, à la recherche d’une chéchia, d’un bijou d’or ou d’argent, d’un thé aux pignons, d’un article de cuir ou de dinanderie, d’une essence. Ou sortir pour voir un peu la ville moderne, avenue Bourguiba, où sont le théâtre, 1902 et 1911, et la cathédrale Saint Vincent de Paul, 1897. Par exemple. Néanmoins, la réouverture, après plusieurs années de lockout, du musée de Bardo, installé dans un ancien palais beylical, engage à la visite. Les collections d’art, d’histoire et d’archéologie présentées ici sont d’une fabuleuse richesse et ont rang parmi les premières de Méditerranée.
En option - La Goulette et Marsa à vélo électrique.
Au programme - Sidi Bou Said et Carthage en privé. On est averti du charme bleu et blanc de Sidi Bou Said, de la plaisance du site au-dessus de la baie de Tunis, de la splendeur du Dar El Annabi ; qu’au fameux café des Nattes, on prend la suite de Georges Bernanos ou de Simone de Beauvoir. Et en vrai, on est tout de même ébaubi. La carte postale ne peut rien contre son modèle. Carthage a donc été détruite, puis reconstruite. Aujourd’hui, le site archéologique, que coiffe la cathédrale Saint Louis, 1890, est surtout romain. Il reste néanmoins des témoins puniques, comme le quartier d’habitation de Byrsa, l’empreinte des ports ou le tophet de Salammbô. Celui-ci fut un cimetière rituel, dont l’interprétation est encore débattue. Les stèles en tout cas composent un paysage funéraire prenant. Le théâtre, les villas avec leurs mosaïques, l’amphithéâtre, les thermes d’Antonin sont de période romaine. Un guide francophone vous accompagne.
Route pour Kélibia. Installation pour deux nuits en ville, dans un hôtel lumineux et super plaisant. L’un des propriétaires, architecte, a réussi un splendide équilibre entre tradition tunisienne et style international. À la première les motifs, l’ornementation, les huisseries, les espaces multipliés ; au second la rigueur, le sens de l’épure, la tendance à l’abstraction. Beaucoup de blanc, mais aussi des tissus aux couleurs chaudes et cash, des carreaux de céramique. Les chambres sont subtiles et tout à fait agréables à vivre, il s’en dégage une très apaisante douceur. Dehors, des cours-jardins, une piscine. Le restaurant maison sert une cuisine tunisienne fort séduisante et le fameux muscat de Kélibia. Un spa est ouvert aux hôtes, où les attendent masseurs et hammam, comme il sied, mais aussi sauna. Les plages sont à portée de promenade.
Kélibia est une ville ancienne, fondée par Agathocle, tyran de Syracuse, à la fin du IVe siècle avant J.-C. Elle fut ensuite punique, puis romaine. Les vestiges de cette dernière période sont encore bien visibles. Dans le bordj notamment. Elle fut également chrétienne, et l’on a pu admirer au musée du Bardo un splendide baptistère et des mosaïques funéraires, IVe-VIe siècles, provenant de l’église du Prêtre Félix de Demna, à quelques kilomètres de Kélibia. Pas très loin non plus, le grand site punique de Kerkouane, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Un ensemble exceptionnel – édifices public civils et religieux, habitations particulières – complément indispensable des restes dispersés de Carthage. Tout n’étant pas archéologique, on peut encore profiter des restaurants iodés et de très jolies plages. Lesquelles ont permis à la ville de décrocher le statut de capitale du beach-volley en Tunisie. Alors, soyez adroit !
Route pour Hergla, à une vingtaine de kilomètres de Sousse. C’est un petit port de pêche – un peu enchanteur – du golfe d’Hammamet. L’un de ces endroits qui transforment leur cimetière en théâtre de lumière et de réverbération. Poursuite vers Sousse. Installation pour deux nuits dans un dar de la médina. L’une des plus agréables de Tunisie. Avec ses murs blancs soulignés de vert anis, la cour a plein de charme. Les chambres ont un format en longueur inhabituel, mais pas du tout déplaisant. Elles sont aménagées et décorées avec un soin méticuleux et sensible. Rien ne manque au confort des hôtes. Pas même un esprit un peu facétieux parfois dans la disposition. Ce qui est bien agréable, surtout conjugué à un sens esthétique ferme. Les repas (cuisine créative) sont servis à la salle à manger. Les cocktails, au bar ou dans la cour. Sur le toit-terrasse, on prend l’air frais à la façon tunisienne. Ou on se délasse dans la piscine.
