Pour quels voyageurs ?
Pour les voyageurs qui savent bien que le tourisme a aussi ses lettres de noblesse, pour peu qu’on le pratique avec élégance. Pour celles et ceux qui ne veulent pas bronzer idiot. Pour ceux et celles qui souhaitent se baigner autant dans les eaux vertes et bleues de l’Océan Pacifique que de plonger au cœur d’une culture ancienne et passionnante. Pour les voyageurs qui ont besoin de se ressourcer, de capter la belle énergie du Pacifique. Pour celles et ceux qui aiment les côtes sauvages, les plages de sable blanc, les collines aux multiples teintes de vert. Pour les voyageurs qui aiment choisir entre stations balnéaires et villages de pêcheurs. Pour celles et ceux qui souhaitent pouvoir dire un jour, en toute simplicité : « Je reviens d’Acapulco »...
Ce que l’on trouve, et pas ailleurs ?
Des plages sublimes... Un essaim, un chapelet de plages, l’immensité bleutée de l’Océan Pacifique, les liserés d’écume sur le sable fin. D’Acapulco à Puerta Vallarta, de Careyes à Zihuatanejo, de Puerto Escondido à Huatlco, sans oublier, à la pointe de
Baja California, San Jose del Cabo... A chaque fois, c’est un état d’esprit différent, une approche distincte de votre séjour. Les années 70 vous tentent, alors cap sur Puerto Escondido. Ancien port de pêche, c’est aujourd’hui un spot de surf réputé. Déferlantes assurées ! Zipolite, lieu culte, est le dernier nirvana baba de la planète... Vous préférez un peu de calme ? A deux pas, Puerto Angel –qui porte si bien son nom, vous accueillera et vous vous laisserez bercer par le murmure du ressac contre la coque des bateaux de pêche... Un retour aux racines vous attire ? La baie de Careyes vous attend. Une nature primitive, rendue aux éléments. Paix et sérénité sous le ciel du Mexique...
Vivre un moment unique
Sur la plage de Puerto Escondido, des jeunes gens d’une vingtaine d’années, files et garçons mêlés, tous mexicains, prennent des poses autour d’un antique pick-up Chevrolet. Ils donnent un remake rafraichissant d’Outsiders, de la Fureur de vivre. Des vagues irisées d’écume, couleur d’opale s’offrent en tubes aux téméraires. Virées dans la nuit, regards brûlants... Toda la vida, telle est leur devise. Les voix sont emportées par le vent. Le soleil descend lentement, éclaboussé par les vagues. Les derniers rayons éclairent les visages, la brise marine soulève les mèches rebelles. Une surfeuse va défier le Pacifique dans des lueurs d’incendie. Ils allument un grand feu sur la plage, et l’on peut les rejoindre, écouter les guitares, rire ensemble, danser... Toda la vida... Toute la vie...