Déjà prévu - Un dîner réservé au restaurant du dar. Puisqu’on y est. Et que c’est délicieux.
La visite du musée archéologique, avec son magnifique ensemble de mosaïques – scènes de chasse, programmes à poissons, méduse cinétique, etc. – est à flaguer importance haute. Néanmoins, on ne peut manquer d’aller visiter la mosquée Oqba Ibn Nafi de Kairouan, pierre angulaire de l’islam au Maghreb. C’est un édifice de haute volée, justement classé au patrimoine mondial. Par son ample sobriété, l’équilibre de ses proportions, un air de religiosité souveraine, elle marque durablement fidèles et voyageurs. Les colonnes partout présentes font du monument une espèce de conservatoire de cet art (base, fût et chapiteau) depuis l’Antiquité. La salle de prière hypostyle est spécialement impressionnante avec ses lustres à godets de verre. Le minbar, la chaire du prédicateur, est le plus ancien que l’islam ait conservé. Parmi les autres splendeurs de cette ville unique, les bassins des Aghlabides suggèrent de remarquables hydrauliciens. Accessible aussi depuis Sousse, l’amphithéâtre romain d’El Jem montre par ses dimensions considérables l’importance économique de la Thysdrus du IIIe siècle de notre ère. Le monument fait de vous un spectateur des venationes, combats d’animaux ou chasses stylisées, que restituent de nombreuses mosaïques.
Route pour le village berbère de Tijma, un peu au nord de Matmata, dans le djebel Dahar. Nuit dans une maison troglodyte. Les logements, excavés dans le lœss, donnent sur une cour circulaire à ciel ouvert, par un corridor, sguifa. Dedans, les formes sont enveloppantes, les murs passés au blanc de chaux, l’aménagement simple mais confortable. La literie est posée sur une plateforme. Quelques objets anciens servent à la décoration. Surtout, il y a une atmosphère. La sensation est toute spéciale. Les contrastes d’ombre et de lumière y contribuent de façon significative. On a un peu le sentiment de se retirer du monde (cet habitat eut pour fonction de soustraire les villageois certes à l’ardeur du soleil, mais tout autant aux raids de la soldatesque). C’est tout à fait reposant. L’air est frais. Les repas sont pris à la table commune. La cuisine est au diapason du reste, simple et authentique.
Route pour Djerba. Installation pour deux nuits à Erriadh, dans le centre de l’île. Le porche d’entrée du menzel a beaucoup d’allure. Il ouvre sur un véritable hameau, réunissant cinq maisons traditionnelles. On déambule là comme dans un petit labyrinthe odorant. La restauration s’est faite dans le respect des techniques. L’adaptation hôtelière, dans celui du génie des lieux. Les chambres sont confortables et tout à fait coquettes. Le blanc des murs met en valeur mobilier et objets, choisis avec soin. Les arcs discrètement outrepassés rendent une note d’élégance discrète. Le tadelakt de la salle à manger, lui, donne un vrai charme, auquel la cuisine ajoute le principal. Deux cours ont été aménagées en piscines. Et les toits-terrasses conviennent aux longues et douces soirées.
Cela fait très longtemps que Djerba voit passer des gens, plus ou moins bien intentionnés. A contrario de cette histoire bousculée, elle a entretenu le goût des cohabitations paisibles. Entre les gens, les manières, les croyances : mosquée des Turcs, église catholique Saint Joseph, mosquées ibadites, synagogue de la Ghriba. On se promène parmi les vergers, les oliveraies, les palmiers, les lauriers-roses. On va à la plage, où la Méditerranée se donne des airs de mer du Sud. Et on ne peut oublier que Erriadh est Djerbahood, musée de street art en plein air. Tous les ans, des graphistes et des plasticiens viennent du monde entier pour créer sur place des œuvres singulières. Aujourd’hui, il y en a près de 300 réparties dans le village. Et la fusion entre architecture vernaculaire et expression contemporaine est surprenante. Hommage à l’une comme à l’autre. Le soleil va bien à l’art d’aujourd’hui. C’est une excellente nouvelle.
Rendu de la voiture à l’aéroport. Vol retour direct.
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